Trouver des excuses est le moyen le plus simple de sortir d'une situation compromettante. Si nous avons oublié un rendez-vous important, il vaut toujours mieux le mettre sur le compte de la providence.
“S'excuser, c'est une forme d'aveu de faiblesse dans l'esprit de certains, c'est se rabaisser à l'autre et reconnaître d'une certaine manière sa propre impuissance”, décrypte Maïté Tranzer*, psychologue clinicienne à Paris. Ne pas s'excuser est alors un moyen de montrer de l'assurance, de se sentir fort.
S'excuser à tout bout de champ est souvent le signe d'un manque de confiance en soi. Vous avez peur du regard des autres donc vous n'hésitez pas à vous excuser et à endosser leurs erreurs pour être aimé.
Alors que les excuses sont une occasion pour montrer son respect à l'autre, se justifier est une erreur à éviter, si on tient à se faire respecter.
Remerciez la personne pour vous avoir présenté ses regrets.
Vous pouvez simplement dire ceci : « Je vous remercie d'avoir présenté tes excuses » ou « J'apprécie tes excuses, merci » X Source de recherche . Évitez de repousser les excuses présentées par la personne en disant « c'est bon » ou « ce n'est rien ».
On a pu voir que les narcissiquessont des personnes obsédées par la publication quasiment constant de leurs réussites, objectifs atteints, vertus apparentes et compétences élevées. Cependant, ce type de personnalité caractérisé par une vision élevé de soi-même n'admet jamais ses propres erreurs.
rancunière. Enclin à la rancoeur, incapable de pardonner quelqu'un pour une action considérée comme un tort personnel.
D'autres phrases pour présenter les excuses poliment : Je vous prie de bien vouloir excuser mon absence. Je vous remercie d'avance de l'attention que vous porterez à mon excuse. J'ai conscience d'avoir mal agi et vous présente mes plus sincères excuses pour ce manquement.
On écrit « excuse-moi » lorsque l'on demande à obtenir le pardon de la personne ou des personnes offensées. La forme « je m'excuse » est grammaticalement correcte mais elle est critiquée car elle sous-entend que l'on s'excuse soi-même, ce qui serait impoli. Attention ! excuser est un verbe du premier groupe.
Dire: «J'ai honte de ce que j'ai dit» ou «je suis triste de t'avoir blessé» peut dissiper la tension liée à la situation. Il est important également de faire comprendre à l'autre que l'on comprend l'avoir blessé. Rassurez la personne en lui disant que vous avez retenu la leçon et que cela ne se reproduira plus.
Dans les deux cas, les excuses ont été visionnées par d'autre volontaires. Résultat ? Dans deux études sur six les volontaires ont jugé les excuses plus sincères lorsque la personne se met à genoux, et dans quatre études sur six lorsqu'elle pleure. Que ce soit en public ou en privé.
Notes. Une idée reçue est que je m'excuse contreviendrait aux règles de la grammaire, mais surtout à celles de la politesse. Les adversaires de cette locution affirment qu'on ne dit pas je m'excuse, puisqu'on n'a pas à s'excuser soi-même, et que d'ailleurs personne ne dit je me pardonne à la place de pardonnez-moi.
La meilleure façon de bien s'excuser reste d'assumer sa responsabilité. Mieux vaut reconnaître ses torts et exprimer ses remords plutôt que d'adopter une posture défensive. On reste simple, concis et clair. On ne cherche pas non plus à se justifier, mais à instaurer un dialogue sain.
Le pardon est avant tout personnel
Une personne qui refuse le pardon, se fait surtout du mal à elle-même. C'est elle qui vit avec la douleur de cette amertume. Donc en premier lieu, rappelle-toi que cette personne ui refuse de te pardonner, c'est à elle-même qu'elle cause du tort.
Ne dites jamais : « Je suis désolé d'avoir crié, MAIS c'est toi qui m'as énervé. » Présentez vos excuses et n'en dites pas plus, sans exception ni déni de responsabilité. Présenter des excuses à moitié n'est aucunement une façon d'exprimer des regrets.
S'excuser a un côté plus raisonné et moins émotif que de pardonner. On trouve et expose des motifs qui expliquent et justifient son geste. On essaie d'atténuer les conséquences de l'acte posé.
"Mes plus plates excuses", formule utilisée dans le langage soutenu pour s'excuser, n'a rien à voir avec le fait de faire des excuses "aplaties". En effet, le terme plat dérive de la platitude, qui est un acte de bassesse et de servilité. La formule s'utilise exclusivement au pluriel.
« Pardon », tout simplement. C'est la même chose que de dire « je m'excuse » ou de dire « désolé ». On a fait quelque chose de pas bien, on veut revenir à zéro, on demande d'oublier ce qu'on a fait, on dit « pardon ». « Pardon d'être arrivé en retard au rendez-vous ».
s'excuser
1. Donner des raisons pour se justifier, demander pardon pour quelque chose : Je m'excuse de mon retard. 2. Faire quelque chose en présentant ses excuses : Je m'excuse de vous contredire sur ce point.
Changez vos pensées pour passer d'un état de rancune à un état de reconnaissance. Il est vrai que la rancune ne vous fait du mal qu'à vous-même, parce que c'est vous qui ressentez des émotions négatives envers une autre personne. Pour combattre ce sentiment de rancune, remplacez-le par un sentiment de reconnaissance.
“Tout est pardonnable, excepté le mensonge, l'infidélité et la trahison.” Vos avis (4) : “Ce qui est pardonnable est d'avance pardonné. D'où l'aporie : on n'a jamais à pardonner que l'impardonnable.”
Soyez conscient de la signification du pardon.
Pardonner ne revient pas à s'excuser ou à accepter la trahison. C'est plutôt l'acte de vous libérer de la colère et de l'angoisse que vous avez pu ressentir envers celui qui vous a trompé. Pardonner, c'est lâcher prise sur ses ressentiments X Source de recherche .
À la suite d'une trahison ou d'une infidélité, il est souvent difficile de pardonner. La déception et la souffrance sont tellement fortes qu'il est impossible de quitter l'état de colère et de haine. Pourtant, pardonner permet de se sentir plus légère et de retrouver le chemin de l'apaisement pour mieux avancer.
Il ne se remet jamais en question, mais peut très bien jouer la comédie. Il est vide intérieurement, évoluant uniquement dans l'intellect et le calcul. Il instrumentalise l'autre qui n'est pour lui qu'un objet à exploiter, puis à jeter. Quand il a épuisé sa proie, il en choisit une autre.