Le diabète de type 1 est une maladie chronique qui apparaît, dans la moitié des cas, avant l'âge de 20 ans. Il est aussi connu sous le nom de diabète juvénile ou diabète insulinodépendant. Il survient lorsque le pancréas ne fabrique plus d'insuline.
Le diabète de type 1 représente environ 10% des cas de diabètes en France et dans le monde. La moitié des cas se déclare avant l'âge de 20 ans. Actuellement en France, l'incidence du diabète de type 1 est d'environ 15 cas pour 100 000 enfants de moins de 15 ans.
Les causes exactes de l'apparition du diabète de type 1 demeurent inconnues. Dans la majorité des cas, les cellules qui produisent l'insuline (cellules bêta), situées dans le pancréas, sont détruites par le système immunitaire. Le processus de destruction évolue habituellement sur plusieurs années.
Il se manifeste généralement à l'âge adulte, chez les individus de 40 ans et plus. Malheureusement, on constate qu'il apparaît également chez des personnes de plus en plus jeunes, en raison entre autres de l'augmentation du taux d'obésité. Dans les populations à risque, il peut même apparaître dès l'enfance.
Les symptômes du diabète de type 1
une augmentation du besoin d'uriner, qui devient fréquent et survient nuit et jour, avec des urines abondantes (polyurie) ; une augmentation de la soif (polydipsie) ; une perte de poids malgré un appétit qui augmente ; une fatigue importante ou une vision trouble.
Dans le cas du diabète de type 1, on peut beaucoup maigrir avant la découverte du diabète, puis reprendre du poids une fois le traitement à l'insuline en place. Mais le diabète n'est pas guéri pour autant. Il est simplement équilibré...
L'âge moyen au décès est de 79 ans, et est plus élevé chez les femmes que chez les hommes (81 vs 76 ans), comme en mortalité générale.
Le diabète de type 2 (également appelé « diabète non insulinodépendant » (DNID) ou « diabète gras »), plus fréquent que celui de type 1, touche essentiellement les personnes de plus de 40 ans. Cette maladie est grave par ses complications, notamment sur le cœur, les vaisseaux sanguins, les reins et les nerfs.
Ainsi, quand vous ne secrétez plus d'insuline, votre glycémie est plus élevée que la normale. Le diabète de type 1 sera diagnostiqué si votre glycémie à jeun est supérieure à 1,26 g/L (7 mmol/L) ou si votre glycémie, quel que soit le moment de la journée, est supérieure à 2 g/L (11 mmol/L).
Les complications à long terme du diabète de type 1
Lorsqu'elle persiste plusieurs années, une concentration élevée de sucre dans le sang provoque des complications particulières. Ce type de complications est essentiellement observé chez les adultes après plusieurs années de diabète.
Son traitement repose sur l'injection régulière d'insuline, l'adaptation du régime alimentaire et la pratique d'une activité physique.
Dans ce type de diabète, la fabrication d'insuline par le pancréas est quasi nulle. L'apparition de ce diabète est le plus souvent rapide. Il se révèle par un amaigrissement malgré un appétit augmenté, accompagné d'une polyurie (urines abondantes) et d'une polydipsie (sensation de soif intense).
Le diabète de type 1, généralement appelé simplement diabète, était déjà identifié comme une affection associée à une « urine sucrée »: une glycémie élevée (hyperglycémie) conduit à la libération de sucre en excès dans l'urine, d'où provient l'expression « urine sucrée ».
L'eau, cette alliée de toujours
L'eau est essentielle pour les diabétiques comme pour tous. Il est donc recommandé de boire entre 1,5 et 2 litres par jour pour assurer le bon fonctionnement de l'organisme et l'élimination des déchets. Cependant, elle a aussi son rôle à jouer quant au contrôle de la glycémie.
Si le glucose dans le sang demeure trop souvent élevé avec le temps, cela a un impact dommageable sur plusieurs organes du corps, principalement : les reins (néphropathie) les yeux (rétinopathie) le système neurologique (neuropathie)
Le diabète peut-être une cause d'altération du sommeil. Certaines insomnies sont en effet liées à des troubles de la régulation glycémique (notamment en cas d'hypoglycémies nocturnes, fréquentes chez les diabétiques de type 1).
« Le fait d'avoir un tour de taille élevé n'est pas une maladie en soi mais il est associé à d'autres anomalies, comme un excès de triglycérides, un faible taux de bon cholestérol, une tension artérielle et une glycémie qui commencent à augmenter.
Est-ce que je peux vivre longtemps avec le diabète ? Oui, il est heureusement possible de vivre très longtemps avec le diabète. Tou- tefois, par rapport à une personne non-diabétique, le diabète est un facteur de risque supplémentaire de complications affectant les organes vitaux comme le cœur, le cerveau et les reins.
Etre régulier dans ses apports alimentaires d'un jour à l'autre. Bien répartir ses apports en glucides au cours de la journée (en 3 à 5 prises) Réduire la dose d'insuline avant une activité physique. Contrôler sa glycémie en cas de malaise pour dépister une hypoglycémie et la corriger.
Les sports d'endurance tels que la marche, la randonnée, la course à pied, le vélo ou la natation sont les plus conseillés car ils permettent un entraînement progressif. Le sport aura pour résultat de faire baisser immédiatement le taux de glycémie, car quand nous bougeons, nos muscles consomment du glucose.
Quels sont les traitements ? Le diabète se soigne, mais ne se guérit pas. Les diabétiques de type 2 sont dans un premier temps traités avec des médicaments anti-diabétiques. Mais l'unique traitement pour le diabète de type 1 est l'apport d'insuline sous forme d'injection ou via une pompe.
Les carottes sont parfois précédées par leur réputation et évitées par nombre de diabétiques pour leur effet supposé hyperglycémiant. L'index glycémique (ou indice glycémique) de la carotte a longtemps été considéré comme élevé, avec une valeur de 92.
picotements, chatouillements, chair de poule, sensations étranges comme une piqûre d'épingle ou une décharge électrique; engourdissements (pertes de sensibilité d'une partie du corps); brûlures, démangeaisons, douleurs; transpiration, gonflement, froid ou chaleur injustifiée.
Cela implique que le glucose dans le sang ne peut pas être synthétisé par les cellules - en raison d'un manque d'insuline ou d'une résistance à l'insuline. Le corps ne peut donc pas métaboliser la nourriture que l'on mange en énergie. Ce manque d'énergie entraîne alors une augmentation de la faim.