Pas de contre-indication entre le paracétamol analgésique et la cortisone anti-inflammatoire. Conformément à nos conditions d'utilisation, les médecins ne sont pas habilités à porter de diagnostic en ligne.
Le Solupred® est anti-inflammatoire dérivé de la cortisone. Ce corticoïde a l'avantage, contrairement à la cortisone naturelle, d'entraîner moins d'effets secondaires. Ce traitement est donc employé pour soulager la plupart des inflammations importantes comme la polyarthrite rhumatoïde , le rhumatisme articulaire aigu.
Non, il n'y a pas lieu d'associer un AINS et du paracétamol. De la même façon, il ne faut jamais associer deux AINS. Si la douleur ou la fièvre persistent après la prise de l'un ou de l'autre, il faut consulter son médecin traitant qui cherchera la cause du problème pour donner le traitement nécessaire.
Ce médicament est réservé à l'adulte et à l'enfant à partir de 50 kg (environ 15 ans). Si les troubles que la fièvre entraîne sont trop gênants, vous pouvez prendre ce médicament qui contient du paracétamol en respectant les posologies indiquées. Pour éviter tout risque de déshydratation, pensez à boire fréquemment.
Elle est indiquée aux patients atteints de maladies rhumatismales. Elle est en plus très efficace pour lutter contre les inflammations, pour diminuer les douleurs et les raideurs articulaires en cas de polyarthrite rhumatoïde, de PPR (pseudopolyarthrite rhizomélique) ou de maladie de Horton.
La prednisone fait généralement effet très rapidement — habituellement dans une période de un à quatre jours — si la dose prescrite est suffisante pour réduire le niveau d'inflammation. Certaines personnes ressentent les effets de la prednisone quelques heures seulement après avoir pris la première dose.
Les effets indésirables les plus fréquents de ce traitement sont l'apparition de bleus, l'élévation de la tension artérielle, la rétention d'eau et de sel pouvant entraîner une insuffisance cardiaque, des troubles de l'humeur et/ou du sommeil, une prise de poids, un gonflement et une rougeur du visage, une poussée ...
Le dompéridone et le métoclopramide, tous deux des antiémétiques (contre les nausées et vomissements), peuvent accélérer l'absorption du paracétamol. Chez des patients sous traitement par probénécide (utilisé dans la goutte notamment), la dose du paracétamol doit être diminuée car celui-ci perturbe son métabolisme.
Si vous avez une maladie des reins, du foie, vous souffrez d'alcoolisme chronique, vous pesez moins de 50 kg : consultez un professionnel de santé avant de prendre du paracétamol. Si vous êtes enceinte : en règle générale, la prise de médicament doit être évitée pendant cette période.
Le Doliprane contient du paracétamol, le seul principe actif incorporé dans ce médicament. Le paracétamol est l'antalgique et antipyrétique de référence indiqué en première intention pour soulager les douleurs (traitement des maux de tête à l'intensité modérée, douleurs musculaires…) et en cas de fièvre.
un anticoagulant ; de l'aspirine ou un AINS ; un médicament contenant de la carbamazépine, du phénobarbital, de la phénytoïne, de la primidone, de la rifampicine, de la ciclosporine, de l'interféron alfa ou de l'isoniazide.
Il ne faut pas combiner les anticoagulants, les anti-vitamines K et les antibiotiques avec de l'alcool. En effet, il existe un risque que l'effet augmente ou diminue après avoir été métabolisé ensemble dans le foie. C'est le cas par exemple de la warfarine qui prévient la formation de caillots sanguins.
Dans les inflammations cutanées (eczéma, éruptions, etc.), la potentille tormentille (Potentilla erecta) pourrait remplacer la cortisone et éviter ses effets secondaires, selon une récente étude.
L'association entre un AINS et un corticoïde est possible.
Les corticoïdes ont habituellement un effet dopant initial qui combat la fatigue. Mais en cas d'usage prolongé ou lorsqu'on révèle, à leur interruption, une insuffisance surrénalienne, le phénomène est inverse avec une fatigue nette associée souvent à des douleurs musculaires qui renforcent cette impression de fatigue.
La pratique du sport est très efficace dans le processus d'élimination de la cortisone du corps. En effet, lorsque vous faites des exercices physiques quels qu'ils soient, vous transpirez. Cette transpiration est un excellent moyen pour évacuer les déchets se trouvant dans votre corps.
La prise régulière de paracétamol augmente également le risque de maladies cardiovasculaires, d'hémorragies digestives et de problèmes rénaux, selon les résultats de l'étude.
L'ibuprophène (Advil, Nurofen, etc.) est plus efficace contre certains types de douleurs, comme les rages de dents et les entorses, que le paracétamol et présente un peu moins d'effets secondaires que l'aspirine.
Il faut le répéter: le paracétamol est un médicament destiné à traiter la fièvre et les douleurs légères à modérées et non pas à guérir une infection, surtout lorsqu'elle est d'origine virale.
Ce médicament peut être pris indifféremment pendant ou entre les repas, en respectant un intervalle de 4 à 6 heures entre 2 prises. En cas d'insuffisance rénale, l'intervalle entre 2 prises doit être d'au moins 8 heures.
Ne pas mélanger avec un anti-inflammatoire ou de l'aspirine. Ne prenez surtout pas de médicament contenant un anti-inflammatoire ou de l'aspirine en même temps que de l'ibuprofène.
Je peux avoir du mal à dormir
L'insomnie est un effet secondaire fréquent des corticoïdes, mais pas systématique.
Au-delà d'une durée de prescription de trois mois, la cortisone entraîne une rétention d'eau et de sel, qui peut faire gonfler mais surtout être source de problèmes si l'on souffre d'hypertension ou d'insuffisance cardiaque.
Au cours des maladies inflammatoires graves, la posologie varie de 0,75 à 1,2 mg/kg/jour. A titre indicatif : 2 à 4 comprimés par jour pour un adulte de 60 kg. Des situations très exceptionnelles peuvent requérir des doses plus élevées. La posologie doit être adaptée à l'affection et au poids de l'enfant.