La plupart du temps, c'est le signe d'une infection des reins (pyélonéphrite), de la prostate ou des voies urinaires (cystite). Pour le vérifier, un examen cyto-bactériologique des urines (ECBU) est proposé. Mais la présence de sang peut aussi révéler des calculs urinaires (coliques néphrétiques).
La présence de sang dans l'urine doit toujours faire l'objet d'une consultation médicale, car elle peut être révélatrice d'une pathologie grave. Cela étant, la cause la plus fréquente reste l'infection urinaire, qui nécessite tout de même une prise en charge rapide pour éviter les complications.
Le sang dans l'urine (hématurie ou hématospermie)
Lorsque l'hématurie est accompagnée de douleurs, une infection urinaire, un traumatisme, la lithiase ou la prostatite représentent les causes les plus fréquentes.
Le symptôme le plus évocateur du cancer de la vessie est la présence de sang dans les urines ou hématurie, qui peut toutefois être présente dans d'autres maladies. Le cancer est détecté par des analyses d'urine et des examens d'imagerie médicale.
Infection au niveau d'un rein (pyélonéphrite aiguë) : symptômes et diagnostic. Une pyélonéphrite aiguë est suspectée devant la survenue brutale d'une fièvre et d'une douleur lombaire d'un seul côté. Le diagnostic d'infection rénale est confirmé par l'examen cytobactériologique des urines.
L'aliment phare reconnu pour ses effets sur l'infection urinaire est la canneberge plus communément appelée "cranberry". Il peut y avoir une efficacité.
Se lever plus de deux fois la nuit pour aller uriner, est considéré comme un peu excessif. En effet, à partir de plus de 2 réveils on parle de nycturie. Cela peut révéler un mode de vie non adéquat, voire un problème médical.
Bien qu'aucun nombre fixe ne soit considéré comme "normal", une personne en bonne santé urine en moyenne six ou sept fois toutes les 24 heures. Faire pipi entre quatre et dix fois par jour peut également être considéré comme "normal", si cette fréquence n'interfère pas avec la qualité de vie de la personne.
La présence de protéines dans l'urine (protéinurie) peut indiquerdes troubles aux reins, une maladie rénale, une pression artérielle élevée, l'inflammation des voies urinaires ou un cancer des voies urinaires. La présence de sucre dans l'urine peut révélerun diabète ou une maladie du foie ou du pancréas.
Des urines trop foncées ou trop concentrées ne sont pas anodines. "Lorsqu'elles sont associées à des diarrhées, des urines oranges ou jaunes foncé peuvent révéler un début de maladie digestive.
Dans environ 20 % des cas, le patient se plaint également de douleur en urinant, d'envies fréquentes d'uriner, de sensations de brûlures au niveau du pubis ou du périnée, de spasmes de la vessie ou de douleurs dans le bas du dos.
L'infusion de thym, par exemple, est populaire pour son caractère antibactérien. Infusez quelques branches de thym dans de l'eau frémissante pendant une dizaine de minutes, puis filtrez tout ça pour ensuite boire votre nouvelle concoction.
Avec un traitement adapté, le taux de survie à 5 ans est de 80 à 90% lorsqu'il a été détecté au stade non invasif et un peu moins de 50% lorsqu'il était déjà profond au moment du diagnostic. Une fois guéri, le cancer de la vessie est sujet à la récidive dans 50 à 70% des cas de tumeur non invasive.
Les antibiotiques restent le seul traitement réellement efficace contre l'infection urinaire. Il existe un traitement monodose de l'infection urinaire qui agit très rapidement pour calmer les symptômes. Il peut être délivré sur ordonnance après (télé)consultation.
L'hématurie correspond à la présence de globules rouges dans les urines, spécifiquement > 3 globules rouges par champ à fort grossissement dans le sédiment urinaire.
L'eau minérale de la marque Hépar
Il est primordial de boire au minimum 1,5 litre d'eau par jour, surtout si vous êtes particulièrement sensible aux cystites. L'Hépar est généralement recommandée car il s'agit d'une eau composée de minéraux qui réduit les risques de constipation.
Après 18 heures, il est préférable de réduire autant que possible sa consommation d'eau et autres liquides. L'absorption de boissons irritantes pour la vessie, comme l'alcool, le café et les sodas, est déconseillée plusieurs heures avant le coucher. Les tisanes, fortement diurétiques, sont également à éviter le soir.
La desmopressine, prise par voie orale, est le médicament utilisé en première intention. Il s'agit d'une substance proche de l'hormone antidiurétique. Elle diminue fortement la production d'urine pendant la nuit.
Ne pas pousser : la vidange de la vessie doit se faire en douceur pour ne pas abîmer le périnée ; Vider complètement la vessie : lorsqu'une vessie ne se vide pas complètement, les germes présents dans la région peuvent proliférer et entraîner une infection urinaire.
Quels sont les examens clés? Une prise de sang permet de connaître le taux d'une protéine naturellement produite par la prostate, l'antigène spécifique de la prostate ou PSA. Une élévation de ce taux par rapport aux valeurs normales (inférieures à 4 ng/ml) peut être le signe d'une anomalie.
Le stress et l'anxiété en cause
Elles présentent en premier lieu un besoin trop fréquent d'uriner. Ces personnes ressentent la moindre tension de la vessie et dès qu'elle se remplit, la tension devient insupportable. Elles perçoivent cela comme un besoin pressant d'uriner alors que la vessie n'est pas pleine.
En cas de cystite et de prise d'antibiotiques, la consommation de boissons alcoolisées est fortement déconseillée. S'il faut éviter l'alcool, il est également nécessaire de proscrire les jus de fruits très acides (pamplemousse, orange, citron…), et même le café, ou en tout cas les excès de café.
3. Le citron. Acide et donc irritant pour la vessie, le citron – tout comme les autres agrumes — vous donnera envie d'aller aux toilettes.