Il peut tout à la fois désigner un «ensemble d'êtres ou d'objets ayant la même origine ou liés par la similitude d'un ou de plusieurs caractères», une «manière d'être» (genre de vie), une «allure» (mauvais genre), «une scène de vie» et plus étonnant encore, une «façon».
Ensemble de traits communs à des êtres ou à des choses caractérisant et constituant un type, un groupe, un ensemble ; sorte, espèce : Aimez-vous ce genre de spectacles ? Je n'apprécie pas trop ce genre d'individu. 2. Manière d'être de quelqu'un ; comportement, attitude ; allure de quelque chose : Il a un genre bizarre.
«Genre» ponctue une phrase qui a valeur d'explication ou accentue généralement le côté dérision, sérieux ou un certain dépit. Il s'apparente aux expressions «bien sûr» ou «vraiment» employées ironiquement autrement dit pour se moquer.
Aujourd'hui, «genre» peut se remplacer par la locution «du style de». Par exemple: «Je n'ai pas osé lui dire la vérité. Alors j'ai répondu en restant vague, genre je ne suis pas au courant...». Il peut aussi s'employer pour qualifier l'étonnement, l'agacement.
« Genre », un tic de langage dont la signification glisse à mesure que sa popularité augmente. Du latin « genus, generis » signifiant « origine, naissance », utilisé pour identifier et classer, le mot est devenu un marqueur de l'ironie dans la langue orale, « genre, ça c'est vrai ? ».
Le genre désigne des formes d'expressions. Autrement dit, c'est l'esthétique de notre texte. Tandis que le type est plutôt reservé pour classer les textes fondées sur des critères linguistiques.
Table, (ou mesa) est un nom féminin. On voit donc que le pronom qui le suit (la) et les adjectifs qui le décrivent (nouveau, ou nueva, et jolie, ou linda) sont tous deux féminins.
Souvent, il est utilisé par les personnes qui se définissent comme "non-binaires", c'est-à-dire qui ne se revendiquent ni homme, ni femme mais se considèrent en dehors des normes strictes de genre féminin ou masculin.
On reconnaît que le nom est mis au féminin par son article devant le nom (ex : un élève, une élève). Un nom masculin porte un article au singulier comme un, le, l', ce, cet, ton, mon et son. Au féminin, ces articles deviennent une, la, l', cette, ta, ma et sa.
Non-binaire : se dit d'une personne dont l'identité de genre ne correspond ni aux normes du masculin ni à celles du féminin. Agenre : sous-catégorie de non-binaire. Se dit d'une personne qui ne s'identifie à aucun genre. Ni homme, ni femme, ni mélange des deux.
Misandrie , subst. fém., dér. Aversion morbide pour le sexe masculin.
Transgenre (trans) : une personne dont l'identité de genre ne correspond pas au sexe qui lui a été assigné à la naissance. Les personnes dont l'identité de genre ne se situe pas dans le genre binaire peuvent s'identifier comme transgenre.
« L'analyse de genre » permet de mieux cerner les disparités existantes entre les femmes, les hommes et les personnes ayant d'autres identités de genre, et ce dans n'importe quel contexte. L'égalité des chances devrait être une réalité pour tous et toutes.
En français, il existe deux genres : le masculin (M) et le féminin (F). Il n'existe pas de neutre. Le genre de chaque mot peut se retrouver dans le dictionnaire sous forme d'abréviation : f.
Mot générique, mot épicène et masculin utilisé comme générique. Le genre grammatical ne doit être confondu ni avec le sexe ni avec le genre social du référent. Ainsi une perdrix, qui est du genre grammatical féminin, est un mot épicène qui peut aussi bien désigner un individu mâle que femelle.
Il existe cinq genres littéraires : le genre narratif, le genre poétique, le genre théâtral, le genre épistolaire et le genre argumentatif. La majorité des oeuvres littéraires sont classées dans un de ces cinq genres.
Le mot s'emploie au féminin et au masculin : une belle après-midi ou un bel après-midi.
Il peut exister plusieurs types de binarités. La binarité de sexe correspond soit à femme, soit à homme à la naissance selon le sexe biologique, tandis que la binarité de genre désigne l'attribution notamment de rôles genrés.
C - Cisgenre
Cette catégorie comprend les personnes qui avaient indiqué que leur sexe assigné à la naissance était identique à leur genre actuel.
« il/lui », « they/them », « elle/elle », « she/her/hers », « il/they », « il/elle » : toute une flopée de pronoms personnels sujets et compléments (et d'adjectifs possessifs) s'affichent.
Le vocabulaire français est fortement sexué et véhicule un grand nombre de préjugés sexistes à l'égard des femmes. Ceux-ci se révèlent d'une manière particulièrement édifiante dans les dissymétries sémantiques. Les dissymétries sémantiques proviennent de « l'inégalité de sens entre un mot masculin et son féminin.
Les grammairiens du XVIIe siècle ont préféré le principe de masculin dominant. « Il y a eu de nombreux débats quant à la meilleure règle. Finalement le masculin l'a emporté, en grande partie parce qu'on a considéré qu'il s'agissait du genre le plus noble », indique Laure Gardelle.
Quand l'adjectif se rapporte à plusieurs noms liés par ou, il est souhaitable de l'accorder avec ces deux noms en le mettant au pluriel : On demande un homme ou une femme non fumeurs. Je fais mon couscous avec des merguez ou de l'agneau grillés. J'aime les bleuets ou les fraises mûrs.