La croissance devrait atteindre un petit 0,8 % en 2023. Après une fin d'année atone, l'Insee prévoit une très légère reprise, avec une hausse du PIB de 0,2 % sur les deux premiers trimestres de 2024, sur fond de désinflation. Lecture 3 min.
Après un recul de 0,1 % pendant l'été, le PIB devrait faire du surplace au quatrième trimestre de cette année, selon les dernières prévisions de l'Insee publiées ce jeudi.
La croissance mondiale devrait être de 3,1 % en 2024 et de 3,2 % en 2025 ; les prévisions pour 2024 sont supérieures de 0,2 point de pourcentage à celles de l'édition d'octobre 2023 des Perspectives de l'économie mondiale (PEM) en raison d'une résilience plus forte que prévu aux États-Unis et dans plusieurs grands pays ...
Si 2024 commence comme 2023, il y aura une récession, même si elle sera atypique et légère.»
L'inflation sous-jacente est également un indicateur très surveillé par les banques centrales de la zone euro. Sur le Vieux Continent, l'inflation, hors prix de l'énergie et de l'alimentaire, devrait s'établir à 2,7% en 2024 et 2,1% en 2025, contre 5% en 2023, selon l'Eurosystème.
L'inflation alimentaire ralentit nettement
On risque de vivre encore avec des prix toujours en hausse en 2024 et 2025". Pour rappel, l'inflation moyenne sur l'ensemble de l'année 2022 s'est élevée à 5,2%, contre 1,6% en 2021 et 0,5% en 2020. En 2023, elle devrait s'établir aux alentours de 4,9%.
Elle est redescendue aujourd'hui autour de 4 %. C'est encore trop élevé mais, selon nos prévisions, elle passerait sous les 3 % avant la fin de ce premier semestre. Et nous nous engageons, sauf choc, à ce que l'inflation revienne à 2 % - ce qui est notre objectif - d'ici à 2025 au plus tard.
L'amélioration de l'efficacité opérationnelle, le développement de la maturité de gestion de la performance et l'accélération de la transition technologique peuvent transformer la récession en une opportunité de croissance et de renforcement pour les entreprises.
Le rapport, intitulé Situation et perspectives de l'économie mondiale, estime que l'économie mondiale devrait maintenant croître de 2,3% en 2023 (+0,4 point de pourcentage par rapport aux prévisions de janvier) et de 2,5% en 2024 (-0,2 point de pourcentage), une légère hausse des prévisions de croissance mondiale pour ...
PARIS, 18 février (Reuters) - Le ministre de l'Économie et des Finances, Bruno Le Maire, a abaissé dimanche de 1,4% à 1% la prévision de croissance du Produit intérieur brut de la France pour l'année 2024.
Le PIB français est resté stable au quatrième trimestre 2023 et a progressé de 0,9% sur l'ensemble de l'année, après 2,5% en 2022, a annoncé ce mardi l'Insee.
ECONOMIE | Les Français devraient bénéficier d'un meilleur pouvoir d'achat grâce au rattrapage des salaires sur l'inflation et au reflux de celle-ci. Néanmoins, les perspectives économiques restent moroses pour 2024 avec une croissance évaluée à 0,8% du PIB.
L'économie mondiale est en voie de redressement, mais toujours pas sortie d'affaire. La reprise mondiale qui a suivi la pandémie et l'invasion de l'Ukraine par la Russie se poursuit peu à peu. À court terme, les améliorations sont indéniables.
Acheter de l'or physique
L'or physique peut être des lingots, des pièces de monnaie, des pépites, des poudres ou des bijoux. L'avantage d'acheter de l'or physique est que vous avez une assurance en cas de crise financière. L'inconvénient est que vous devez le stocker chez vous.
L'Allemagne et l'Italie vont finir l'année 2023 en récession. Plombée par la crise énergétique et la remontée des taux, la croissance du PIB de la zone euro continue de patiner.
Les livrets d'épargne (livret A, livret jeune, etc.) peuvent être une bonne solution à court terme pour mettre de l'argent de côté sans risque. Restez toutefois attentif au niveau de l'inflation. La rémunération de ce type de placements est souvent très faible.
Les anticipations d'inflation sont très importantes pour les banques centrales. Elles sont considérées à la fois comme une mesure de la crédibilité de la politique monétaire à atteindre son objectif de stabilité des prix et comme un canal de transmission de la politique monétaire.
Depuis 1986, l'inflation n'a plus dépassé 4 %. Mieux, on observe une inflation encore plus modérée depuis que l'euro est la monnaie officielle. En effet, l'inflation moyenne annuelle était de 1,7 % entre 1991 et 2001 alors qu'elle est de 1,4 % depuis 2002.
Ils ralentissent légèrement en 2023. L'inflation annuelle s'établit ainsi à +4,9 % après +5,2 % en 2022 et +1,6 % en 2021.
L'essentiel
L'inflation peut être causée par la demande, par les coûts et par la monnaie. Ses conséquences sont moins graves pour les pays en développement ou pour les emprunteurs, mais globalement l'inflation produit des effets négatifs en diminuant le pouvoir d'achat et en baissant le potentiel de croissance.
Ce phénomène est mondial. Plusieurs facteurs peuvent expliquer l'inflation actuelle : Une distorsion entre offre et demande, la guerre en Ukraine, le re-confinement en Chine, des relocalisations ou encore la transformation énergétique.
Taux de chômage actuel : entre 8 et 10 % (voire plus pour certains pays comme l'Espagne…). travail : changements de structures économiques, sociales, démographiques et institutionnelles (localisation des emplois, déclin de certains secteurs d'activité, progrès technique…)