L'application du gel est habituellement cyclique, c'est-à-dire qu'elle se fait soit du 1er jour au 25e jour de chaque mois ou du 1er jour au 21e jour d'un cycle de 28 jours. La dose initiale recommandée est 2,5 g par jour (2 pressions sur le flacon doseur).
La prise d'un traitement hormonal substitutif à la ménopause accroît légèrement les risques de thrombose veineuse. Il s'agit de la formation d'un caillot dans une veine, provoquant une phlébite ou une embolie pulmonaire. Une thrombose artérielle (formation d'un caillot dans une artère) est également possible.
Cela peut être des bouffées de chaleur, des suées nocturnes, des maux de tête, une sensation de fatigue, des troubles du sommeil, une irritabilité ou des douleurs articulaires.
Au bout de deux ans, il est souvent conseillé de suspendre le traitement hormonal substitutif une fois par an pour voir s'il est toujours nécessaire ou si l'on ne peut pas diminuer les doses. Principal signe qui guide le médecin : la réapparition, le plus souvent dès les premiers mois, des bouffées de chaleur.
Le THS (oestrogène avec ou sans progestatif) est efficace pour atténuer les bouffées de chaleur, les sueurs nocturnes et la sécheresse vaginale, mais que l'utilisation du THS , même à court terme, est liée à l'accroissement des risques de caillots de sang, d'accidents cérébrovasculaires et des maladies coronariennes.
Quelles sont les hormones bio-identiques offertes au Canada? Les produits pharmaceutiques Estrace® (comprimés par voie orale), Estring® (anneau) et Vagifem® (comprimé) contiennent de l'estradiol-17β, mais ne font pas partie du traitement hormonal bio-identique.
Ainsi, la Sauge, le Trèfle rouge, le Houblon, les isoflavones de soja, le Gattilier, l'Actée à grappes noires… Sont des alternatives naturelles au Traitement Hormonal Substitutif.
Ce produit est présenté sous forme d'un gel inodore et non tachant. Pour obtenir une dose prémesurée, appuyez à fond sur le poussoir. Appliquez alors le gel obtenu en mince couche sur une grande surface, comme les bras, les cuisses ou le ventre. Laissez sécher le gel environ 2 minutes avant de vous habiller.
Manque d'énergie, difficultés de concentration, troubles de la mémoire, du sommeil, sautes d'humeur, spottings… ces symptômes ne sont qu'un aperçu des conséquences possibles d'un manque de progestérone.
Les effets secondaires recensés du traitement hormonal sont : saignements vaginaux, ballonnements, hypersensibilité des seins, maux de tête, nausées, vaginites et démangeaisons vaginales, crampes dans les jambes, sautes d'humeur et perte d'appétit sexuel.
Non. Un traitement hormonal bien équilibré n'entraine pas de prise de poids comme l'ont confirmé plusieurs études scientifiques.
Le traitement de la ménopause possédant le plus de recommandations en 2021 lorsque l'intensité des symptômes est forte, est le traitement hormonal substitutif (THM).
Les autres plantes proposées contre les troubles de la ménopause sont le ginseng, l'igname sauvage ou yam (Dioscorea villosa), le trèfle rouge (Trifolium pratense), l'achillée millefeuille (Achillea millefolium) ou le gattilier.
La ménopause et la prise de poids sont-elles liées ? Lors de la ménopause, les hormones féminines, les œstrogènes, ne sont plus produites alors que les hormones masculines, la testostérone, le sont toujours, à plus faible dose. Ce changement hormonal provoque une nouvelle répartition des graisses.
Œstrogène végétal: le soja, les graines de lin et le trèfle rouge contiennent des substances analogues aux œstrogènes, qui atténuent les bouffées de chaleur. Le millepertuis: des études établissent l'effet antidépresseur du millepertuis, surtout sous forme d'extrait concentré.
Alliant progestérone et oestroègnes, il sert à soulager les bouffées de chaleur et les désagréments liées à la ménopause. Mais il est aussi accusé d'augmenter le risque cardiovasculaire des patientes.
La ménopause est la période de la vie d'une femme où les règles ( menstruations ) s'arrêtent définitivement. Elle intervient généralement entre 45 et 55 ans et en général aux alentours de 50 ans. La ménopause est un phénomène naturel.
De la même manière que pour les femmes enceintes, le ventre peut être gonflé durant le cycle menstruel. Et ces ballonnements sont, une fois encore, dus à l'augmentation de progestérone qui peut entraîner des inconforts intestinaux, dont des gaz.
À la ménopause, un enzyme déclencherait le stockage des graisses. À la ménopause, la répartition des graisses se modifie dans le corps des femmes: moins dans les cuisses ou les fesses mais plus dans l'abdomen, donnant naissance à ce que les médecins appellent l'obésité abdominale.
Le taux d'Estradiol à la ménopause est inférieur à 50 pg/ml (sérum), il faut essayer d'arriver à un taux optimal entre 50 et 150 pg/ml. Ainsi si le taux est inférieur à 50 pg/ml la patiente se plaindrait toujours d'une anxiété et d'une dépression.
Étaler le gel, de préférence après la toilette, sur une grande surface de peau (environ 2 fois la taille d'une main), sauf sur les seins. Il n'est pas nécessaire de masser ou de frotter. Laisser sécher 1 ou 2 minutes avant de remettre un vêtement.
Pour maigrir à la ménopause et perdre de la graisse abdominale, voici quelques conseils à appliquer : Adoptez un régime alimentaire spécial ménopause, avec 4 à 5 repas par jour, des produits riches en fibres et en éliminant les aliments trop sucrés et trop gras. Faites de l'exercice de façon régulière.
Le sport permet de lutter efficacement contre la prise de poids mais aussi contre d'autres symptômes comme les bouffées de chaleur, les troubles du sommeil et les sautes d'humeur. La pratique quotidienne de la marche [18] réduit également, les risques cardio-vasculaires et diminue le mauvais cholestérol.