Un roman, c'est un miroir qu'on promène le long d'un chemin. C'est dans ce sens – et par extension – que la littérature est définie comme le miroir de la société. Puisque le miroir reflète, on dirait que la littérature est un reflet de la réalité qu'il capte.
Le roman est l'histoire de personnages inséparables d'un environnement social avec lequel ils entretiennent des rapports divers. La place qu'ils occupent, identifiable à leurs actions, à leurs choix, et à leurs sentiments, permet de comprendre les idées, les idéologies et les valeurs dont ils sont porteurs.
Il reflète d'une certaine manière une partie de la société d'alors, à travers une noblesse un peu rêvée et une vie politique qui, quant à elle, traduit à travers la petite société inventée, une profonde connaissance des ruses des hommes face au pouvoir.
La littérature est très largement perçue comme le miroir de la société. Rien de bien original dans une période ou la critique marxiste est largement dominante sur le continent africain. Le critique doit démasquer les écrivains qui propagent des idées mauvaises, afin qu'elles ne contaminent pas la société.
Quand on veut décrire la personnalité d'un personnage, on peut penser d'abord à ses défauts et à ses qualités bien sûr. On peut aussi enrichir cette description de personnage avec d'autres éléments : ses rêves, son pire souvenir, ses phobies, sa plus grande peur, ses croyances religieuses ou ses objectifs dans la vie.
Le front : bas, bombé, étroit, fuyant, haut, lisse, ridé... Les sourcils : arqués, bien dessinés, broussailleux, droits, en accent circonflexe... Les yeux : noisette, noirs, vairons, verts, bridés, brillants, écarquillés, en amande, enfoncés, éteint, étincelants, exorbités, froids, globuleux, écartés, rapprochés...
Un protagoniste (du mot grec πρωταγωνιστής, protagoniste, « quelqu'un qui joue le rôle du personnage principal », dans le théâtre grec antique) désigne d'abord un acteur jouant le personnage principal, puis, par extension de sens, celui qui tient un rôle de premier plan ou le rôle d'un personnage clé dans la ...
Les livres sont très important pour notre civilisation. Ils développent notre imagination, nous permettent d'apprendre, de transmettre aux générations futures, ils créent une activité économique et donnent des emplois.
Le roman élabore une réflexion sur le monde.
On peut dire que le roman est la forme littéraire privilégiée pour cette « vision du monde » grâce aux personnages qui vont évoluer dans ce monde et percevoir le réel.
Le roman reflète la réalité comme Stendhal nous le dit : « un roman c'est comme un miroir qu'on promène le long d'un chemin. ». En effet, pour que le lecteur puisse s'identifier dans le livre aux personnages,il a besoin d' un certain cadre faisant office d'une quelconque réalité ressemblant à la sienne.
Le roman recrée tout un univers, avec ses valeurs positives ou négatives, et, par là, est porteur d'une « vision du monde ». Cette vision, l'auteur la transmet à travers ses personnages, par le regard qu'il porte sur eux et par ses rapports avec eux : sympathie ou antipathie, éloge ou blâme (explicite ou implicite).
La plupart des écrivains espèrent corriger la nature humaine en exposant ses vices avec réalisme, exagération ou ironie. Ils créent ainsi un miroir de la société qui permet de mieux la comprendre.
Le roman social apparaît au XVIII e siècle, époque à laquelle les romanciers mettent la fiction au service d'une vision politique et/ou sociale. Le roman permet à son auteur de dénoncer les pouvoirs politiques et les vices du siècle.
Par nature, le roman implique la fiction, l'invention de personnages et de situations imaginaires. Il implique aussi une construction, un ordre des faits, c'est-à-dire la négation du désordre et des aléas qui caractérisent la vie réelle, ou le réel de la vie.
D'une certaine manière, les écrivains sont perçus comme détenteurs d'une vérité historique et/ou politique. Ils constatent les faits, dénoncent les inégalités et les injustices. On ne compte plus les ouvrages qui aident à prendre conscience, à éviter de reproduire les erreurs du passé.
Sujet : Un écrivain, peut-il, par ses oeuvres, contribuer à l'amélioration de la société? C. Quel que soit le but qu'elle poursuit, la littérature contribue à l'amélioration de la société (des individus qui la composent) en développant le sens esthétique, l'esprit critique, la connaissance de soi.
C'est le discours littéraire, c'est l'acte littéraire, en tant qu'acte spécifique, qui le saisit et l'exprime. C'est ici que la littérature fait fonction historique, car l'Histoire – Histoire et historiens –, le discours historique, saisit le réel historique quand les choses se sont mises un peu en place.
Le livre comme symbole : une société sans livres est une société heureuse.
Terme de littérature. Personnage principal d'un poème, d'un roman, d'une pièce de théâtre.
Personne fictive d'une oeuvre littéraire. Rôle joué par un acteur. Individu qui se distingue par son comportement, son apparence.
Un titre est un type de métadonnée consistant en un nom que l'auteur d'un document ou d'une œuvre choisit pour désigner sa production. Par métonymie, le titre peut aussi être l'œuvre elle-même, plutôt que le nom qui la désigne (on parle par exemple de titre de presse).
Un visage qui exprime le bonheur ou la joie présente un sourire (les coins de la bouche sont relevés et légèrement tirés en arrière), les dents pourraient être visibles et une ride part de l'extérieur du nez vers les coins de la bouche. Les joues sont relevées et les paupières inférieures sont tendues ou ridées.
Synonyme : mine, physionomie, tête, traits. – Familier : bille, binette, bouille, frimousse, trogne. – Littéraire : masque.