Le dernier long entraînement d'endurance (90 minutes ou plus) devrait être réalisé environ deux semaines avant la compétition. Le rythme doit être plutôt lent, n'adoptez pas votre allure de compétition!
Certains positionnent la plus grosse sortie longue 3 semaines avant le marathon (comme on le fait sur Campus. coach). Et d'autres préfèrent la mettre 2 semaines avant. Dans tous les cas ces deux sorties longues doivent être les plus dures.
Le footing de veille de course est idéal pour entrer mentalement dans sa course. Les sensations des veilles d'épreuves chronométrées peuvent être très différentes. Que l'on ait l'impression de voler ou au contraire les jambes lourdes, cela n'augure que rarement du résultat du lendemain.
La dernière sortie longue de la préparation doit être programmée au plus tard une semaine avant le marathon. L'objectif de la phase 3 est de retrouver de la fraicheur physique tout en entretenant son niveau de forme. La durée de la dernière sortie longue ne doit pas excéder les 1h20-1h30.
Mangez léger et simple (le temps du stockage est dépassé) et pensez à vous hydrater régulièrement. Jusqu'au dernier moment, essayez de vous tenir à l'écart de la foule : écoutez de la musique, regardez un DVD, lisez un livre, etc. Bref, une activité de détente qui détournera votre esprit du stress de la course.
Séchez par l'alimentation
En parallèle de la préparation physique et sportive, une démarche diététique permet de potentialiser la phase de séchage. Commencer par fractionner les apports en trois prises (petit-déjeuner, déjeuner, diner), voire quatre à cinq prises (trois + collation du matin et/ou de l'après-midi).
4h30 : Allure de : 6'23/km. Vitesse : 9,38 km/h.
Pour avoir une meilleure idée, vous pouvez réduire d'environ 50sec/km par rapport à votre allure marathon. Par exemple, si vous courez le marathon en 3h30, soit une allure de 5 minutes au kilomètres, vous pouvez effectuer vos sorties longues à un rythme de 5:50/km.
Ainsi, pour un homme, une course de moins de 4 heures serait un bon chrono au marathon, vous feriez partie des 43% des coureurs. Pour les femmes, un temps inférieur à 4 heures et 30 minutes serait également très bon.
D'un point de vue physiologique, les études définissent le meilleur moment pour courir entre 15 h et 17 h. Mais votre meilleur moment pour courir est celui durant lequel vous ne subirez pas votre séance.
Mais quand on va courir à jeun, on a l'estomac vide. Le corps va donc plus rapidement épuiser ses réserves en glycogène et va aller chercher de l'énergie dans ses ressources lipidiques, autrement dit les graisses", explique Mathieu Pereira, coach sportif personnalisé et coach pour Nike Running.
Si votre objectif n'est pas associé au temps, mais que vous visez plutôt à compléter une certaine distance sans marcher, on peut généralement estimer que vous êtes prêts si vous êtes en mesure de couvrir 75 % de la distance de votre épreuve à l'entraînement, c'est-à-dire : 3,5 km pour un 5 km.
Voici une suggestion de petit-déjeuner d'avant marathon : 1 bol de thé du riz au lait (réalisé avec du lait écrémé) ou des céréales avec un laitage. du pain, des biscottes ou une part de biscuit de Savoie ou d'un gâteau diététique « énergétique »
Pour éviter le faux mur, ou au moins diminuer ses effets, suivez ces quelques précautions : Préparez-vous physiquement par un entraînement adéquat, en particulier en respectant une phase allégée dans les jours précédant la course. Hydratez-vous ! Buvez avant, pendant et après l'effort.
Pour réussir à courir 10 km en 1 heure, la VMA doit être égale ou supérieure à 12,5-13 km/h.
Pour réussir à courir 10 km en 50 min, la VMA doit être égale ou supérieure à 14-14,5 km/h.
Le calcul de l'allure de course est, lui aussi, très simple : allure en min/km = 60 / vitesse en km/h. De ce fait, si votre montre cardio GPS indique une vitesse de course égale à 12 km/h, cela signifie que votre allure moyenne de footing est de 5 min/km (60 divisé par 12 km/h).
Marathon de Milan – prochaine date : début arvil
C'est le plus rapide d'Italie parait-il, il est roulant. On perd 40 m entre le départ et l'arrivée. 10 km descendant les premiers puis quelques faux plats par la suite pour finir plus bas.
Le débutant se situant, en général, entre 7 et 11 km/h.
Après un échauffement (20 minutes de footing, PPG et 3 accélérations), vous courrez 3 fois 3 kilomètres à votre allure spécifique (une allure entre votre allure marathon et votre allure semi), avec 3 minutes de récupération entre chaque. Vous finirez la séance par un retour au calme de 10 minutes.
Privilégiez un repas facile à digérer pour votre corps et qui libère de l'énergie plus rapidement. Les coureurs de course rapide optent souvent pour des repas du type : Une poignée de céréales. Une banane avec du beurre de cacahuète et du miel.
Avant une course, il faudra privilégier les aliments suivants : Aliments riches en glucides (riz, quinoa, patate douce, pomme de terre, pâtes, pain, muesli, fruits). Des protéines maigres (volaille, oeufs, poisson blanc, thon). Limiter les aliments riches fibres, à partir de 48 heures avant la course.
Un en-cas tel qu'une banane vous donnera l'énergie nécessaire pour courir et sera facile à digérer. Une poignée de fruits secs et de fruits à coque, une barre de granola, un yaourt aux fruits ou un cracker tartiné de beurre de noix feront également très bien l'affaire.