Si vous avez une maladie des reins, du foie, vous souffrez d'alcoolisme chronique, vous pesez moins de 50 kg : consultez un professionnel de santé avant de prendre du paracétamol. Si vous êtes enceinte : en règle générale, la prise de médicament doit être évitée pendant cette période.
Cependant en cas de surdosage, le paracétamol peut entraîner des lésions graves du foie irréversibles dans certains cas. Le terme surdosage s'entend par l'utilisation d'un dosage non adapté, une dose trop importante par prise ou par jour, et un délai minimum entre les prises non respecté.
Symptômes de l'intoxication par le paracétamol
Au stade 1 (au bout de plusieurs heures), les personnes peuvent vomir mais ne semblent pas malades. De nombreuses personnes sont asymptomatiques au stade 1. Au stade 2 (après 24 à 72 heures), des nausées, vomissements et douleurs abdominales peuvent apparaître.
Utilisé ponctuellement, sur une courte durée et en respectant sa posologie, le paracétamol est un antalgique sans danger. Mais lorsqu'il est pris en trop grande quantité ou pendant trop longtemps, il est toxique pour le foie et peut avoir de graves conséquences.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (Ibuprofène®, Voltarene®, Diclofénac®…)
Par contre le Doliprane au coucher devrait faciliter votre endormissement du fait qu'il peut diminuer la température du corps, condition indispensable à l'apparition du sommeil.
Résultat : le paracétamol induit une hausse de 5 mm Hg sur la pression systolique (le plus grand chiffre de la tension) et de 1,5 mm Hg sur la pression diastolique (le plus petit chiffre). Cette augmentation n'est pas énorme mais bien réelle.
Le Doliprane contient du paracétamol, le seul principe actif incorporé dans ce médicament. Le paracétamol est l'antalgique et antipyrétique de référence indiqué en première intention pour soulager les douleurs (maux de tête, douleurs musculaires…) et en cas de fièvre.
Pour rappel, on considère qu'un enfant a de la fièvre lorsque sa température corporelle dépasse 38°C et une prise en charge médicamenteuse est envisagée à partir de 38,5°C. Elle n'est toutefois pas systématique, surtout si l'enfant supporte bien la fièvre.
Il n'est généralement pas nécessaire de dépasser 3 g de paracétamol par jour, soit 6 comprimés par jour. Cependant, en cas de douleurs plus intenses, et sur conseil de votre médecin, la dose totale peut être augmentée jusqu'à 4 g par jour, soit 8 comprimés par jour.
Les effets indésirables avec le paracétamol sont rares. Ont toutefois été rapportés : des réactions cutanées allergiques, une hépatotoxicité (toxicité du foie) à doses trop élevées, et une destruction des cellules du foie (cytolyse hépatique ) en cas de surdosage aigu (7g et plus en une seule prise).
La dose habituelle est de 1 comprimé par prise, à renouveler au bout de 6 à 8 heures. En cas de besoin, la prise peut être répétée au bout de 4 heures minimum. Attention : cette présentation contient 1000 mg de paracétamol par comprimé : ne prenez jamais 2 comprimés à la fois.
DOLIPRANE est un antalgique (calme la douleur) et un antipyrétique (fait baisser la fièvre). La substance active de ce médicament est le paracétamol. Il est utilisé pour traiter la douleur et/ou la fièvre, par exemple en cas de maux de tête, d'état grippal, de douleurs dentaires, de courbatures, de règles douloureuses.
Des chercheurs de l'université de Colombie britannique au Canada viennent de montrer l'efficacité d'un certain type de paracétamol (l'acétaminophène) pour traiter l'anxiété, l'angoisse. En fait, la zone du cerveau qui répond à la douleur physique est, également, celle qui répond à la douleur émotionnelle.
o brusque gonflement du visage et du cou pouvant entrainer une difficulté à respirer (œdème de Quincke), o malaise brutal avec baisse importante de la pression artérielle (choc anaphylactique). Si une allergie survient, vous devez immédiatement arrêter de prendre ce médicament et consulter rapidement votre médecin.
Trois familles d'antidouleurs sont disponibles sans ordonnance : Les dérivés du paracétamol (Doliprane, Efferalgan, Dafalgan…) Les dérives de l'acide acétylsalicylique (Aspirine, Aspégic…) Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (Advil, Nurofène, Voltarène…)
En attendant la fin de la pénurie, il est possible de remplacer le Doliprane par d'autres médicaments. Le Dafalgan ou l'Efferalgan, fabriqués par UPSA, peuvent faire l'affaire. Ce sont deux antalgiques contenant uniquement du paracétamol.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Quatre AINS sont vendus sans ordonnance : l'ibuprofène (Motrin, Advil et autres marques), le naproxène (Aleve, Motrimax), le diclofenac (Voltaren Emulgel) et l'acide acétylsalicylique (AAS, Aspirine et autres marques).
La pression artérielle est dite normale lorsqu'elle est inférieure à 14,5/9 ou 145/90 mmHg et supérieure à 10/7 ou 100mmHg /7mmHg.
La posologie usuelle est de 1 comprimé à 1000 mg par prise, à renouveler au bout de 6 à 8 heures. En cas de besoin, la prise peut être répétée au bout de 4 heures minimum. Il n'est généralement pas nécessaire de dépasser la dose de 3000 mg de paracétamol par jour, soit 3 comprimés par jour.
Il lutte contre l'hypertension artérielle
L'acide ascorbique du citron, également nommé vitamine C, contribue à conserver les parois des vaisseaux sanguins plus souples et plus flexibles, ce qui favorise la réduction du niveau de pression du sang dans les artères.
Généralement, les premiers symptômes apparaissent à partir de 24h après un surdosage. Ses symptômes sont : nausées, manque d'appétit, douleurs abdominales. Au bout de 3 jours, on constate une fatigue importante, un teint jaunâtre, des migraines, voire une éruption cutanée.
Et donc pour le cas du paracétamol, il agit contre les douleurs modérées à légères et aussi sur la fièvre. Contrairement à ce que beaucoup croient, le paracétamol n'agit pas sur la fatigue, ce sont des vertus qui lui sont faussement attribuées.
L'acéclofénac (Cartrex® ou autre),le diclofénac (Voltarène® ou autre), le célécoxib (Celebrex® ou autre), l'étoricoxib (Arcoxia® ou autre) et le parécoxib (Dynastat®), le kétoprofène en gel (Ketum gel® ou autre) , le méloxicam (Mobic® ou autre), le piroxicam (Feldène® ou autre) et le ténoxicam (Tilcotil®).