Car des études ont montré que lorsque nous écoutons de la musique, notre cerveau libère de la dopamine, molécule qui nous rend heureux. En conséquence, la musique, à travers les tons et les rythmes, active des zones du cerveau similaires à la joie.
La musique peut transmettre des émotions positives. Elle procure une sensation de plaisir en agissant sur le système de récompense, grâce aux neurones dopaminergiques qui libèrent de la dopamine dans le cerveau.
Elle est un vecteur de partage, elle permet aux gens de se réunir et d'échanger. Elle est créatrice d'un véritable lien social entre les individus. Que la discussion tourne autour des goûts de chacun ou de sujets sociétaux plus complexes, la musique est au cœur d'échanges et de débats riches.
La musique déclenche des émotions modulées par divers paramètres, tel le tempo ou le mode, majeur ou mineur. L'étude de ces paramètres indique que l'on peut distinguer l'impact psychologique de la musique qui suscite colère, joie, tristesse ou apaisement.
En effet, des résultats antérieurs ont révélé que la musique provoque la libération de dopamine dans les structures cérébrales du circuit de la récompense, impliqué notamment dans l'analyse des émotions, le plaisir et la motivation, et que le récepteur D2 participe à la régulation des émotions.
Elle a le pouvoir de changer notre humeur, de libérer notre créativité et de nous motiver, en plus d'être un excellent aide-mémoire. Que l'on soit adulte ou enfant, la musique fait du bien et nous aide à développer nos connaissances et nos aptitudes face à certaines émotions.
Classique, électro ou rock, écouter de la musique n'est pas seulement un loisir. Elle agit sur nos humeurs. Selon le morceau choisi, elle calme et adoucit, stimule et fortifie. Des études ont même démontré son impact positif dans certaines maladies.
Pour des effets thérapeutiques
La musique douce ou classique apaise, ralentit le rythme cardiaque, baisse la tension artérielle et diminue même les niveaux d'hormones du stress. Aussi, si vous écoutez la musique que vous aimez, elle remplira votre cerveau de dopamine.
Elle traduit les institutions politiques, économiques. C'est un facteur de développement d'abord parce qu'elle aide à comprendre le milieu, géographique, social ; puis parce qu'elle est un facteur économique en ce sens qu'elle contribue à élever le niveau de vie de la communauté.
Car des études ont montré que lorsque nous écoutons de la musique, notre cerveau libère de la dopamine, molécule qui nous rend heureux. En conséquence, la musique, à travers les tons et les rythmes, active des zones du cerveau similaires à la joie.
La musique est une véritable aide à la mémoire, un booster de nos capacités intellectuelles, un catalyseur de nos émotions et un moyen de communication et de socialisation. Toutes ces fonctions la rende essentielle et inhérente à notre survie et ne font aucun doute sur ses bénéfices dans notre quotidien.
La musique est un allié de taille pour traiter les troubles psychologiques. Grâce à son effet relaxant, elle permet de réduire le taux de cortisol, l'hormone du stress. En revanche, elle stimule la libération des endorphines qui ont des vertus calmantes et analgésiques.
Écouter de la musique a un effet boule de neige sur votre mémoire et vos fonctions cognitives. Elle a également un impact positif auprès des personnes âgées et malades atteints d'Alzheimer à travers des cours de chant ou l'apprentissage d'un instrument de musique comme le piano.
Quand on est HS, voilà un bon moyen de se reposer et de se relaxer, de faire le vide, de ne penser à rien et de se laisser bercer par une musique douce. Elle vous aidera peut-être à vous endormir, à penser à autre chose, bref, on peut profiter d'un moment de fatigue pour écouter nos chanteurs préférés.
Des études ont prouvé que la musique est capable de stimuler l'humeur et de diminuer les risques de dépression. Elle améliore également la circulation sanguine, réduit le taux d'hormones liées au stress et soulage la douleur. Écouter de la musique avant une opération peut même améliorer les résultats post-opératoires.
De manière générale, les musiques très plaisantes activent les régions du cerveau impliquées dans la récompense/motivation, les émotions et l'excitation, notamment le striatum ventral, le mésencéphale, l'amygdale, le cortex orbitofrontal et le cortex préfrontal ventral médian [78].
Elle aide à calmer et à gérer les émotions.
Chanter ainsi que faire de la musique et en écouter favorisent la production d'hormones associées au plaisir, au bien-être et à la confiance. La musique a un effet calmant qui aiderait les tout-petits à gérer leurs émotions.
Garder le cerveau en santé
Des études montrent que la pratique musicale peut aller élargir certaines parties du cerveau responsables de l'activité motrice et perceptuelle. Ces effets sont particulièrement visibles si une personne commence à pratiquer la musique avant l'âge de 7 ans.
Pour les mélomanes, la réponse est claire et elle sera négative. Pour eux, passer une journée sans entendre la moindre mélodie est tout simplement impossible. Selon le célèbre philosophe et poète (ainsi que pianiste) allemand Friedrich Wilhelm Nietzsche, « sans la musique, la vie serait une erreur ».
Les paroles permettent à la musique de transmettre des messages. Lorsqu'une chanson a du succès, ces messages font en quelque sorte écho à la société, en influant par exemple sur notre sentiment d'appartenance sociale.
La musique favorise les relations au-delà des mots. Elle est intergénérationnelle et son action est multiple. Source d'expériences corporelles, sensorielles, sociales car son plaisir peut être partagé avec ses proches, elle marque les étapes de la vie émotionnelle et contribue à l'identité d'une personne.
285 Hz : influence le champ d'énergie, guérit et régénère les tissus. Cette fréquence réparatrice permet aux tissus de revenir à leurs formes originales. Elle restructure les organes endommagés, tonifie, purifie pour induire la guérison naturelle du corps.
Les musiciens consultent le plus souvent pour le syndrome de surmenage des tissus : des os, des tendons, des ligaments, des muscles, ce qui cause des douleurs. Et ce n'est pas parce qu'on a mal qu'on a forcément une tendinite », rassure la praticienne.