Ces maladies de l'ego se rangent dans deux catégories : un excès d'attachement à soi ou un manque d'estime de soi. Dans les deux cas, c'est une source de souffrance car nous avons tendance à nous isoler socialement, à ne plus nous satisfaire au présent et à déprimer.
Pour répondre à cette question, il faut d'abord comprendre la nature de l'égo. Communément parlant, on pense que l'égo c'est le fait de se sentir supérieur à un autre, ou cela peut être aussi la bonne image qu'on se fait de soi-même. L'égo a cette connotation liée à notre identité.
Quand on ressent une blessure à l'ego, on éprouve une perte de confiance en soi ou d'estime de soi. On a l'impression qu'on ne mérite plus nécessairement l'estime d'autrui.» Évidemment, lorsqu'on vit un rejet ou un échec, les impressions sont souvent exagérées.
La mort de l'ego est déclenchée par une profonde perturbation dans le flot de la conscience normale, que ce soit avec des substances psychédéliques, ou par la méditation. La mort de l'ego est le fait d'expérimenter une « séparation » de l'ego et de voir la psyché comme si elle était vue de l'extérieur.
Lorsque votre égo prend le dessus, quand il essaye de prouver que vous avez raison, quand vous vous comparez à d'autres personnes, quand vous vous sentez supérieur : c'est parce qu'il essaye de vous protéger. Il essaye de préserver l'identité que vous avez créée.
Citation motivationnelle - Quand l'ego meurt, l'âme se réveille Avec en toile de fond la lumière du jour sur le jardin de tournes.
La conscience de sa propre valeur n'est pas plus innée que constante. Elle se construit dans le regard de l'autre, dans ses encouragements, dans l'accueil de sa gratitude. L'Ego se nourrit de la réussite, de la victoire du Grand Soir et des petites victoires du quotidien.
L'ego serait même "le contraire de l'amour". Il ne ressemble en rien à l'amour, cette "énergie qui nous pousse à aller vers les autres, à donner, à aimer, à comprendre, à partager, à s'associer, à s'unir, à s'unifier, à harmoniser."
Vous vous comparez souvent au autres, jugez les gens, les critiquez... Vous redoutez plus que tout la mort. Vous n'êtes jamais satisfait et souhaitez toujours plus. Vous avez BESOIN, vous VOULEZ, vous DEVEZ, vous DEVREZ, tu AURAIS DU, tu DOIS... c'est votre égo qui parle...
L'ego, c'est la conscience et la représentation que j'ai de moi-même en tant que personne. C'est le « moi » en résumé. C'est la construction du « moi » qui me permet de me considérer comme un individu séparé du monde.
Il faut dialoguer, échanger, proposer des solutions et surtout mettre en avant tous les aspects positifs qu'entraînerait un changement de comportement de la part de l'employé. Les personnes avec un fort égo ont besoin de se sentir aimé ou du moins important.
On entend parfois parler d'ego surdimensionné, et on voit bien ce que cela signifie : quelqu'un qui se prend pour une personne plus importante et valeureuse que les autres, qui ramène tout à elle, quitte éventuellement à se montrer égoïste et à utiliser les autres à son profit…
Ne soyez pas aveuglés ni accrochés à ce que les autres peuvent accomplir, dire ou faire. Concentrez-vous sur ce que vous avez à faire pour atteindre vos objectifs. N'écoutez pas cette petite voix (votre ego somme toute) qui vous rend envieux ou vous donne des complexes, ne tombez pas dans le piège de la comparaison.
Vous saurez que c'est votre ego qui vous dirige quand une des situations suivantes se produit : Vous vous critiquez ou critiquez quelqu'un d'autre. Vous comparez vous-même ou quelqu'un d'autre en mieux ou en pire. Vous vous justifiez et vous défendez.
L'orgueil est une stratégie de l'ego, un écueil, mais ce n'est pas l'ego. Quand on dit que quelqu'un a trop d'ego, ça ne veut rien dire. En termes de psychisme et même de spiritualité, l'ego c'est la personnalité, le véhicule, donc personne ne peut avoir trop d'ego et à contrario, il est impossible de ne pas en avoir.
En réalité l'égo n'est ni mauvais, ni méchant, il fait juste parti de nous. C'est un peu comme un enfant qui a besoin d'être rassuré pour grandir, pour laisser évoluer les autres parties de nous.
L'ego, c'est la conscience que chaque individu a de lui-même : il s'agit de notre perception de notre propre personnalité, de nos traits de caractère et de notre intellect. L'ego, c'est aussi le moi, le je que nous employons pour parler de nous.
Flirter avec lui. Riez de ses blagues. Faire sentir à un homme qu'il a un grand sens de l'humour est un bon moyen de flatter son égo. Vous pouvez avoir différents sens de l'humour, mais ne résistez pas à l'envie de rire quand il fait ou dit quelque chose de vraiment drôle.
L'ego agite la peur, c'est désagréable, et vous avez une envie pressante : fuir pour échapper à l'inconfort associé à votre expansion. L'intuition vous parle avec amour, c'est doux et délicat, et vous posez des actes inspirés qui vous mènent vers votre accomplissement (parfois en traversant l'inconfort...).
Mais en réalité, les choses sont différentes : les hommes blessés se retirent. En d'autres termes, ils réagissent plus émotionnellement que nous ne le pensons. Pourtant, 22 % des hommes souhaiteraient pouvoir parler de leurs sentiments plus facilement et être aussi empathiques que les femmes.
L'amour demande beaucoup de choses : du temps, la connaissance de l'autre, avoir vécu des moments forts ensemble, etc. L'attachement est une certaine emprise sur l'autre, on a peur de le perdre, on a souvent de grandes attentes par rapport au comportement de l'autre, des frustrations et des déceptions en découlent.
La flamme s'éteint
Selon Eduardo Calixto, chef de neurobiologie de l'Institut National de Psychiatrie Ramón de la Fuente Muñiz, le passage du temps fait que les récepteurs perdent de la sensibilité. Sous trois ans, ils arrêtent de répondre aux stimuli et la sensation plaisante d'amour disparaît.
Votre ego se manifeste souvent au-travers de votre autorité et de votre grand désir, bien souvent inconscient, d'imposer aux autres vos idées, vos façons de penser ou d'agir. Vous pensez que ce que vous dites ou faites est bien, que ce que dit ou fait l'autre n'est pas bien et c'est là que vous avez tort !
contenir avec peine son impatience, son dépit, sa ...
Prétention, suffisance. Le sujet conscient, le "moi", le sujet pensant.