De même, la diminution de la cortisone doit toujours être progressive car une augmentation brutale des symptômes de la maladie peut survenir (effet rebond). De plus, si vous l'arrêtez brutalement, vous risquez de provoquer un « état de manque » en cortisone appelé « insuffisance surrénale ».
Syndrome de sevrage aux stéroïdes Léthargie, dépression, anorexie, nausées, myalgies et arthralgies.
La dépendance à la cortisone peut être d'origine physique et/ou psychique. Lorsque la prise du médicament est arrêtée, cette dépendance se manifeste par une réapparition des symptômes de la maladie, parfois en association avec le développement d'un état anxieux ou dépressif qui disparait si le traitement est repris.
Les corticothérapies prolongées sont souvent stoppées plus progressivement afin de limiter le risque d'insuffisance surrénalienne. Le rythme du sevrage dépend principalement de la durée du traitement mais également de la dose de départ et de la maladie. Il n'y a pas de rythme de sevrage standard.
De plus, si vous l'arrêtez brutalement, vous risquez de provoquer un « état de manque » en cortisone appelé « insuffisance surrénale ». Les effets indésirables de la cortisone sont nombreux mais ce médicament reste un formidable allié pour traiter des maladies longues et rebelles.
L'action anti-inflammatoire de la cortisone se diffuse pendant une quinzaine de jours.
Après un traitement de longue durée par la prednisone, l'abandon soudain du médicament peut entraîner des symptômes de sevrage cortisonique, entre autres des nausées, de la fatigue, une perte d'appétit, une fièvre, des douleurs musculaires ou articulaires, et un malaise généralisé.
D´autres effets indésirables peuvent renvoyer à des troubles du cycle chez la femme, une perte de libido, des troubles de l´érection, mais aussi des troubles neuropsychiatriques tels que l´irritabilité, l´agressivité, la dépression ainsi que la fatigue et les troubles du sommeil.
perte d'appétit, fatigue, nausées, fièvre, léthargie) puisque votre corps a besoin de temps pour recommencer à produire du cortisol. Dans de très rares cas, l'arrêt subit d'un traitement de prednisone peut causer une crise surrénalienne, une affection grave qui requiert des soins médicaux immédiats.
Si cela peut te rassurer ca a dégonflé entièrement au bout de 1 mois après l'arrêt complet du traitement.
Une diminution lente des doses de cortisone pourrait permettre de limiter ce phénomène de corticodépendance. Si vous avez été traité(e) au long cours par corticoïdes et si vous vous sentez anxieux/anxieuse ou déprimé(e) à l'arrêt du traitement, n'hésitez pas à en parler à votre médecin.
Faire des activités sportives. La pratique du sport est très efficace dans le processus d'élimination de la cortisone du corps. En effet, lorsque vous faites des exercices physiques quels qu'ils soient, vous transpirez. Cette transpiration est un excellent moyen pour évacuer les déchets se trouvant dans votre corps.
Au niveau de l'alimentation, je vous suggère de réduire vos apports en sodium (viandes transformées/charcuteries, aliments en conserves/jus de légumes, fromages, sauces, condiments, repas surgelés et pré-préparés) et en sucres concentrés (sucre, cassonade, miel, produits d'érable, confitures, tartinade de chocolat et ...
Il est utilisé dans le traitement de certaines maladies graves (cancer, sclérose en plaques, rhumatisme articulaire aigu par exemple), mais également de maladies plus bénignes (allergie, crise d'asthme, sinusite aiguë, otite). Dans ces derniers cas, le traitement est souvent court.
Toute personne ayant un jour pris de la cortisone (cortisol de synthèse anti-inflammatoire) a constaté que cette molécule fait gonfler. C'est la même chose avec le cortisol naturel. Le gros défaut du cortisol qui nous intéresse ici, c'est qu'il favorise la rétention hydro-sodée et la fabrication de graisse abdominale.
Lorsqu'il existe des symptômes, il peut s'agir d'une sensation de soif inhabituelle et/ou d'une envie fréquente d'uriner. Fréquence : certaines études ont évalué à 5 à 10% le pourcentage des patients traités par corticoïdes et ayant développé un diabète après plus d'un an de traitement.
Prise de poids / modifications de l'aspect physique
Description : les corticoïdes induisent fréquemment une prise de poids lorsqu'ils sont pris durant plusieurs semaines ou mois. Cette prise de poids est habituellement modérée, de l'ordre de 1 à 2 kilos.
Description : l'hypertension artérielle induite par la cortisone est souvent modérée et ne se manifeste habituellement par aucun symptôme. Le diagnostic est en général posé par le médecin lors de la mesure de la pression artérielle en consultation.
une action régulatrice du glucose sanguin, qui permet de prévenir la survenue d'un diabète ; cette hormone est aussi celle de l'éveil et du stress, elle nous permet d'avoir l'énergie nécessaire particulièrement le matin ; enfin, elle permet la dégradation des protéines et des graisses dans les tissus.
Effets indésirables ophtalmologiques
Description : les corticoïdes augmentent le risque de glaucome (=augmentation de la pression dans l'œil) et de cataracte.
Prednisone (ex: Cortancyl ®) et prednisolone (ex: Solupred ®) sont assez rapidement éliminées par l'organisme et on considère qu'après une prise orale unique d'une de ces molécules, il faut moins de 24 heures pour ne plus en retrouver de trace dans l'organisme.
Les corticoïdes peuvent également fragiliser les tendons mais les symptômes sont habituellement inexistants et les cas de ruptures tendineuses restent exceptionnels. Par ailleurs, les corticoïdes induisent fréquemment des crampes, notamment en début de traitement.
Pourquoi la cortisone fait-elle grossir ? Provoque-t-elle de la rétention d'eau ? Les réponses avec le Dr Paule Nathan, endocrinologue : "Il y a effectivement la rétention d'eau et la rétention de sel.