Quand prendre les 15 jours de congé pathologique ? Le congé pathologique est réservé aux femmes enceintes présentant une grossesse à risque. C'est par exemple le cas des femmes souffrant de diabète, d'hypertension artérielle, ou lorsqu'il y a un risque d'accouchement prématuré ou de fausse couche.
Pour en bénéficier, la salariée doit prévenir son employeur par lettre recommandée avec accusé de réception, en joignant ce certificat médical. L'avis d'arrêt de travail est constitué de trois feuillets. L'un doit être remis à l'employeur et les deux autres à la caisse d'assurance maladie dans les 48 heures.
Il peut vous être prescrit dès les premiers mois de grossesse (à partir de la déclaration officielle) et avant que ne commence votre congé maternité (6 semaines avant l'accouchement dans le cas général).
Le congé pathologique postnatal : 4 semaines supplémentaires au maximum. Un accouchement prématuré : en cas de naissance prématurée de plus de 6 semaines avant la date prévue, le congé postnatal est prolongé du nombre de jours restants pour atteindre la durée légale du congé maternité
Pour un congé pathologique, il convient, dans la limite des quatorze premiers jours dudit congé, de renseigner le motif "02-maternité" dans la rubrique " Motif de l'arrêt - S21. G00. 60.001 ".
Le congé pathologique prénatal peut être prescrit à compter de la déclaration de grossesse et jusqu'au début du congé maternité prénatal (6 semaines avant l'accouchement en général). Il dure 14 jours maximum, pris de manière consécutive ou fractionnée.
Le congé pathologique est un arrêt de travail en rapport avec un état pathologique résultant de la grossesse. Il peut être prescrit, par un médecin, en une ou plusieurs fois avant le congé maternité pour un délai de 14 jours maximum. Ces jours sont indemnisés en maternité. Aucune carence ne sera appliquée.
La demande doit être faite avant la date théorique de congé, en adressant une demande écrite à la CPAM, accompagnée d'un certificat du professionnel de santé qui suit la grossesse attestant que la prolongation de l'activité professionnelle est possible au regard de l'état de santé de la maman.
Vous devez adresser à la CPAM : CPAM : Caisse primaire d'assurance maladie les documents suivants : Demande de report du congé de maternité Certificat médical attestant que votre état de santé permet de prolonger votre activité professionnelle avant la naissance.
Lorsque votre état de santé nécessite du repos, votre médecin généraliste, votre gynécologue ou votre sage-femme peut vous prescrire un congé spécial, appelé "congé pathologique". Celui-ci peut avoir lieu avant le début du congé maternité ou après la naissance de votre bébé.
Les sages-femmes peuvent prescrire des arrêts de travail, conformément au 4° de l'article L. 321- 1, à une femme enceinte en cas de grossesse non pathologique. La durée de l'arrêt de travail prescrit en application de l'article D. 331-1 ne saurait excéder quinze jours calendaires.
Le congé pathologique est un congé supplémentaire prescrit aux femmes enceintes. Il est accordé par le médecin gynécologue ou généraliste lorsque la grossesse présente des risques et qu'un repos complet est nécessaire pour mener à bien la grossesse.
Pour bénéficier de cette disposition, la femme enceinte devra nécessairement fournir à son employeur un certificat médical, attestant qu'elle allaite.
Qu'est-ce qu'une grossesse pathologique ? Une grossesse pathologique (ou grossesse à risque) est définie par des complications qui surviennent en cours de grossesse et/ou de l'accouchement. Elles impliquent la maman et/ou le bébé et nécessitent une prise en charge spécifique et un suivi de grossesse accru.
Le congé pathologique postnatal intervient à la fin du congé maternité (10 semaines après l'accouchement en général). Il ne peut pas être supérieur à 4 semaines consécutives et il est prescrit par le médecin général ou le gynécologue pour des motifs liés à l'accouchement ou à la santé du nouveau-né.
Montant de l'indemnité journalière maximum
Au 1er janvier 2022, le montant maximum de l'indemnité journalière maternité est de 89,03 € par jour avant déduction des 21 % de charges (CSG et CRDS).
Ce salaire journalier est calculé en prenant en compte les trois derniers bulletins de salaire avant la date l'interruption de travail due à la grossesse (12 derniers bulletins de salaire pour les travailleurs saisonniers), dans la limite du plafond mensuel de la Sécurité sociale de l'année en cours (soit 3 428 € en ...
Il suffit parfois de jouer la franchise auprès de l'employeur que vous quittez. Expliquez-lui votre situation pour en être dispensé. Vous pouvez également négocier un préavis de démission plus court ou proposer, s'il vous en reste, de prendre vos congés payés pendant cette période.
Les modalités du congé pathologique postnatal
Il s'agit d'un arrêt maladie, la maman devra donc dans un délai de 48 heures adresser les volets 1 et 2 de l'avis d'arrêt de travail délivré par son médecin au service médical de sa caisse d'Assurance Maladie, et adresser le volet 3 à son entreprise.
La durée du congé maternité est de 16 semaines. Le congé prénatal dure 6 semaines avant la date présumée de l'accouchement. Le congé postnatal, quant à lui, est de 10 semaines après l'accouchement.
Cas général. Votre congé doit débuter dans un délai de 6 mois suivant la naissance de votre enfant (notamment pour avoir droit à indemnisation par la CPAM : CPAM : Caisse primaire d'assurance maladie ), mais il peut prendre fin au-delà de ce délai.
La durée du congé maladie lié la grossesse
La durée du congé pathologique prénatal est de 14 jours maximum, de manière consécutive ou non, à partir de la déclaration de la grossesse. Attention, ces 14 jours doivent être pris avant le congé maternité.
Ces indemnités sont égales au salaire de base diminué du montant des cotisations sociales obligatoires. Ces indemnités journalières peuvent être versées pendant les six semaines précédant la date présumée de l'accouchement, voire deux semaines plus tôt, si un repos supplémentaire est prescrit par le médecin.
Certains travaux sont formellement interdits aux femmes enceintes. Ainsi, durant toute sa grossesse, une salariée enceinte travaillant de nuit (entre 21 heures et 6 heures du matin) ou exposée à certains risques (manipulation de produits chimiques toxiques, port de charges lourdes…) doit être affectée à un autre poste.