le g se prononce « gue » : la gare, une gomme, aigu. Pour que le g se prononce « je » devant « a, o, u », il faut mettre un « e » après le « g » : une orangeade, la rougeole,… devant « e, i, y » : le g se prononce « je » : une page, la gélatine, une girafe.
On écrit e avec un accent aigu lorsque cette lettre est la première syllabe d'un mot. On écrit e avec un accent aigu lorsque cette voyelle est la dernière lettre d'un mot, éventuellement suivie d'un e muet, d'un s du pluriel ou des deux. C'est le cas des participes passés des verbes du premier groupe.
I) Hiatus & euphonie : ? L'hiatus est la succession de deux voyelles prononcées dans deux syllabes différentes, soit à l'intérieur d'un mot (oasis, déhanché, coordination...), soit à la limite de deux mots, c'est-à-dire à la fin d'un mot et au début du suivant.
-Il peut être représenté par 'er' et se prononcer comme le 'er' du mot marcher. -Il peut être représenté par 'è' et se prononcer comme le 'è' du mot mère. -Il peut être représenté par 'ê' et se prononcer comme le 'ê' du mot fête.
Devant les voyelles a, o et u, la lettre g se prononce [g]. Pour obtenir le son [g] devant e et i, il faut ajouter un u après le g. Quand la lettre g est placée devant une consonne, elle se prononce [g]. Il existe cependant une exception devant le n : la lettre g se prononce [ɲ].
Assez vite, secundus a perdu sa finale en "us" et, peu à peu, on a commencé à le prononcer "seGond", sans doute tout simplement parce que c'est plus simple à articuler que "seCond".
Lui dire la règle : pour faire le son " j", il faut mettre un « e » après le « g » quand il est suivi des voyelles « a », « o », « u » (sinon, on entend ga go gu).
Devant une consonne double, la lettre e se prononce « è » et ne prend jamais d'accent. Exemples : la chouette, le dessin, la terre, l'antenne, la libellule. Le son [ k ] s'écrit le plus souvent avec la lettre c devant les lettres : r, a, o, u, l.
La règle est la suivante. Si le e n'est pas la dernière lettre de la syllabe, alors il ne faut pas d'accent. C'est le cas notamment des e suivis d'une consonne double puisqu'on coupe la syllabe entre les deux consonnes. En revanche, si le E est la dernière lettre de la syllabe, il faut un accent.
On peut trouver un verbe avec cette terminaison lorsqu'il suit un verbe déjà conjugué. Ex : Je vais aller à la piscine. Si le doute persiste, on peut remplacer ce verbe par un autre verbe du 3e groupe. Le verbe en -er ont un participe passé en -és ou -ées au passé composé.
Règle : on écrit toujours « bon anniversaire » car « anniversaire » est un substantif masculin. Puisque « anniversaire » est au masculin, l'adjectif s'accordant en genre et en nombre, on écrira « bon ».
En général, quand une voyelle commence un mot composé, on double la consonne qui suit lorsqu'après cette consonne il y a une voyelle. Enfin, on doit doubler la consonne dans la formation des temps des verbes, quand ce doublement a lieu à leur racine, qui est l'infinitif.
Des mots aussi courants que parasol ou télésiège, par exemple. En fait, ce sont surtout des mots commençant par S auxquels on a ajouté un préfixe : antisismique, antisémite, ou antisocial ne prennent qu'un S après "anti", il est bien entre deux voyelles, et pourtant on ne le prononce pas "z".
Quand le « e » est la première lettre d'un mot, on écrit « é », sauf avec le mot « ère », il y a toujours des exceptions avec la langue française ! Exemple : énorme, étoile. Quand le « e » est la dernière lettre d'un mot, même au pluriel, ou un « e ». Exemple : fusée, côtés.
Mot français ayant le plus d'accents aigus : hétérogénéité. En règle générale l'accent aigu se place sur la voyelle -é : - La bonté, le café, la charité, un éléphant.
L'alphabet français compte six voyelles graphiques, à savoir : A, E, I, O, U et Y. Le système vocalique du français standard compte seize voyelles phonétiques, ou vocoïdes, à savoir : a, ɑ, e, ɛ, i, o, ɔ, u, y, ə, œ, ø, ɑ̃, ɔ̃, ɛ̃, œ̃.
On écrit « ou » lorsqu'il est possible de remplacer la conjonction de coordination par « ou bien ». Si le remplacement par « ou bien » ne fonctionne pas, alors on écrit « où ». « Ou » sans accent et « Où » avec accent grave sont des homophones grammaticaux.
Locution nominale
(Linguistique) Voyelle mi-ouverte antérieure non arrondie, transcrite en API avec la symbole [ɛ]. (Typographie) Lettre latine additionnelle similaire à l'epsilon grec minuscule : ɛ, Ɛ.
Comment détecter ces e muets ? Habituellement, le e muet correspond, à l'oral, à la voyelle [ə], qui a une caractéristique unique : on est libre de la prononcer ou non. Comparez par exemple [ʒəpaʁ] et [ʒpaʁ].
Le son [e] dit e fermé peut s'écrire : é : été, défi, parité œ : fœtus, œstrogène. a (devant un y uniquement) : balayer, abbaye, pays.
En phonétique, on appelle le son [j] le yod. Pour prononcer ce son, dîtes rapidement « i e i e i e i e i e », vous finirez par entendre le son [j] de cette manière !
le g se prononce « gue » : la gare, une gomme, aigu. Pour que le g se prononce « je » devant « a, o, u », il faut mettre un « e » après le « g » : une orangeade, la rougeole,… devant « e, i, y » : le g se prononce « je » : une page, la gélatine, une girafe.
Le mot "femme" vient du latin "femina". En ancien français, il pouvait s'écrire "feme", "fame", "femme", "fenme" ou encore "famme" et se prononçait [fãm]. L'évolution de la langue a amené le son [ã] à s'ouvrir et à se transformer en [a] alors que la graphie avec le doublement de consonne s'est, elle, conservée.