C'est un signe que l'on place au dessus du 'alif : آ pour indiquer qu'il faut le prononcer comme un hamza ayant pour voyelle un "â" long. La dernière voyelle d'un mot varie selon sa fonction dans la phrase. Le tanwîn consiste à prononcer un "n" (sans voyelle) après la voyelle de certains mots indéterminés.
Cette double voyelle de fin de mot s'appelle en arabe « Tanwine« . Le tanwine permet notamment de définir la détermination des noms. Elle indique s'il s'agit d'un nom défini ou indéfini.
Chadda : signe diacritique suscrit de l'alphabet arabe "ـّ", servant à faire l'économie d'une consonne géminée. C'est-à-dire quand deux consonnes identiques se suivent, on place la chadda au-dessus d'une des consonnes, tandis que l'autre n'est pas écrite.
La voyelle longue (aa) est représentée par la lettre « Alif » » ا » cela donnera par exemple با ça signifie qu'il faut tenir le son de la voyelle pendant deux temps plutôt qu'un seul. La voyelle longue (ou) est représentée par la lettre « waaw » « و » .
Les quatre voyelles arabes sont les suivantes : fat-ha, damma, kasra et soukoun. La voyelle fat-ha donne à l'oral le son « è ». La kasra rend le son oral « i », tandis que la damma se prononce « ou ».
Les lettres suivantes n'existent pas dans l'alphabet arabe: La Lettre P qui est souvent remplacée par un B par exemple papa est synonyme de baba en arabe. le V est facile à prononcer par tout les arabophones mais en phonétique il est remplacer par la lettre (ف) => F.
س (s), ش (C), ه (h), و (w), ي (y).
"كَلْبٌ" (kalbon)
En phonétique, on appelle voyelle un son du langage humain dont le mode de production est caractérisé par le libre passage de l'air dans les cavités situées au-dessus de la glotte, à savoir la cavité buccale et/ou les fosses nasales.
Elles correspondent en français aux voyelles « A », « OU » et « I ». Ainsi, en arabe il n' y a que trois voyelles permettant d'articuler les lettres, au contraire du français qui comporte 6 voyelles (a, e, i, o, u, y).
En arabe, cela s'écrira par un symbole appelé Chedda ( ّ ) ce symbole s'inscrit uniquement au dessus de la lettre arabe. Généralement placée en dessous de la voyelle courte, dans le cas de la kasra, la chedda s'écrit au dessus de la lettre et la kasra sous la chedda (et pas en dessous de la lettre arabe).
Les voyelles en arabe se nomment les harakats (حَرَكَات). À contrario du français, elles ne sont pas de lettres mais plutôt des accents sur des lettres.
On double la consonne avec les mots ayant le préfixe « re » devant un mot commençant par un « s ». La règle veut que l'on double la consonne 's' entre deux voyelles pour donner le son [s]. Exemple : ressortir, ressaisir, ressembler, etc. L'usage tend cependant à imposer un seul « s ».
Adverbe et pronom
Y a pour signification : « en ce », « dans ce » comme adverbe et « à ce » comme pronom, par exemple : Dans cet endroit : « J'y suis, j'y reste » (je suis ici, je reste ici) ou encore « Vas-y » (va là-bas).
On trouve deux i consécutifs dans quelques mots empruntés, par exemple dans chiite, c, h, i, i, t, e, ou en composition, comme dans antiinflammatoire (qu'on peut souder depuis les rectifications orthographiques de 1990).
Tout naturellement parce que le latin l'a piquée à l'alphabet grec, pour représenter un son, le [u], qu'il n'avait pas dans son alphabet. Voilà qui nous rappelle au passage que ce que nous appelons "i-grec" s'appelle "upsilon" en grec.
vache en algérien
Les principales traductions de vache dans le dictionnaire français - algérien sont : begra, بڨرة .
chats en algérien
Traduction de chats dans le dictionnaire français - algérien : qṭuṭ, قـطوط.
animal qui dispose d'un moyen de défense (fr)[ClasseParExt.] animal domestique (fr)[ClasseHyper.]
ع appelé "ayn". Il s'écrit avec un "3". Ce son ressemble à un "a" prolongé mais qui se forme dans la gorge. C'est le son produit quand vous retirez l'arrière de votre langue vers votre gorge.
L'arabe et l'hébreu, entre autres, s'écrivent pourtant de droite à gauche, mais c'est parce qu'ils ont gardé la tradition des scribes égyptiens.
La mise par écrit d'une langue vernaculaire
Les premières inscriptions en alphabet arabe, d'époque préislamique, ont été retrouvées en Syrie et de Jordanie et datent du Ve siècle. Elles furent réalisées sous la dynastie des Ghassanides, bien que ceux-ci aient utilisé la langue grecque dans des contextes officiels.