En 2050, les Maldives risquent de disparaître des cartes, submergées par l'océan Indien. Du coup, leur président prépare déjà le déménagement. En 2050, les Maldives risquent de disparaître des cartes, submergées par l'océan Indien.
La configuration de l'archipel, notamment sa faible altitude avec 80 % de ses terres à moins d'un mètre au-dessus du niveau de la mer, et l'exiguïté de ses îlots dont 96 % ont une superficie inférieure à 1 km. Depuis 20 ans, l'archipel vit au rythme de catastrophes climatiques.
Les Kiribatis sont des îles paradisiaques comportant 33 atolls dans l'océan pacifique sud. Celles-ci seraient vouées à disparaître sous les eaux dans quelques décennies, conséquences du réchauffement climatique.
Triste avenir pour l'archipel de l'océan Indien... Le niveau de la mer s'élève de 3 à 4 millimètres par an mais ce taux devrait augmenter dans les décennies à venir. Les îles les plus basses, dont les Maldives, pourraient devenir inhabitables d'ici 2050.
Les Maldives sont un paradis tropical aux plages d'un blanc immaculé et aux récifs coralliens spectaculaires, mais elles pourraient disparaître d'ici la fin du siècle.
[CC / Climate Central]. La fonte des glaces est actuellement telle que près de 300 millions de personnes dans le monde risquent d'être touchées par la montée des eaux d'ici à 2050. Dont des centaines de milliers en France, comme le rapporte une récente étude publiée dans la revue Nature Communications.
La Chine continentale, le Bangladesh, l'Inde, le Vietnam, l'Indonésie et la Thaïlande sont les pays qui abritent le plus grand nombre d'habitants qui seront sous le niveau annuel moyen des inondations côtières d'ici 2050.
Un million de touristes par an produisent chaque jour individuellement plus de 7 kilos de déchets, contre un peu moins de 3 kilos pour un Maldivien […]. Résultat, plus de 300 tonnes de déchets arrivent chaque jour sur l'île de Thilafushi.
En 2100 la Terre compte 11 milliards d'habitants, elle sort d'une crise énergétique de plusieurs décennies. Malgré une transition énergétique réussie le réchauffement climatique atteint +5°C, avec de graves conséquences pour la disponibilité de l'eau, de la nourriture et de l'habitat.
Ce sera le cas du sud de l'Asie, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), et des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen) dès 2050. L'est de la Chine, une partie de l'Asie du Sud et du Brésil devraient également dépasser régulièrement un indice wet bulb de 35 °C d'ici 2070.
D'ici à 2030, le climat de la Terre pourrait revenir trois millions d'années en arrière. Si les émissions de CO2 se poursuivent au rythme actuel des chercheurs estiment que d'ici 2030, la Terre sera revenue trois millions d'années en arrière, en termes de climat.
La montée des eaux atteint 12 mm par an dans l'ouest du Pacifique. Au moins huit petites îles ont été englouties. Les îles du Pacifique vont être les plus frappées par les effets du changement climatique.
Les chercheurs placent la région des Hauts de France sous les eaux. Les villes de Dunkerque, Grande-Synthe, Calais et Saint-Omer, où près de 400 000 personnes vivent sous le niveau de la mer, seraient les plus touchées.
"Les Antilles font partie des îles les plus menacées" par la submersion marine et d'ici à 2040, certaines zones de Guadeloupe et Martinique pourraient devenir inhabitables, avertit l'experte Virginie Duvat.
Ce pourrait être le cas, d'ici 2050, de l'Asie du Sud, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen). D'ici 2070, l'est de la Chine et une partie du Brésil pourraient aussi dépasser les 35°C.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
Le destin le plus probable pour la planète consiste en son absorption par le Soleil dans environ 7,5 milliards d'années, après que l'étoile sera devenue une géante rouge et que son rayon aura dépassé celui de l'orbite terrestre actuelle.
En juillet, Ile de Gan et Atoll d'Addu bénéficie d'un bon ensoleillement d'environ 8 heures par jour avec un nombre de jours de pluie estimé pour ce mois à 12. Vous risquez d'être arrosés de temps à autre.
Impacts positifs du tourisme. Le tourisme joue un grand rôle sur le développement social par la création d'emplois, la redistribution des revenus et la réduction de la pauvreté. De nombreux autres avantages sont tirés du tourisme, aussi bien au niveau environnemental que social.
Les nuisances sur la qualité de vie des locaux
Transports en commun surchargés, plages bondées, nuisances sonores, etc. : ces inconvénients deviennent le lot commun des habitants. La cohabitation entre locaux et touristes devient peu à peu plus compliquée. Se développe ainsi un rejet du tourisme de masse.
En Europe, Londres (Royaume-Uni) ou encore Venise (Italie) ne sont pas en reste. En France, des villes comme Bordeaux et ses alentours, la région de Saint-Nazaire et les villages de la côte montpelliéraine pourraient être les premières à disparaître sous les eaux.
Où est-ce qu'en est la montée des eaux ? Au cours du XXème siècle, les eaux sont montées à une vitesse moyenne de 1,7 mm par an. Mais le rythme de hausse du niveau moyen des eaux s'est accéléré au cours dernières décennies, à une vitesse moyenne de plus de 3,6 mm/an.
Quelques pistes à suivre (ou pas)
On parle aussi souvent du Puy-de-Dôme, de la Creuse, de la Corrèze, du cœur la Bretagne et de la Normandie, d'une partie de l'Angleterre et même de la Cordillère des Andes…
Avec des villes comme Lyon ou Grenoble, la région Rhône-Alpes devrait en être la principale bénéficiaire : la croissance de sa population sera de 16,8 %. Elle sera, en 2030, la région la plus peuplée après l'Ile-de-France avec 6,9 millions d'habitants.
D'après les estimations de la NASA, ça donnerait ça sur les côtes de la France continentale (de Calais à Marseille en passant par La Rochelle) : Dans le cas où l'humanité réussirait à réduire et même à absorber des gaz à effet de serre : la hausse se limiterait à environ 18 cm d'ici 2050 et 40 cm en 2100.