Le cheval est un herbivore strict, qui passe entre 14 et 18h par jour à s'alimenter. Avoir un accès ad libitum au fourrage ou à l'herbe est un point essentiel tant pour leur bien être mental que pour leur santé digestive.
Respecter la digestion de son cheval, c'est lui distribuer des repas réguliers, à horaires fixes, au minimum fractionné en trois repas par jour. Cela permet d'assurer une consommation répartie dans la journée et une partie de la nuit.
Selon les recommandations d'affouragement courantes, la quantité minimale de foin par cheval et par jour est de 1,5 kg de matière sèche pour 100 kg de masse corporelle. Cela correspond donc à 1,7 kg de foin.
On recommande généralement 1 à 1,5 kg d'aliments secs par 100 kg de poids vif. Par exemple, un cheval de 600 kg a besoin d'environ 9 kg d'aliments secs par jour, ce qui correspond à 45 kg d'herbe, 10,5 kg de foin ou 12,8 kg d'ensilage.
Votre cheval se nourrit à la fois d'herbe (s'il a la chance de disposer d'un pré), de fourrages (foin, paille…), d'aliments concentrés (grains de céréales en l'état ou aliments élaborés contenant céréales, tourteaux, co-produits, minéraux, vitamines…) et de certains fruits et légumes dont il est souvent très friand ( ...
Il faut logiquement donner du foin quand il n'y a plus assez d'herbe, ou quand elle devient trop pauvre en automne et en hiver.
Chez le cheval, même si les récepteurs ne sont pas aussi nombreux que chez l'homme, la grandeur des contribue probablement à leur acuité visuelle qui est meilleure que chez la plupart des mammifères. Un cheval a une acuité visuelle du 2/3 de celle de l'homme moyen (c'est-à-dire, 20/30 contre 20/20).
Le cheval mange lentement
Mais, lorsque l'herbe est plus courte ou que ses besoins sont plus importants, il peut y passer 14 à 16 heures. Bref, il bouffe tout le temps. Par comparaison, le ruminant fait les 3 x 8 (8 heures à brouter, 8 heures à ruminer et 8 heures à se reposer).
Pour les chevaux dont c'est la principale source d'alimentation il convient de leur fournir à la place un fourrage de bonne qualité type foin de prairie ou tout autre fourrage conservé (foin de luzerne, enrubannages, …), ainsi qu'un concentré de façon à compenser l'herbe mais également les besoins supplémentaires liés ...
Bonjour: non il ne fait pas grossir: c'est l'essentiel de son alimentation, plein de fibre. Foin a volonté est une bonne devise.
En comparaison à d'autres animaux, les chevaux ont un système digestif très délicat. Certains aliments peuvent être très toxiques et dangereux pour eux. Il n'est donc pas possible de leur donner n'importe quelle nourriture. Les aliments suivants sont à bannir : le pain, le chocolat, les produits laitiers, la tomate.
L'artichaut, la betterave, les carottes, les pommes ou les poires sont des aliments habituellement offerts aux chevaux pour les récompenser. Ils ont l'avantage d'être source de sucre, de fibres, de vitamines et d'eau.
Le calcul de ration est donc simple…
Ici, on voit donc que pour un cheval au travail « léger », les besoins totaux en UFC par jour seront de 4,1 UFC (entretien) + 3 UFC (production) = 7,1 UFC/j.
les fibres poussent le contenu de l'estomac , donc pour une bonne assimilation de la ration de complément il faut donner le foin avant le grain .
Pour quoi donne-t-on traditionnellement du son de blé aux chevaux ? On donne du son de blé pour « rafraîchir » de système digestif … Il est faible en énergie et riche en fibre. On indique même qu'il faut éviter d'en donner de trop et trop longtemps car cela peut provoquer des diarrhées.
D'une façon générale les chevaux s'adaptent bien au froid. Lorsqu'ils ne sont pas tondus, ils sont à l'aise à des températures basses, même négatives, à condition de leur fournir ce dont ils ont besoin en fonction de leur âge, de leur état de santé, de leur état physiologique, du travail qu'ils fournissent.
La pomme est un aliment qui doit toujours être donné coupée en morceaux pour éviter au cheval une obstruction œsophagienne que l'on appelle aussi « empommage ». Des désordres digestifs sont possibles si la pomme est donnée en trop grandes quantités.
L'herbe du printemps est un aliment très riche en nutriments et elle est très facile à digérer. L'herbe à ce temps ci de l'année est plus élevée en humidité (75-85%), protéine (plus de 20%), énergie, sucres, vitamines et minéraux, qu'à d'autres moments de l'année.
Le cheval est un herbivore monogastrique non-ruminant. Il passe entre 15 et 19 heures par jour à s'alimenter dans la nature. Il se nourrit sous la forme de multiples petits repas, de jour comme de nuit.
La nuit, ils dorment environ six fois, leur cycle de sommeil le plus long durant un gros quart d'heure. Sinon, ils somnolent aussi pendant environ trois heures et demie par jour. À l'écurie, les chevaux restent éveillés environ 75% de la journée et passent seulement 4% de leur temps en sommeil paradoxal.
Ainsi, évitez les fruits exotiques comme les pamplemousses, pêches, oranges, citrons, kakis, clémentines… En général, évitez tous les agrumes pour votre cheval. Ensuite, les choux provoqueront des ballonnements, ainsi que les poireaux, tomates, brocolis et haricots.
Pour le cheval :
Peu de réactivité face aux couleurs comme rouge, marron, gris, vert. Le cheval reste très sensible aux contrastes et aux reflets.
Ces protections en filet (à ne pas confondre avec les œillères) permettent au cheval de voir, tout en empêchant les insectes volants de l'importuner en s'agglutinant au bord des yeux. Cela évite ainsi une réaction agacée du cheval lors d'un concours hippique ou d'une balade.