Le gennaker : Cette voile se situe entre le génois et le
Quand j'enroule l'écoute est tendue vers le bas pour faciliter l'enroulement du haut de la voile où il y a beaucoup de tissu. ( ça tend la chute). À la fin de l'enroulement, je laisse l'écoute faire quelques tours autour de la voile pour éviter un déroulement.
Le spi symétrique Il se porte avec un tangon de spi à des vitesses comprises entre 115° et 170° par rapport au vent. C'est la voile de poupe traditionnelle. Il est plus grand que l'asymétrique. Vous pouvez affiner la forme pour en faire un spi sous le vent ou transversal.
Au vent arrière :
Pour plus de stabilité, poser le tangon pour ouvrir en grand la voile d'avant. Ne regardez plus les penons de la voile d'avant, ils retombent car la « trainée » remplace la « portance » et les penons ne sont plus de bons indicateurs d'écoulements.
Le Code 0 est une sorte de grand génois très léger que l'on peut envoyer à la manière d'un spi asymétrique ou comme un gennaker. Cette voile permet de serrer le vent dans le vent très faible. Avec des matériaux bloqués tels que les fibres laminées et un dessin assez plat vous pourrez presque naviguer au près.
Le foc désigne alors une voile de plus petite taille. Lorsque la force du vent croît, des voiles dont la coupe est de plus en plus plate et le grammage de plus en plus fort sont utilisées sur les voiliers disposant d'une garde-robe complète (généralement des voiliers de régate).
Spi asymétrique
Le point d'amure du spinnaker asymétrique est maintenu par le bout-dehors, fixé à l'étrave du bateau. Alternativement, il peut être aussi maintenu par un patin d'amure attache autour du génois enroule. Plus simple d'emploi, plus stable, il est utilisé à partir de petit largue jusqu'à grand largue.
C'est pour cette raison que la mode est aux doubles barres à roue (une à tribord et une à bâbord). Elles permettent de libérer l'accès à la mer et facilitent la circulation du cockpit (en étant renvoyées vers l'arrière) .
- Le grand largue : l'axe entre le bateau et le vent est approximativement compris entre 120 et 170 degrés. C'est l'allure la plus rapide car la force du vent s'exerce au maximum dans l'axe du bateau.
En aérodynamique, le rendement optimal de l'angle d'incidence est atteint lorsque cet angle vaut environ 15° à 20°. Cet angle est valable jusqu'au vent de travers, au delà il y a un basculement du laminaire vers le turbulent jusqu'au vent arrière.
Les voiliers peuvent se renverser, bien que ce soit rare parmi les quillards. Les dériveurs peuvent se renverser facilement, selon l'expérience et les conditions.
Pour freiner, à l'inverse, il ne faut pas que les voiles soient gonflées. Deux solutions : Vous êtes sur une allure de près vous pouvez ouvrir (choquer) les voiles en grand. Elles vont faseyer et ne porteront plus ce qui arrêtera le bateau.
Comment les bateaux avance face au vent ? En ralentissant le débit, une surpression est créée qui gonfle la voile. Ces différences de pression entre les deux côtés de la voile créent une force de poussée (flèche verte) qui tire le voilier vers l'avant. Le voilier avance !
On commence par choquer doucement le spi pour amener le point écoute jusqu'au niveau de l'étai. On vient alors le choquer en grand en reprenant la contre-écoute rapidement. On passe ensuite la grand-voile sur l'autre bord. L'empannage est terminé.
L'emmagasineur, n'est composé que d'une tourelle et d'un émerillon mais sans profil en aluminium. La pièce de liaison est un cordage ou un câble anti torsion intégré dans le guindant de la voile et installé par votre maître voilier. bas vers le haut. C'est ce qui permet un enroulement uniforme de la voile.
Avec l'enrouleur de génois il suffit de dérouler et d'enrouler le génois qui reste à poste autour de l'étai. L'enrouleur s'installe autour de l'étai, c'est le câble qui maintient le mât vers l'avant. On utilise un ridoir pour bien tendre l'étai. Un cordage permet d'enrouler la voile autour de l'étai.
Le vent debout, vent qui souffle directement sur l'étrave n'est pas une allure dans la mesure où le voilier ne peut pas progresser. Cet angle dans lequel le voilier est face au vent mesure entre 30° et 45° (30° pour les voiliers de course les plus performants et 45° pour les voiliers de croisière).
Empanner consiste à passer d'un bord sur l'autre avec le vent dans le dos. Comme pour le virement de bord, les voiles vont donc changer de côté. Dans un empannage, le vent va cueillir la grand-voile par l'arrière et accélérer le passage de la bôme d'un bord sur l'autre, parfois violemment.
Sur un voilier, border signifie ramener une voile plus près du bordé, la coque du bateau cela consiste également à aplatir une voile en fin de manœuvre. On utilise une manœuvre courante (un cordage, comme une écoute).
La barre d'un navire (ou barre de gouvernail ou barre de pilotage ou, si en forme de roue, barre à roue) est utilisée pour orienter un navire à moteur ou à voile dans la direction voulue.
Le volant est sur le côté droit de l'embarcation à moteur pour des raisons mécaniques. L'hélice d'un bateau tourne dans le sens horaire. Il faut donc un contre-poids à droite du bateau (le conducteur) pour compenser l'effet de la rotation de l'hélice.
Le cockpit
C'est l'espace où se tient généralement le barreur et l'équipage ; il est extérieur à la cabine et permet de gouverner le voilier ou le bateau à moteur. Il se situe généralement sous le niveau du pont principal. On parle aussi de « baignoire » car il reçoit souvent des paquets de mer.
Le tangon est mis en place de façon à ne pas toucher les haubans mais pour permettre le déploiement maximum des voiles d'avant. Il est fixé par un ensemble de 3 'bouts': - La balancine de Tangon qui permet de régler la hauteur du point d'écoute, donc le creux de la voile. Celle ci tire donc vers le haut.
Le Tourmentin est la voile « Tempête » souvent abrégé par TMT, c'est la plus petite voile du bateau, confectionnée dans un tissus épais (env 365g/m2) pour résister au gros temps. Cette voile est souvent de couleur orange fluo, ce qui permet au voilier d'être plus facilement repéré par mauvaise visibilité.