Pour le Grec Aristote, la Terre est éternelle et a toujours existé : la question de l'âge de la Terre ne se pose donc pas. Cette conception aristotélicienne est globalement admise jusqu'à la fin du Moyen Âge.
Selon les philosophes de l'Antiquité, le temps est une grandeur infinie, car il leur était inconcevable d'imaginer une limite au temps. Ainsi, pour Aristote (IVe siècle avant J. -C.), l'univers a toujours existé, il est donc sans âge.
Quand la radioactivité précise l'âge de la Terre
Ces premières méthodes demeurent néanmoins incomplètes jusqu'aux travaux de Clair Patterson dans les années 50. En utilisant la méthode de datation par l'uranium-plomb pour dater une météorite, le géochimiste en déduit l'âge de la Terre : 4,55 milliards d'années.
Une valeur de l'âge du globe est donnée par Charles Darwin (1809-1882) en 1859: il estime à 300 millions d'années le temps mis par la mer pour creuser la vallée de Weald dans le sud de l'Angleterre (il extrapole le taux d'érosion actuel).
C'est en allant sur la Lune, dans les années 1970, que l'on prélève des échantillons de roche lunaire. Ils vont comprimer l'histoire commune de la Terre, de la Lune et du Système solaire. Verdict : la Terre est âgée de 4,5 milliards d'années.
La vie sur la terre s'arrêtera dans environ 2,8 milliards d'années, selon une étude menée par Jack o'Malley-James, astrobiologiste à l'université de St. -Andrews. Notre Soleil va lentement se réchauffer à mesure qu'il avancera en âge.
Le nom « Pangée » vient du grec ancien « pan » qui signifie « entier », et « Gaia » qui signifie « Terre ». La Pangée n'est pas le seul supercontinent qui aurait existé. On croit qu'il y en aurait eu d'autres avant.
Le Seigneur crée la terre selon les instructions de Dieu. Le premier jour, le Seigneur sépare la lumière des ténèbres. Il appelle la lumière jour et les ténèbres nuit. Le deuxième jour, il sépare les eaux sous les nuages du ciel et les océans sur la terre.
Les humains ont déjà transformé ¾ de la Terre il y a 10.000 ans. Cette étude publiée dans PNAS relie plusieurs sciences comme la géographie, l'archéologie et l'écologie. Elle vise principalement à rayer l'idée ou la croyance selon laquelle l'Homme et la Nature sont deux concepts séparés et incompatibles.
On estime alors l'âge de la Terre à au moins 3 milliards d'années. C'est le début du XXe siècle. On s'aperçoit au passage que Lyell avait raison et que Kelvin avait tort : l'énergie nécessaire à un renouvellement des processus géologiques est bel et bien produite dans les matériaux terrestres.
Jupiter est la plus vieille planète du Système solaire, ont établi les planétologues de l'université de Münster dans une étude diffusée dans le dernier numéro de la revue scientifique Proceedings of the National Academy of Sciences.
La naissance de la Terre remonte à 5 milliards d'années environ. Un nuage de poussière, formé de débris d'étoiles explosées (fer, carbone, or et substances radioactives comme l'uranium), se densifie pour former une planète qui ressemble à la Lune : c'est la Terre primitive.
Déterminer l'âge de la Terre
Appliquant la méthode de datation isotopique uranium/plomb, il en a déduit que la Terre et les météorites se sont formées au même moment à partir d'un réservoir de matière identique (les gaz et les poussières de la nébuleuse protosolaire), il y a environ 4,55 milliards d'années.
Aristote affirme que la Terre se tient immobile au centre du Monde car le mouvement naturel des parties de la Terre aussi bien que de la Terre elle-même prise comme un tout tend vers le milieu du Monde. Il rejette donc l'argument d'indifférence d'Anaximandre et de Platon pour promouvoir une raison physique.
C'est Aristote, deux siècles plus tard, qui a avancé la première preuve tangible à partir « de l'ombre en forme d'arc de cercle que formait la Terre sur la Lune lors des éclipses lunaires ». Depuis, personne n'est réellement revenu scientifiquement sur ce fait.
Le temps, explique Aristote, n'est pas le mouvement comme tel, mais il en est quelque chose pour autant que le mouvement comporte de l'avant et de l'après. Car le temps suit le mouvement d'après cela même qui, dans le mouvement, nous fait connaître ce qu'on appelle du temps.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
Homo habilis (2,4 à 1,6 millions d'années) Il a vécu en Afrique de l'Est et en Afrique du Sud. On le considère comme le premier homme véritable en raison de la forme de son crâne et sa capacité crânienne, 600 cm3 en moyenne. Sa taille était faible, environ 1,20 à 1,50 m, et il pesait de 30 à 40 kg.
Quand la Terre s'est formée il y a environ 4.5 milliards d'années, aucune forme de vie n'existait. C'est dans les mers chaudes que sont apparues les premières traces de vie. Au tout début, de minuscules algues bleues prennent naissance dans la mer.
Principe fondateur dans les religions monothéistes, Dieu est l'être suprême, unique, transcendant, universel, créateur de toutes choses, doté d'une perfection absolue, constituant le principe de salut pour l'humanité et qui se révèle dans le déroulement de l'histoire.
Cette première phase d'existence de la Terre (amas de poussières) aurait eu lieu il y a 4,5 milliards d'années. Lorsque cet amas atteint une taille suffisante (800 mètres de diamètre), sa masse est si importante qu'il aspire la poussière présente dans le disque environnant.
Dans les premiers temps de son existence, la Terre a connu une intense activité volcanique. L'expulsion massive de gaz vers la surface s'est ensuite soldée par la formation d'une atmosphère à très forte teneur en CO2 (gaz carbonique ou dioxyde de carbone).
La Pangée (prononcé en français : /pɑ̃. ʒe/) est un supercontinent formé au Carbonifère de la collision de la Laurussia et du Protogondwana et ayant regroupé presque toutes les terres émergées.
Ce serait un apport tardif par des objets riches en eau comme des comètes ou des astéroïdes hydratés qui aurait apporté une quantité d'eau suffisante pour former nos océans et l'eau qui se trouve dans le manteau de la Terre.
Nom donné au continent originel unique et encore hypothétique de l'histoire du globe, qui se serait morcelé.