- Loi de Murphy. Tout est possible quand on ne sait pas de quoi on parle. Cette phrase de Loi de Murphy contient 12 mots. Il s'agit d'une citation très courte.
Trouver une bonne accroche quand on ne sait pas quoi dire
L'approche la plus commune est bien évidemment : “Salut, comment vas-tu ?”. Ce type de question est problématique, car elle amène instinctivement à une réponse mécanique. En effet, même une personne qui ne va pas bien ne dira probablement pas la vérité.
Celui qui n'est pas capable de savoir quand il faut se taire n'est pas capable de savoir quand il faut parler. Autrement dit, celui qui ne sait pas utiliser le silence, ne sait pas utiliser la parole. Ses propos sont inefficaces et tout ce qu'il dit paraît inepte.
Contrairement aux idées reçues, le silence est bien une forme de communication ! Mais comme son sens est très profond et variable, on ne l'interprète pas toujours comme il faut.
Lorsqu'une personne est traitée par le silence, le cortex cingulaire antérieur du cerveau est activé. Cela signifie que lorsque nous sommes ignorés, le cerveau dit que nous souffrons physiquement. Certains symptômes peuvent être des maux de tête, des douleurs à l'estomac, de l'insomnie, de l'anxiété et de la fatigue.
Vous pourriez dire par exemple : « cette robe est très jolie. Où l'avez-vous achetée ? » ou bien « j'aime beaucoup votre style. Où avez-vous trouvé ses vêtements ? » Utilisez des questions ouvertes autant que possible pour que la conversation ne se termine pas sur un « oui » ou sur un « non ».
Pour avoir des sujets de conversation, l'un des meilleurs moyens consiste à encourager votre interlocuteur à exprimer ses sentiments, ses pensées et ses idées. Soyez attentif, lorsque votre interlocuteur évoque des détails concernant sa vie privée ou quand il raconte une histoire X Source de recherche .
Pour toujours avoir quelque chose à dire, c'est important de garder à l'esprit les deux dimensions d'une conversation. Soit vous pouvez parler d'un nouveau sujet avec votre interlocuteur. Soit vous approfondissez un sujet déjà mentionné. La difficulté est de trouver l'équilibre entre ces deux axes.
Voici les 3 raisons qui sont à l'origine de ce comportement : La peur de soi : de se laisser submerger par l'émotion, de perdre le contrôle qui serait alors considéré comme un manque de professionnalisme ou de compétence. La peur du conflit : la crainte de blesser son interlocuteur indispose beaucoup de personnes.
Exemple de phrases assertives
Je comprends ce que tu veux dire, mais je ne suis pas d'accord. Pourrions-nous prendre un moment pour parler d'un point sur lequel je ne suis pas satisfait ? Je comprends que tu as du mal à travailler avec Brice, mais ce projet doit être fini d'ici vendredi.
Maîtrisez vos émotions
Souvent, une conversation nous paraît difficile parce qu'on est engagé émotivement avec ce qu'on a à dire ou avec la personne en face de nous. Alors, la première chose à faire est de vous distancier de vos émotions. C'est la condition sine qua non pour vous donner le courage de parler.
Le deuxième problème qui coupe l'émergence des sujets de conversation, c'est le fait de juger son idée avant même de l'avoir dite à l'autre. Vous êtes le pire juge qu'il soit. Surtout quand on est timide et que l'on manque de confiance en soi, on se juge très négativement bien souvent.
La meilleure manière d'amener les gens à sympathiser avec vous est de faire des commentaires et de poser des questions sincères X Source de recherche . Reconnaissez ce que les autres personnes ou membres du groupe ont dit. Par exemple, vous pouvez dire : « Je vois ce qui vous a amené à avoir cette opinion, Édouard. »
Pour relancer une conversation, il n'y a rien de plus efficace qu'une petite plaisanterie qui fait référence à une discussion passée que vous avez eue. Par exemple, vous pouvez faire une blague sur la fois où il/elle a cassé la fenêtre de sa chambre quand il/elle essayait de changer une ampoule.
Assurez-vous de le regarder dans les yeux pendant la conversation. Essayez aussi de hocher de la tête ou d'acquiescer de la tête aux moments appropriés. Vous pouvez aussi lui montrer que vous l'écoutez grâce aux mots que vous utilisez.
Une des raisons qui vous empêchent d'aller lui parler est la peur que votre assurance en prenne un coup. Ne vous en faites pas. Vous ne devez pas penser que votre assurance ne repose que sur l'opinion d'une seule personne. Une grande partie de celle-ci devrait venir de ce que vous ressentez à propos de vous-même.
La peur du conflit, la peur de donner une mauvaise image de soi, ou tout simplement le manque de confiance en soi sont autant de raisons pour ne pas oser s'affirmer. On peut éprouver la sensation qu'on n'a pas la légitimité nécessaire pour s'opposer, ou tout simplement craindre le regard des autres.
Elle consiste à parler de soi plutôt que de parler de son interlocuteur et éviter de le placer dans une position d'accusé." Rappelez à votre chef ce que vous avez vu ou entendu et pourquoi cela vous affecte. "C'est le moment de donner à votre manager votre opinion, votre ressenti, confirme Marie-Luce Dubois.