Ainsi, au cours de sa révolution la distance séparant une planète du Soleil varie. C'est actuellement vers le 3 janvier que la Terre est au plus près du Soleil (périhélie), à 147,1 millions de kilomètres et vers le 4 juillet qu'elle en est au plus loin (aphélie), à 152,1 millions de kilomètres.
En fait, dans l'hémisphère Nord, la Terre est plus loin du Soleil durant l'été! En réalité, la différence de température entre l'été et l'hiver s'explique par l'inclinaison de l'axe de la Terre. Si la Terre n'était pas inclinée, il n'y aurait ni été ni hiver.
On pourrait penser que le moment où la Terre est le plus près du Soleil correspond à l'été. Ce n'est pourtant pas la distance entre la Terre et le Soleil qui détermine les saisons. Au contraire, le moment où la Terre est le plus près du Soleil correspond à l'hiver dans l'hémisphère Nord.
Le mardi 4 janvier 2022, la Terre passe au périhélie. Que signifie ce phénomène astronomique ? Son explication repose sur la distance qui sépare notre planète et le Soleil. La planète Terre passe au périhélie le mardi 4 janvier 2022.
Éliminons tout de suite la première question : non, la Terre ne s'éloigne pas du Soleil. Pour cela, selon les lois de la physique, il faudrait que sa vitesse de révolution augmente, donc qu'on lui applique une force extérieure.
Ce mardi 4 janvier sonnera ainsi le périhélie de la terre : le jour de l'année 2022 où notre planète sera la plus proche du Soleil. À 7h54, la Terre se trouvera ainsi à 147 millions de kilomètres environ de l'étoile.
Contrairement à une idée répandue, ce n'est pas la distance qui nous sépare de notre étoile qui explique les saisons. C'est l'inclinaison d'environ 23 degrés de l'axe de rotation de notre planète par rapport à la perpendiculaire qui en est responsable.
Au cours d'une année, la distance entre la Terre et le Soleil varie. Aujourd'hui, la Terre est au plus près du Soleil.
L'explication est simple. La date n'est pas fixe. C'est en réalité dans une fourchette, entre le 19 et le 21, que le printemps astronomique commence car, si notre calendrier grégorien prévoit une date fixe pour chaque changement de saison, la durée des saisons diffère selon la révolution de la Terre.
Le printemps commence le 1er mars. L'été commence le 1er juin. L'automne commence le 1er septembre.
L'histoire de la Terre couvre approximativement 4,6 milliards d'années (4 567 000 000 années), depuis la formation de la Terre à partir de la nébuleuse solaire jusqu'à l'époque actuelle.
Donc la Terre est plus rapide sur son orbite en janvier et l'hiver est la saison la plus courte, de même elle est la plus lente en juillet et l'été est la saison la plus longue.
En général, les peuples anciens partageaient l'année en deux ou trois. La dénomination des saisons fondée sur un système binaire ou ternaire se retrouve en effet dans l'indo-européen commun. Les Babyloniens, utilisant à l'origine la division bipartite, paraissent avoir découvert le cycle des quatre saisons.
L'été météorologique correspond aux 3 mois les plus chauds de l'année, soit du 1er juin au 31 août et l'hiver météorologique correspond aux 3 mois les plus froids, soit du 1er décembre au 28 (ou 29) février.
L'axe de la rotation de la Terre autour du Soleil
L'inclinaison de l'axe de rotation de la Terre - un peu plus de 23 degrés - et sa rondeur font que les rayons arrivent de façon plus diffuse en hiver qu'en été. Ainsi, la même quantité de lumière chauffe une surface plus grande en hiver.
L'unité astronomique (au) est l'unité de mesure correspondant à la distance moyenne qui sépare la Terre du Soleil, soit environ 150 millions de km (exactement 149 597 870,7 km).
En France, en hiver, le Soleil se situe bien plus bas que l'équateur : on le voit donc moins. Les journées sont plus courtes, et elles sont aussi plus froides.
L'orbite de la Terre est elliptique et la Terre passe au plus près du Soleil début janvier (à 147 millions de km) et au plus loin début juillet (à 152 millions de km).
En effet, il s'agit du premier jour de l'hiver, et un phénomène astronomique marque cette entrée dans la saison hivernale : le solstice d'hiver. La particularité de ce phénomène est qu'il fait de ce 21 décembre la journée la plus courte de l'année en termes de luminosité dans l'hémisphère nord.
L'explication est la suivante : l'axe de rotation de la Terre est incliné à environ 23°. La Terre étant « penchée », les nuits se suivent mais ne se ressemblent pas. Ainsi, il y a seize heures d'obscurité en décembre, alors qu'il y a seulement huit heures de nuit en juin.
Plus un pays est éloigné de l'équateur, plus la trajectoire du soleil est inclinée par rapport à l'horizon. Et cela entraîne une durée différente pour le coucher du soleil. Le Caire se situe à 30 degrés de latitude nord, donc assez loin de l'équateur.
La planète qui en est le plus proche, Mercure, serait un petit grain de 2,5 millimètres gravitant en moyenne à 29 mètres de lui ! Vénus, elle, serait un gros grain de 6 millimètres tournant à 54 mètres de l'astre du jour.
Les astrophysiciens ont pu déterminer que l'axe de rotation de la Terre s'était ainsi déplacé d'environ 10 mètres au cours du siècle passé. Plus précisément de 10,5 cm par an.
RÉVOLUTION - En utilisant une nouvelle méthode de calcul, des scientifiques ont découvert que notre plus proche voisine serait la planète Mercure, et non pas Vénus. Elle reste néanmoins celle qui est la plus proche du Soleil.
L'hémisphère Nord est incliné vers le Soleil durant l'été. Il fait donc plus chaud l'été, car les rayons arrivent plus perpendiculairement sur nos régions que durant l'hiver. En hiver le sol reçoit moins d'énergie du Soleil dans l'hémisphère Nord, car : les rayons du Soleil sont moins concentrés à la surface.