Le verbe «monter» indique toujours l'action de se déplacer de bas en haut. Et c'est inéluctable. De la même façon, «descendre en bas» ne se dit pas.
On parle alors de périssologie ou discours superflu. Les fameuses expressions « descendre en bas », « monter en haut », « panacée universelle » ou « prévenir d'avance » sont des pléonasmes involontaires ou inconscients marquant des erreurs syntaxiques, et une méconnaissance de la langue française.
Dans celui-ci, la figure est parfois involontaire comme dans l'expression « monter en haut » et cette faute devient une périssologie. Le contraire du pléonasme est l'oxymore.
pléonasme
Répétition dans un même énoncé de mots ayant le même sens, soit par maladresse (par exemple descendre en bas), soit dans une intention stylistique (par exempleJe l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux, vu [Molière]).
Le but de l'usage de l'oxymore est de créer la surprise chez le lecteur. L'oxymore permet d'exprimer ce qui n'est pas concevable et permet aussi de rendre compte de ce qui est absurde.
Participe passé du verbe occire, synonyme d'assassiner ou de tuer. Exemple : Il fut occis par son pire ennemi.
L'antanaclase (substantif féminin), du grec anti (contre) et anaklasis (répercussion), est une figure de style qui consiste en une répétition d'un mot ou d'une expression en lui donnant une autre signification également reçue mais toujours de sens propre.
Il est tout à fait possible de monter en bas. En bas résilles par exemple. Tu peux ainsi le dire, oui, mais il y a quand même le niveau bas et haut. Pour les personnages, soit il descend en bas, ou alors il monte en haut.
Une redondance aussi dans « Aujourd'hui »
Autre raison pour laquelle on ne doit pas dire cette expression : le mot « aujourd'hui » est lui-même un pléonasme. Le « hui » à la fin du mot signifie en ancien français « en ce jour ». À ce jour, on a gardé cette construction.
Quand le pléonasme n'ajoute rien à la force ou à la grâce du discours, il est dit « vicieux ». On distingue, ainsi qu'il est mentionné plus haut, le pléonasme sémantique et le pléonnasme syntaxique. Pour éviter toute superfluité de mots, on doit : se garder d'employer dans la même phrase des adverbes de sens identique.
Le contraire de l'oxymore est le pléonasme, figure de style qui consiste à utiliser deux termes de même sens, alors que l'oxymore rapproche deux termes de sens contraire.
Le pléonasme est une figure de style qui définit la redondance d'une information en associant deux mots de même sens. Souvent confondu avec la tautologie, le pléonasme est considéré comme une faute là où la tautologie renforce l'expression d'une pensée.
Quand dire néanmoins ? Le mot "néanmoins" est un adverbe qui a pour fonction de marquer l'opposition ou bien encore la concession. A l'image de son synonyme "cependant", un autre adverbe dont il se rapproche fortement par le sens, il sert à nuancer un propos ou une idée.
Quels sont les exemples de pléonasmes ? Nous avons vu qu'un pléonasme consiste à employer, dans une même phrase, une expression dont le sens est déjà impliqué par un autre mot. Descendre en bas : le grand classique du pléonasme, il est évident que descendre c'est se diriger vers le bas. Même chose pour monter en haut.
Le pléonasme est un terme ou une expression qui répète ou renforce une idée qui vient d'être énoncée. Le pléonasme est une figure de style lorsque l'effet d'insistance est recherché par le rédacteur ou le locuteur. Lorsque la répétition d'idées est inutile et abusive, on commet un pléonasme involontaire et fautif.
Le pléonasme est une figure de style où l'expression d'une idée est soit renforcée soit précisée par l'ajout d'un ou plusieurs mots qui ne sont pas nécessaires au sens grammatical de la phrase, et qui sont synonymes.
Je-m'en-foutiste : Définition simple et facile du dictionnaire.
anthropophobe . (Celui, celle) qui n'aime pas l'homme, les hommes. Synon. misanthrope.
profiteur (n.m.) 1. personne qui tire des profits immoraux ou malhonnêtes de quelque chose, parfois aux dépens d'autrui.
Tuer, faire mourir.
Occis est un terme qui vient du latin occisus, lequel dérive, à son tour, de occidere (« tuer »). Un occis est donc un défunt, celui qui a été tué violemment voire brutalement.
Tuer, trucider, zigouiller, c'est-à-dire ôter la vie de manière violente de façon concrète ou figurée. Exemple : Viens par là, sale traître, je vais t'occire avant même que tu n'aies le temps de crier au secours.
L'antiphrase (substantif féminin), du grec antiphrasis, de anti- préfixe (« contre ») et phrasis (« action d'exprimer par la parole »), est une figure de style qui consiste à employer, par ironie ou par euphémisme, un mot, une locution ou une phrase, dans un sens contraire à sa véritable signification.
La Synecdoque comprend deux objets sous le nom d'un seul, ou énonce un objet au lieu d'un autre qui, se trouvant avec celui-là dans le rapport du tout à la partie, ou de la partie au tout, y tient une intime connexion physique ou métaphysique (p. 261-262, il souligne).