Il faut prendre le temps, avant toute chose, d'analyser ce qu'on vit. Il faut pouvoir faire le point de façon globale, honnête et responsable. Prendre petit à petit du recul sur tout cela : sur votre job, vos conditions de travail, sur la société ou le secteur dans lequel vous travaillez, votre service peut-être même.
Identifier les causes du mal-être
En effet, les causes d'un mal-être au travail peuvent être très nombreuses : l'ambiance avec ses collègues, les relations avec son manager ou les clients de l'entreprise, la nature des tâches à accomplir, les horaires etc.
Si votre chef vous stresse, attention à ne pas vous laisser déstabiliser. La méthode Coué peut opérer des merveilles : répétez-vous que votre travail a de la valeur, que vous avez le droit de dire non. Si vous n'êtes pas d'accord, en revanche, préparez votre argumentaire avec soin.
Parmi les facteurs de stress, les cadres citent à 78% la surcharge de travail et à 66% le manque de temps pour effectuer ce même travail. Les relations humaines jouent également un rôle important.
Pour éviter le stress au travail, il faut veiller à avoir une bonne hygiène de vie ! Ponctuez votre emploi du temps perso de pauses sportives. Yoga, jogging, marche à pied ou encore piscine, peu importe tant que vous vous dépensez ! Bon nombre d'activités sportives ont un effet bénéfique sur le stress.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
Certaines situations professionnelles peuvent justifier de ne plus, ou pas, avoir envie de travailler. Le burn-out et le bore-out en sont deux exemples concrets. Ce sont deux syndromes d'épuisement professionnel. Le premier par surcharge de travail, le second par manque de travail.
Vivre sans travailler au cas par cas
Il est en revanche possible de donner quelques indications chiffrées. Concrètement, pour obtenir une rente de 1 500 euros chaque mois pendant 40 ans à partir d'un capital ayant un rendement de 2%, il vous faudrait épargner environ 474 500 €.
L'abandon de poste est une solution extrême pour ne plus retourner au travail. Le principe consiste à ne plus vous rendre sur votre lieu de travail et à ne plus rien faire pour votre employeur. Un salarié en abandon de poste a pour objectif d'obtenir un licenciement pour faute grave.
Prenez confiance en vous. Autre recommandation indispensable pour oser démissionner : la confiance en soi ! Quitter son emploi revient à faire preuve de beaucoup de courage. Non seulement en raison de cette peur de tout quitter, mais aussi de la peur du regard des autres.
Comment intervenir face au mal-être au travail ? Le premier instrument de lutte contre ce mal-être est le dialogue régulier entre le manager et le salarié. Il permet souvent d'identifier rapidement des signes précurseurs : irritabilité, saute d'humeur, discours critiques, dévalorisation personnelle.
La cause est habituellement un stress extrême ou de longue durée. En plus des difficultés au travail, les problèmes de la vie privée peuvent également engendrer un stress. Le stress en lui-même n'est – tout comme la peur – pas intrinsèquement négatif.
Hypertension, nervosité, fatigue, dépression… L'état de stress n'est pas une maladie en soi mais lorsqu'il est intense et qu'il dure, il peut avoir des effets graves sur la santé physique et mentale des travailleurs concernés.
Les causes de la souffrance au travail peuvent être multiples : une forte pression au travail peut être ressentie en raison d'un niveau d'exigence élevé, d'un faible niveau de contrôle sur la situation ou d'un manque de soutien social de la part de la hiérarchie ou de l'équipe.
Mal-être au travail : les signes qui ne trompent pas
Irritabilité, stress, perte de motivation, répercussions sur la santé physique et mentale, incapacité à prendre du recul, erreurs récurrentes, fatigue : il s'agit parfois de petits signes, mais ils sont à prendre très au sérieux dès lors qu'ils apparaissent.
Selon les actifs français (72%), le travail permet effectivement de se sentir heureux de manière générale. Ils sont aussi 44% à se rendre chaque jour « avec plaisir au travail ».
Le management devient toxique quand l'acte managérial lui-même, la façon de faire du manager, affectent fortement le bien-être et la performance des collaborateurs. L'issue dramatique la plus connue de la toxicité c'est le harcèlement, mais la toxicité ne se limite pas à cette situation.