Elle est rustique jusqu'à -12°C, mais en dehors du Sud de la France, on la cultive plutôt comme une annuelle, car son feuillage résiste mal aux températures trop basses. On peut aussi l'installer dans un pot que l'on rentrera à l'abri des gelées pour la période hivernale.
Multiplication de la cinéraire maritime
Bouturez en août septembre des tiges de 5 à 7 cm dans un mélange à parts égales de sable et de terreau. Laissez les boutures à l'extérieur, à mi-ombre, jusqu'en novembre.
Plantation de la cinéraire maritime
Si vous l'achetez directement en jardinerie, il convient de la planter au mois de mai-juin en respectant une distance d'environ 30 cm entre chaque plante. Multiplication facile par division de la touffe au printemps ou à l'automne.
Il s'agit d'une plante vivace de courte durée, cultivée comme une bisannuelle ou une annuelle. La première année, le feuillage se développe et les années suivantes, la cinéraire fleurit. Supprimez les fleurs fanées très régulièrement pour prolonger la floraison, ôtez les feuilles abîmées.
Quel sol, quelle terre, pour cultiver cinéraire maritime ? Tous sols peu riches, secs et bien drainés.
La cinéraire maritime a une légère préférence pour les terrains sableux et aérés, pauvres, avec un bon ensoleillement. De ce fait, elle se plait dans les jardins de bord de mer, notamment sur la façade atlantique, d'autant qu'elle tolère les embruns et supporte la sécheresse.
L'espace cinéraire est un site destiné à l'accueil des cendres des défunts dont le corps a donné lieu à crémation. Les caractéristiques de cet espace ont été définies dans l'article 15 de la loi n°2008-1350 du 19 décembre 2008 (codifié à l'art. L. 22232 du CGCT).
Le site cinéraire est un espace destiné au dépôt des urnes cinéraires et à la dispersion des cendres des défunts (article L. 2223-2 du CGCT). Seules les communes de plus de 2 000 habitants ont l'obligation de disposer d'au moins un site cinéraire (article L. 2223-1 du CGCT).
Il s'agit de choisir une tige de la plante mère, de la dépouiller de ses feuilles, et d'en enterrer une partie afin que celle-ci produise de nouvelles racines. On pourra ensuite la replanter indépendamment du pied-mère. Utilisation : Plantes à rameaux souples, ou à enracinement difficile.
Les tiges florales se taillent dès qu'elles commencent à se développer. Pincer les tiges permet aussi de garder son port dense et trapu au séneçon cinéraire. Au début du printemps, il faudra rabattre la souche en laissant des départs de végétation, pour éviter une lignification de la base.
Date de semis, de division et de plantation de l'Iberis
La multiplication par semis s'effectue durant le printemps tandis que pour le bouturage, il s'agit du mois d'août. Concernant la division de touffes, l'opération est réalisée soit au printemps soit à l'automne. La plantation se fait à l'automne.
Cette plante ne tolère pas un sol humide surtout en hiver. Ne pas trop enterrer le collet de la plante, il devra affleurer la surface du sol. Reboucher autour des racines, tasser et arroser. Pour une plantation en pot, choisir un contenant assez lourd et percé en son fond.
Il existe plusieurs types de tombes funéraires : caveau, pleine terre, enfeu... et chacune a sa propre terminologie : sépulture, stèle, semelle, ... La tombe funéraire, ou monument funéraire, est un ouvrage destiné à perpétuer le souvenir et à matérialiser l'emplacement d'une sépulture.
Une urne funéraire est un vase fermé en pierre, en bronze, en marbre, en albâtre, en céramique, en verre ou même en matériaux biodégradables dans lequel les proches d'un défunt conservent ses cendres après sa crémation.
Les grains d'avoine
Les graines d'avoine peuvent être une bonne alternative à l'hormone de bouturage. Néanmoins, pour rendre le produit efficace, choisissez des graines à leur première phase de germination. À cette étape, les grains vont sécréter de l'auxine au niveau l'apex du coléoptile.
Les œillets, les primevères et les violettes sont les trois principales fleurs que l'on peut bouturer durant l'hiver. Même si les boutures sont exposées aux gelées, elles s'enracinent doucement au cours de l'hiver et forment des plantules déjà prêtes fleurir au printemps.
On réalise au printemps, vers mai-juin, des boutures dites herbacées (avec des tiges jeunes). Cela concerne par exemple : aster, campanule, géranium, hélianthème, héliopsis, lupin, plumbago, véronique, surfinia...
Les cactus, les euphorbes, l'Opuntia ou encore les plantes grasses sont les plantes les plus faciles d'entretien et sont par ailleurs très tendance en ce moment. Originaires du milieu désertique, elles s'épanouissent au soleil et dans les pièces où la température est supérieure à 10 °C ou 12 °C.
A bouturer, au printemps
Antémis, aster, géraniums, fuchsias, dahlias, capucine, clématite, glycine...
À la différence du rejet, le drageon est une pousse issue d'une racine, le méristème qui lui donne naissance est toujours néoformé. C'est le cas par exemple du robinier faux acacia dont les drageons, très épineux, sont bien ennuyeux pour le jardinier.
Il se pratique surtout au printemps jusqu'en automne et avec des plantes ligneuses et semi-ligneuses : l'opération de marcottage consiste à faire émettre des racines à un rameau avant de le détacher de la plante mère.
Le marcottage procure également plus de chances de réussite que le bouturage. Cette technique s'emploie pour de nombreuses espèces : hortensia, lilas, lierre, cognassier, bruyère, hibiscus, jasmin, passiflore, chèvrefeuille, rhododendron, vigne-vierge... Néanmoins, la méthode varie selon la plante à multiplier.