Exemple : je vais au cabinet médical. La préposition est aux avec les noms de lieux lorsque le complément est un nom inanimé toujours pluriel désignant un local, un endroit. La préposition est chez avec les noms de lieux lorsque le complément est une personne ou sont des personnes.
Il faut écrire : Quant au règlement, il peut se faire par chèque ou par carte bancaire. « Lorsque au règlement, il peut se faire par chèque ou par carte bancaire » ne veut rien dire. On n'écrit donc pas « quand », mais « quant » (« Quant au règlement » = « En ce qui concerne le règlement »).
Mais va-t-on à, au docteur ou chez le docteur ? Voici la réponse en une phrase : on utilise chez quand on parle d'une personne, et à / au quand on parle d'un lieu.
Quand il s'agit d'une personne ou d'une profession, on utilise le « chez »,_ on va chez le coiffeur, chez le médecin, chez ma soeur, chez mon ami… etc_. Par contre, s'il s'agit de lieu, on utilise le « à/au », on va au salon de coiffure, au cabinet médical, à l'école, à la poste… etc.
La préposition « chez » est également utilisée pour parler d'un lieu mais ce lieu doit obligatoirement désigner une personne. Ainsi, si vous avez une profession, un nom propre, ou un pronom qui fait référence à une personne physique, vous devez utiliser « chez » . Je vais chez le coiffeur. Il va chez le dentiste.
On écrit toujours « quant à » avec un t final, lorsqu'il est suivi de : à, au, aux. Il signifie : en ce qui concerne, pour ce qui est de, au sujet de.
Oui (« La nouvelle version du jeu ne sortira que en 2013 »). Il faut donc écrire « qu'en », et non « quand ».
Voici une petite explication toute simple. -> On utilise tout, quand ce qui suit est au singulier. -> On utilise tous, quand le nom qui suit est au pluriel. tout = adjectif féminin : toute, pluriel : tous, toutes.
Au, contraction pour à le, s'emploie avec les noms masculins qui commencent par une consonne ou une h aspirée. Au temple, au seigneur, au héros. Je lui dis au hasard. Aux, contraction pour à les, s'emploie avec les substantifs des deux genres.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
Même si au pluriel, l'article indéfini est des, si un adjectif épithète est placé devant le nom dans la langue écrite ou dans la langue orale soignée, on le remplace par de : (même s'il arrive qu'à l'oral usuel vous entendiez parfois que "des" est employé).
Les prépositions ou locutions prépositives introduisent des mots ou des groupes de mots qui sont compléments du verbe, du nom, de l'adjectif ou de l'adverbe. Les prépositions sont : à, de, pour, sur, dans, avec, en, par, parmi, ... Les locutions prépositives sont : afin de, à moins de, de façon à, par suite de, ... 2.
Un article défini contracté est un déterminant qui se forme à partir d'une préposition “à” ou “de” et d'un article défini (le, la, les, l').
On écrit qu'en lorsqu'on peut le remplacer par que...de cela. Qu'en penses-tu? => Que penses-tu de cela? On écrit quant lorsqu'on peut le remplacer par en ce qui me concerne.
Mais quand on veut demander l'opinion d'une personne, on doit mettre le pronom EN : “Tu EN penses quoi ?” Parce que dans ce cas-là, le verbe PENSER est suivi d'une préposition qui est DE. Tu penses quoi DE ce film, par exemple. – Donc on peut aussi dire : Qu'est-ce que tu en penses ? Ou : Qu'en penses-tu ?
La bonne forme est tu penses , avec un s .
Quand le verbe a plusieurs sujets, il se met au pluriel : deux sujets singuliers valent un sujet pluriel.
Après un de ceux qui, une de celles qui, le verbe s'accorde au pluriel : Un de ceux qui m'ont autrefois aidé a aujourd'hui besoin de moi. J'ai acheté l'une de celles qui t'avaient plu.
Pour la même raison, on a dit dans le temps « aller chez le boucher, chez la couturière, chez le barbier, chez la gantière, chez le docteur » tout simplement parce que les personnes exerçant des professions libérales habitaient sur leur lieu de travail.
A l'époque, beaucoup de coiffeurs étaient également perruquiers. Ils avaient pour habitude de poudrer les perruques de leurs clients, si bien qu'ils avaient eux-mêmes le visage et les habits recouverts de poudre. Ils ressemblaient donc à des merlans, ce poisson qui est enfariné avant d'être cuit à la poêle.
Mieux vaut éviter d'aller chez le coiffeur quand on est enceinte. Faux. Pour Sylvie, coiffeuse à l'institut Leonor Greyl à Paris, "pas besoin de modifier sa routine capillaire pendant la grossesse.