Pour faire la différence entre on et ont, il faut mettre la phrase au passé. "On" reste "on" puisqu'il s'agit d'un pronom personnel comme "il" ou "nous". Par contre, au passé, "ont" devient "avaient" puisqu'il s'agit de l'auxiliaire avoir. On est venu ce soir.
« On » et « ont » étant homophones (on entend la même chose quand on les prononce), il est facile de se tromper et d'écrire « quand commence-t-ont ? » au lieu de « quand commence-t-on ? ». « On » est un pronom indéfini. « Ont » est le verbe « avoir » conjugué.
On m'appelle, on sonne à la porte. Deuxième utilisation majeur de “on”, c'est quand on a un grand groupe de personnes. Par exemple, on peut dire… on peut remplacer même par “des gens”. Si on dit “on”, c'est “des gens, plein de monde, plein de personnes”.
L'Académie française nous éclaire encore. Lorsque le pronom qualifie «un sujet dont on ignore le sexe ou le nombre», «des personnes indéterminées», l'usage veut que le participe ait un genre non marqué. C'est-à-dire un masculin singulier. Pour être correct, on préférera donc écrire: «On n'est pas sûr d'y arriver.»
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) ! Sors (3e groupe) !
L'accord est alors comme la première personne. - Deux secondes, on arrive. - On fait ce qu'on peut. Dans toutes les conjugaisons de on, la marque de la personne se fait uniquement sur le participe passé.
Mais depuis le XVIIe siècle, l'attribut peut s'accorder en genre et en nombre avec la ou les personnes que « on » représente, dès lors qu'elles sont identifiables. Si des petites filles se réjouissent d'être ensemble, elles pourront s'exclamer « On est contentes ! » ; l'accord se faisant au féminin pluriel.
1. Un être humain non précisé ; quelqu'un : On a frappé à la porte. 2. Des personnes dont l'identité n'est pas connue ou précisée : On vous demande au service du personnel.
Définition. On est un pronom personnel indéfini de la troisième personne, invariable, exprimant l'idée d'animé humain et fonctionnant toujours comme sujet. Il est dérivé du latin homo, homme. On a employé autrefois, dans un sens absolu et indéterminé, les formes hom, hum, hons, um, om, on, etc.
Le pronom on peut aussi représenter une ou plusieurs personnes qui sont bien définies. On peut alors le remplacer par un pronom personnel (je, tu, nous, vous).
Le pronom on
On écrit sans t le pronom indéfini on. Il occupe toujours la place de sujet. Si on vous en parle, faites-le moi savoir. On peut s'assurer que l'on a affaire au pronom quand on peut le remplacer par un autre pronom.
Ils ont été correspond à une conjugaison du verbe être : le passé composé. Ce temps est fabriqué avec l'auxiliaire avoir et le participe passé du verbe, été . Pour diverses raisons, le participe passé de ce verbe est invariable. Il s'écrit donc toujours été en trois lettres et ne prend jamais de e ni de s .
Le pronom on vient du nom latin homo « homme ». Étant à l'origine un nom, on l'employait avec le déterminant défini l' (forme élidée de le). L'on avait déjà un sens indéfini et signifiait « l'homme en général, les hommes ».
On n' est un pronom indéfini ou personnel suivi de l'adverbe de négation n'. Il est utilisé dans une phrase de forme négative. En général, un autre adverbe de négation tel que pas ou rien est également présent dans la même phrase.
on = pronom personnel ou indéfini. On peut remplacer par il, nous.
Puisque le genre et le nombre des personnes en question sont ignorés, « on » est considéré comme étant de la troisième personne du masculin singulier, et il exclut celui qui parle.
En général, on forme le pluriel d'un nom en ajoutant « s » au nom singulier. Pour certains noms, « x » est la marque du pluriel. En général, «s» est la marque du pluriel à l'écrit.
En fait, les deux sont possibles, on peut écrire on est allés ou bien on est allé .
Quelques exemples : on est rentrés tard (ou rentré ), on est bien rentrés (ou rentré ). Si le mot on désigne un groupe de femmes, on peut accorder au féminin pluriel : on est rentrées à 2 heures .
Cette conjugaison à l'oral peut interroger l'interlocuteur. Ainsi, le pronom «on» est souvent préféré pour obtenir un langage que l'on qualifierait de plus «naturel». «On» dérobe alors au «nous» ses usages, et désigne de ce fait un groupe de personnes plus précis qu'incertain.
On n'écrit pas elles ont étés , car comme on l'a dit ce participe passé est invariable. De plus attention de ne pas confondre les conjugaisons qui se prononcent pareil mais s'écrivent différemment : la graphie elles ont étaient est incorrecte.