“Quand tout va mal, regarde-toi dans le miroir.” “Quand tout va bien on peut compter sur les autres, quand tout va mal on ne peut compter que sur sa famille.”
Etre au plus mal, connaître une situation désespérée et sans espoir d'issue favorable.
"Si tu doutais de tes peurs au lieu de douter de tes rêves, imagine tout ce que tu pourrais accomplir." "Il est temps de vivre la vie que tu t'es imaginée". "Il n'est jamais trop tard pour devenir ce que tu aurais pu être." "Chasse les peut-être de ton existence et agis, afin de donner une existence à tes envies."
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
La dépression sévère mélancolique (niveau le plus élevé de dépression) : forme très douloureuse, avec perte d'intérêt total pour le monde extérieur, incapacité à aimer, perte d'estime de soi, autodépréciation constante…
Qu'est-ce que la dépression souriante ? Une dépression souriante, par définition, est une dépression qui est imperceptible pour votre entourage parce que vous semblez heureux. Toutefois, elle peut être très douloureuse car vous souffrez intérieurement en luttant pour cacher vos symptômes dépressifs.
La durée d'un premier épisode dépressif est variable (de quelques semaines à plusieurs mois). La plupart des épisodes dépressifs dure moins de six mois. Si l'épisode dépressif est isolé, on parle de guérison.
Quand le quotidien s'enlise, que les objectifs deviennent flous et que l'on manque d'entrain, comment retrouver l'envie d'avancer ? En se fixant des objectifs qui nous enthousiasment. Et pour cela, il faut commencer par savoir vraiment ce qui nous motive, au plus profond de nous.
la consommation de drogues ou d'alcool ; l'isolement social et la solitude ; l'inactivité ou la procrastination ; ou encore une diminution de l'appétit.
"L'hospitalisation est nécessaire quand la dépression est sévère, quand la personne se sent dépassée et submergée par sa souffrance et qu'elle a éventuellement des idées suicidaires. Dans ce cas, il faut protéger la personne.
Au cœur de la dépression, c'est la régulation émotionnelle qui est atteinte, mais toutes les autres fonctions révèlent également des difficultés à travers les symptômes. Les émotions, changements d'humeur, pensées, perceptions et comportements sont tous liés à l'activité des cellules nerveuse de notre cerveau.
La dépression psychotique représente un état dépressif, accompagné de manifestations délirantes ou hallucinatoires. Ces troubles affectent les croyances, les pensées et les perceptions. Les sujets semblent souvent entendre des voix (hallucinations auditives) ou ne plus être maîtres de leurs pensées.
Ces stratégies pourraient être : écouter un CD, lire un livre, faire du sport, faire une promenade, prendre un bain de soleil ou de luminothérapie, appeler une amie, faire du Yoga, prendre un bain… Chaque personne est différente et a ses préférences. Vous pouvez alors vous créer vos stratégies individuelles.
Commencer une thérapie
Un avis partagé par Étienne Payen : "En libérant la parole, la thérapie, associée ou non aux médicaments, permet au patient de reconnaître qu'il est temps de lâcher quelque chose et surtout de donner un sens à ce qu'il traverse. Elle agit comme un moteur favorisant un changement d'état d'esprit".
Forme particulière de dépression, la dépression résistante se caractérise par la persistance de l'épisode dépressif malgré au moins deux traitements antidépresseurs successifs bien conduits ou qui n'évolue pas suffisamment favorablement sous l'influence de ces traitements.
3 – Commencez le plus tôt possible, n'attendez pas ! 4 – Planifiez vous un bilan et des situations intermédiaire à court terme et moyen terme, avec une place pour les breaks et les récompenses. 5 – Réfléchissez au meilleur moyen d'y arriver, parfois avec un peu d'astuces il est possible de se simplifier la vie !