La période de chauffage débute généralement autour du 15 octobre pour l'allumage des chaudières. Toutefois, il ne s'agit pas d'une période légale : cette date ne figure dans aucun texte. Elle peut donc varier en fonction de la région ou de la précocité du froid.
C'est notamment le climat d'une région qui va influencer la date de début ou de fin du chauffage. En 2023, le chauffage devrait s'allumer autour du 15 octobre, mais sans doute un peu plus tard. Selon le choix de la copropriété, les chaudières seront rallumées quelques jours avant ou quelques jours après.
Cette date peut être fixée dans le règlement de copropriété, prise par le conseil syndical ou définie à la suite d'un vote des copropriétaires en assemblée générale. La mise en route du chauffage collectif est pour autant souvent fixée au 15 octobre chaque année.
La période de chauffage est généralement du 15 octobre au 15 avril, variant selon la région. Il est conseillé d'allumer le chauffage lorsque la température reste basse pendant plusieurs jours consécutifs.
Le chauffage collectif est donc souvent mis en route autour du 15 octobre, pour être éteint en fin de saison, vers le 15 avril. Toutefois, comme on l'a vu, la date de démarrage n'est pas légale et la situation peut être différente, d'un immeuble à l'autre.
La température mesurée au centre de chaque pièce doit pouvoir être maintenue à 18°C minimum. Si ce n'est pas le cas, le locataire peut exiger du propriétaire qu'il intervienne. Si la température est de 18°C, le locataire ne peut pas exiger une hausse de la température.
Lorsque la mise en conformité avec la législation n'est pas effectuée dans un délai raisonnable, le locataire dispose de plusieurs recours : lettre recommandée de mise en demeure avec accusé réception, saisie de la commission départementale de conciliation, procédure judiciaire auprès du tribunal compétent.
Ce n'est donc pas recommandé d'éteindre totalement vos radiateurs la nuit car le matin, votre système de chauffage devra surconsommer de l'énergie pour atteindre sa température de consigne. Préférez une baisse de quelques degrés le soir afin de profiter d'une température ambiante idéale.
Comme pour une maison, la bonne température de chauffage pour un appartement varie, selon les pièces, entre 16° et 22°C. Les températures les plus basses pour l'entrée et les chambres, 19°C pour le salon et la chambre de bébé, et la température la plus haute pour la salle de bains.
Il est souvent recommandé de mettre en marche le chauffage lorsque la température extérieure avoisine les 19 °C. Il s'agit en fait de la température recommandée dans les pièces à vivre d'un logement et ce tout au long de l'année. En France, ces températures automnales surviennent fréquemment à partir du 15 octobre.
Oui, le chauffage collectif est en effet pris en compte dans les charges locatives. La répartition des charges se divise. Le locataire prend ainsi en charge le coût de l'énergie et de l'entretien courant des infrastructures de chauffage collectif.
Le syndicat des copropriétaires, représenté par le syndic, est responsable de l'installation du dispositif d'individualisation des frais de chauffage ou de refroidissement.
Contactez votre syndic de copropriété. Il fera intervenir un expert en chauffage ou un plombier compétent pour débrancher la chaudière collective. Une telle réactivité est importante et se doit d'être réalisée en urgence.
Une des obligations qui incombe au locataire est en effet de payer son loyer. Cette règle s'applique également lorsque le logement n'est plus approvisionné en eau chaude ou en chauffage. Il n'est pas autorisé de se faire justice soi-même.
La loi impose donc au propriétaire de fournir un logement décent et équipé d'une installation de chauffage adéquate. Un chauffage "suffisant" implique une capacité à maintenir une température ambiante minimale de 18°C dans les pièces à vivre.
La température idéale et saine que l'on conseille en général pour toute l'année est de 21-22°C à l'intérieur.
Les températures pour chaque pièce sont adaptées selon différentes caractéristiques : pour les pièces à vivre (salon, salle à manger, cuisine) la température recommandée est de 19°C, alors que pour la chambre elle est de 16°C. Pour la salle de bain elle se situe entre 17°C (inoccupée) et 22°C (en cas d'utilisation).
"L'endormissement est favorisé par une baisse de la température du corps humain. Une température idéale se situerait entre 16 et 18 °C", explique le Dr Maher Abouda, pneumologue et spécialiste du sommeil au centre hospitalier de Châteaudun (Eure-et-Loir), dans lle reportage du 20H de TF1 en tête de cet article.
Isoler le sol avec de beaux tapis
Du salon à la chambre à coucher, la meilleure solution (on n'en est plus au temps des moquettes !) se traduit par la pose de tapis, bien doux et bien épais. Outre le côté déco – et il y en a pour tous les goûts -, choisissez-les dans une matière naturelle de type laine, jute ou jonc.
Lorsque la température ambiante de la chambre est trop élevée, notre corps a du mal à baisser sa propre température, ce qui rend l'endormissement difficile. De plus, une chambre surchauffée empêche un sommeil réparateur et provoque des réveils nocturnes, également appelés "intra-sommeil".
La norme NF X35-203/ISO 7730 relative au confort thermique apporte des précisions quant aux températures recommandées pour travailler dans de bonnes conditions, à savoir : Dans un bureau : 20 à 22 degrés. Dans un atelier avec une activité physique moyenne : 16 à 18 degrés.
Dans ce cas, il est conseillé de contacter votre installateur de chauffage et d'effectuer un équilibrage hydraulique. Cela vous permet non seulement de chauffer à nouveau, mais également d'augmenter l'efficacité de votre système de chauffage et donc réduire les coûts.
17 degrés, c'est la température qu'il fait parfois l'hiver, au soleil, à l'abri derrière la digue. 17 degrés, ça suffit pour prendre des coups de soleil – on croit qu'il fait froid mais le soleil cogne et l'air de rien, on rougit. 17 degrés, surtout, c'est la température de la Manche en juillet.