La conjonction soit se prononce [swa] comme le mot soie; exprime une alternative. L'adverbe soit se prononce [swat] avec un t sonore; exprime l'approbation ou la concession.
CT en fin de mot : le T se prononce en général \t\ : affect, compact, contact, correct, direct, district, exact, impact, infect, sélect, strict, tract, verdict… mais le T est muet dans certains mots : aspect, circonspect, distinct, instinct, prospect, succinct, suspect…
La lettre t se prononce t sauf dans certains cas. Le digramme th e tle digramme tz sont observés dans des pages distinctes. Cela se produit devant un i suivi d'une voyelle où t note généralement [s] : initiation, confidentiel, ambitieux, inertie. Il s'agit du t interne et non du t initial (tien, tienne).
La conjonction soit… soit… est parfois utilisée pour marquer une alternative entre deux propositions : soit vous faites le travail aujourd'hui, soit je m'adresse à quelqu'un d'autre.
Soit peut être le verbe être conjugué au subjonctif présent, mais à la 3e personne du singulier. Soit peut aussi être une conjonction désignant un choix ou une explication. Soient est le verbe être conjugué au subjonctif présent, mais à la 3e personne du pluriel.
Se prononce [swat] en liaison devant une voyelle ou un h muet ; [swa] devant une consonne ou un h aspiré. Soit est toujours invariable : Quand il exprime une alternative : soit il a vraiment oublié, soit il est de mauvaise foi.
Ex : Ses cheveux étaient doux comme de la soie. - verbe être au subjonctif présent : que je sois, que tu sois, qu'il/elle soit, qu'ils/qu'elles soient. Ex : Que tu sois blond, qu'elle soit rouquine, ou qu'ils soient bruns, tous les humains ressentent les mêmes choses.
Soi est un pronom personnel. Il peut être remplacé par : moi-même, toi, lui… Et est souvent suivi des prépositions « à, de, en, sur… » Soit est la forme conjuguée du verbe être.
D'accord, admettons.
On écrit « en soi » lorsque l'on veut dire dans l'absolu, de par sa nature même. Exemple : Votre question est très pertinente en soi et je vous remercie de me l'avoir posée.
Le t de "but" est prononcé seulement à partir du XVIIIe siècle et cela a tendance à se généraliser de nos jours. Mais les deux prononciations coexistent.
Expression qui s'emploie pour parler d'une personne dont on a une très haute opinion ou d'une personne qui a fait de grandes choses. On utilise aussi grand monsieur ou grande dame.
Vingt se prononce aussi [vẽt] (vin-t) lorsqu'il fait partie des nombres 22 à 29, et ce, même s'il est suivi d'un mot commençant par une consonne. Cependant, lorsque vingt est multiplié dans un nombre composé, comme dans 81 ou 92, on ne prononce pas le -t final [vẽ] (vin). »
Pour le nom, on parle du nom “fait”, pas du mot “fête” (FE avec l'accent circonflexe TE). Celui-là, une fête, quand on fait la fête pour s'amuser, eh bien, on prononce le T, forcément, mais sur le “fait”, qui veut dire un acte, une action, eh bien là, parfois on le prononce, parfois on ne le prononce pas.
Liaison interdite après une voyelle nasale
– on fait la liaison seulement quand un et aucun sont déterminants ; quand ce sont des pronoms, on ne fait pas la liaison (dans ce cas-là, ces mots forment un ensemble syntaxique avec le verbe qui précède, pas avec les mots qui suivent) : J'en veux un // au moins.
Le t se double après a, e, o et u, mais principalement après e, tant pour avertir que la syllabe est brève que pour faire prononcer l'e ouvert : patte, battre, baguette, mouchette, etc.
En tout état de cause, de toute façon.
quel que soit. "Quel qu'il soit" est une locution qui s'emploie lorsque l'on parle d'une personne ou d'une chose que l'on ne connaît pas ou dont on a une connaissance partielle. C'est aussi la marque de son indifférence quant à cette personne ou cette chose.
quels que soient/quelles que soient. Suivie d'un groupe nominal, cette locution signifie "peu importe". Pour utiliser "quel que soit", la phrase doit être constituée de deux parties, l'une contenant l'expression et l'autre y répondant. Exemple : Quel que soit son choix, il doit l'assumer.
Comment écrire « soit prudent » ? On écrit toujours « sois prudent » avec un -s. C'est le raccourci de « il faut que tu sois prudent ».
Phrase correcte. Faux. Il faut écrire : Sois patient ; comme dit l'adage, « tout vient à point à qui sait attendre ».
Doit-on dire : après que tu es partie ou que tu sois partie ? "Après que tu sois partie" (subjonctif présent) est à prohiber ! La faute est si courante qu'elle semble devenue la règle.
On emploie indifféremment qui ou qu'il avec des verbes qui peuvent se construire impersonnellement : Le peu de temps qu'il (ou qui) lui reste à vivre. Vous verrez ce qu'il (ou qui) arrivera. Allons voir ce qu'il (qui) se passe.