Le participe passé s'accorde toujours en genre et en nombre avec le sujet, même si ce dernier est placé après le verbe. Les bonnes nouvelles sont mieux accueillies que les mauvaises. Ont été achetés des outils et de la peinture.
Lorsque le participe passé est conjugué avec l'auxiliaire "être", il s'accorde en genre et en nombre avec son sujet. ex. : Nous sommes parti(e)s. Lorsque le participe passé est conjugué avec l'auxiliaire "avoir", il ne s'accorde pas en genre et en nombre avec son sujet. ex. : Nous avons essuyé la vaisselle.
Le participe passé s'accorde en genre et en nombre avec le sujet lorsqu'il est employé avec l'auxiliaire 'être'. Exemple : Les filles sont allées se promener après le repas. Le participe passé ne s'accorde jamais avec le sujet lorsqu'il est employé avec l'auxiliaire 'avoir'. Exemple : Aline a chanté samedi soir.
Les participes passés sont invariables lorsque, à l'intérieur d'une phrase, ils se rapportent à un nom construit sans déterminant et qu'ils précèdent immédiatement.
Au présent, les verbes des 2e et 3e groupes (ceux qui ne se terminent pas en -er) prennent un -s final à la première personne du singulier (je).
Passe une bonne journée !
À l'impératif présent à la 2e personne du singulier (tu), les verbes en -er ne prennent pas de -s à la fin. Tu manges→ Mange ! Tu écoutes → Écoute !
Remarque et à retenir ! Les verbes pronominaux suivants n'ont jamais de C.O.D. ; ils sont donc toujours invariables : se plaire, se complaire, se déplaire, se rire, se sourire, se succéder, se ressembler, se parler, se nuire, se survivre, se suffire, se convenir.
Rappel : Le participe passé ne s'accorde jamais avec le sujet quand on emploie l'auxiliaire avoir. Elle a rencontré une célébrité. Ils ont fini la bouteille. Mais le participe passé s'accorde avec le complément d'objet direct (COD) quand il est placé avant le verbe.
- Le participe passé employé avec l'auxiliaire être s'accorde en genre et en nombre avec le sujet du verbe. Ils sont venus. Elle est partie. - Il ne s'accorde pas lorsqu'il s'agit d'un verbe pronominal suivi d'un COD ou d'un verbe à l'infinitif.
Employé sans verbe conjugué, le participe passé se comporte comme un adjectif : il s'accorde en genre et en nombre avec le mot auquel il se rapporte. La lettre arrivée ce matin est très importante. 2. Le participe passé conjugué avec l'auxiliaire être s'accorde en genre et en nombre avec le sujet du verbe.
Tous les verbes du premier groupe prennent un "s" quand on les conjugue à la deuxième personne du singulier au présent de l'indicatif. Avec les verbes en "ir" comme "bondir", ou en "re" comme "descendre", il y a encore un "s" avec "tu". Et "voir" prend lui aussi un "s" au présent et devient "tu vois".
Le participe passé des verbes conjugués avec l'auxiliaire avoir ne se s'accorde jamais avec le sujet : il est invariable si aucun complément d'objet direct (COD) ne le précède. Les enfants ont joué toute l'après-midi. Ils auraient réussi s'ils avaient suivi nos conseils.
On écrit "les pommes que j'ai mangées", mais on n'orthographie pas "les heures que j'ai passées". On note plutôt "les heures que j'ai passé" et on rédige aussi "le chat qui a mangé la souris".
Les verbes pronominaux se conjuguant avec l'auxiliaire « être », leur participe passé s'accorde le plus souvent avec le sujet : Elle s'est évanouie. Ils se sont enfuis.
Accord du verbe avec son COD
Savoir reconnaître le COD est absolument capital dans la conjugaison car lorsqu'il est placé devant un verbe et que ce verbe porte l'auxiliaire avoir, le verbe s'accorde en genre et en nombre avec son COD.
“Réussi” est un participe passé car on peut dire: “J'ai réussi.” Au troisième groupe, il peut se terminer par “i”, “s”, “u”, etc. Exemple : ““Reçu” est un participe passé car on peut dire: “J'ai reçu.”
Quand les verbes passer, sortir, rentrer, monter, descendre et retourner ont un complément d'objet, il faut utiliser l'auxiliaire avoir. Quand ces verbes n'ont pas de complément d'objet, il faut utiliser l'auxiliaire être.
Règle. Le participe passé employé avec l'auxiliaire avoir (PPA) s'accorde en genre et en nombre avec le pronom ou le nom noyau du groupe nominal (GN) qui occupe la fonction de complément direct (CD) si ce dernier est placé avant le verbe.
Exemples. Les verbes essentiellement pronominaux sont ceux existant uniquement à la forme pronominale ou dont le sens change à la forme pronominale. Les autres verbes construits avec un pronom réfléchi sont les verbes occasionnellement pronominaux.
Le verbe pronominal a le sens réfléchi s'il marque que l'action se réfléchit sur le complément qui représente le sujet. Le verbe pronominal a le sens réciproque s'il marque que l'action est faite par plusieurs êtres agissant l'un sur l'autre.
Un verbe accidentellement pronominal est un verbe qui peut se former avec un pronom réfléchi (me, te, se, nous, vous, se) mais qui existe aussi sans le pronom réfléchi : se battre/battre, se téléphoner/téléphoner, s'entraîner/entraîner…
À l'impératif, « va » ne prend un « s » que dans « vas-y ». Il faut donc s'assurer que le verbe est à l'impératif, mode qui se reconnaît au fait que le sujet n'est pas exprimé : par conséquent, s'il n'y a de « tu » ni devant ni derrière le verbe, on écrit « va » : Ne va pas t'imaginer que ce sera facile.
On dit toujours penser à(quelque chose ou quelqu'un) s'il s'agit du verbe. "J'ai pensé à toi" (utilisation du verbe donc "penser").
Vous pouvez vous désabonner à tout moment. On écrit donc « profite bien » : à la deuxième personne du singulier de l'impératif, il faut donc écrire « profite bien ». Par exemple : Profite bien de ta journée !