La canicule survient à différentes périodes en fonction des pays. En France, la période des fortes chaleurs pouvant entraîner une canicule peut débuter de la fin du mois de juin et se poursuivre jusqu'au 15 août.
La troisième vague de chaleur de l'été 2022 devrait se conclure dimanche avec des orages sur la majeure partie de la France, accompagnés de fortes précipitations localisées, insuffisantes toutefois pour remédier à la sécheresse historique, selon les dernières prévisions de Météo-France.
Si l'été 2023 est vu plus chaud que la normale, il est important de noter qu'il est également modélisé comme instable. Au contraire de l'été 2022, ce trimestre juin-juillet-août 2023 pourrait être marqué par des conditions régulièrement orageuses et donc humides.
Les températures vont quelque peu baisser durant le week-end et jusqu'aux alentours du 10 janvier 2023, restant au dessus des normales mais avec une douceur nettement moins excessive. Cependant, de nombreux scénarios envisagent une nouvelle accentuation de la douceur aux alentours du 11 janvier.
Durant le week-end du 25 février 2023, Météo France a annoncé un retour du froid hivernal dans tout l'Hexagone. Ce phénomène devrait perdurer pendant plusieurs jours avant que la température ne retrouve des normales de saison.
Elles se produisent principalement entre janvier et février, mais peuvent apparaître plus généralement entre novembre et mars, les vagues de froid concernent régulièrement la France avec une intensité et une durée très variable.
La neige devrait donc entamer une font progressive sur nos massifs dès la fin de cette semaine du 6 au 12 février 2023, toutefois, cette fonte devrait rester relativement peu importante avec la persistance des conditions calmes et stables.
Un hiver 2022-2023 enneigé qui s'étirera sur plusieurs mois
Les températures glaciales devraient perdurer jusqu'au début du printemps, alors qu'on pourrait connaître des mélanges de précipitations et des tempêtes de neige... même après l'équinoxe!
pourquoi il faut s'attendre à des étés 2023 et 2024 particulièrement chauds. Le retour du phénomène "El Niño" aura vraisemblablement un impact sur les températures en 2023 et en 2024. Avec la hausse des températures dans l'océan Pacifique, le thermomètre pourrait plafonner à 1,5°C au-dessus des normales de saison.
Le 5 août 2003 et le 25 juillet 2019 sont les deux journées les plus chaudes jamais enregistrées en France métropolitaine, la moyenne de température enregistrée sur le territoire métropolitain lors de ces deux journées s'est établie à 29,4 °C. L'année 2022 est la plus chaude jamais enregistrée dans le pays.
Protégez-vous du soleil et de la chaleur en évitant de sortir aux heures les plus chaudes. Passez plusieurs heures par jour dans un lieu frais. Maintenez votre maison à l'abri de la chaleur. Fermez les volets et ventilez bien, aérez les pièces de votre habitation, surtout la nuit s'il fait plus frais.
« L'augmentation de la fréquence, de la durée et de l'intensité de ces événements caniculaires des dernières décennies est clairement liée au réchauffement observé de la planète et peut être attribuée à l'activité humaine », abondait ce lundi 18 juillet l'Organisation Mondiale de la Météo.
Avec 16,5 °C de température moyenne, Toulon est la ville la plus chaude de France métropolitaine, suivie de Calvi et Bastia, toutes deux situées en Haute-Corse. Cela fait certes un peu cliché, mais mieux vaut aller dans le Sud pour trouver de la chaleur toute l'année.
Le coeur de l'été météo 2023 ne devrait rien à voir de particulier avec une France potentiellement coupée en deux ; en effet, le flux d'Ouest le plus souvent anticyclonique rejetterait les précipitations sur le Pas de Calais, la Picardie ; il maintiendrait un temps sec et assez chaud sinon.
Quelle a été la température maximale lors de la canicule de 1976 en France ? Les températures maximales observées en France n'ont pas dépassé les 40 degrés indique Meteo-Paris. Les 15 et 16 juillet 1976 : il fait 38° en Aquitaine, 37 ° à Toulouse et 36° en Lorraine.
Janvier prévoit une température douce (pour un mois de janvier !) et pas mal de pluie, février restant lui aussi doux avec des précipitations de saison, ce qui fait dire que l'hiver 2023 serait plus froid et plus humide que celui de l'an dernier, donc nettement plus neigeux, tendance qui se poursuivrait en mars, même ...
En ce début d'automne, les projections du modèle européen pour l'hiver 2022-2023 n'envisagent aucun signal particulier concernant les températures en Europe de l'Ouest. En d'autres termes, le modèle envisage des températures proches des normales en France en faisant la moyenne du trio décembre, janvier et février.
Ils ont déjà baptisé les tempêtes qui s'abattront sur la France entre le 1er septembre 2022 et le 31 août 2023 : Armand, Béatrice, Claudio, Denise, Eraín, Fien, Gérard, Hannelore, Isaack, Juliette, Kamiel, Larisa, Mathis, Noa, Oscar, Patricia, Rafael, Sarah, Tiago, Valérie et Waid.
Selon les prévisionnistes, l'hiver 2022-2023 devrait rester dans les normales de saison, rapporte BFMTV. Côté précipitations, le Sud devrait être au sec.
Durant les deux premiers mois de l'hiver, le mercure devrait rester proche des normales saisonnières. L'Hexagone pourrait se voir couper un deux, d'un côté, à l'Ouest un flux océanique directement en lien avec un système dépressionnaire qui stagnerait au large des Îles Britanniques.
Ils atteignent le sol sous forme de neige lorsque la température de l'air est négative ou voisine de 0°C.
Ainsi, selon Météo-France, service officiel de la météorologie et de la climatologie en France, la tendance pour le trimestre novembre - décembre 2022 - janvier 2023 est « la prédominance de conditions anticycloniques avec un temps calme et sec », sur le continent européen.
C'est ainsi qu'il s'est retrouvé à Iakoutsk, en Russie. Capitale de la république de Sakha, une région sibérienne de 3,1 millions de kilomètres carrés, Iakoutsk est connue comme la ville la plus froide du monde.
-89,2 °C. C'est la température la plus basse jamais enregistrée sur Terre, selon l'Organisation météorologique mondiale. Le thermomètre est descendu à de tels extrêmes le 21 juillet 1983. Un record qui tient encore aujourd'hui.
L'Observatoire des inégalités l'a confirmé récemment : Grigny (Essonne) est bien la ville plus pauvre de France métropolitaine, avec 44 % d'habitants vivant sous le seuil de pauvreté.