On estime que la moitié des enfants de 5 ans ont déjà été en contact avec le virus sans nécessairement avoir développé la mononucléose. Environ 90 % des adultes de 40 ans seraient immunisés contre cette maladie. Âge : Les adolescents et les jeunes adultes sont particulièrement touchés.
La mononucléose infectieuse est une maladie provoquée par le virus Epstein-Barr. La mononucléose touche surtout les adolescents et les jeunes adultes, mais elle peut aussi toucher les enfants. Chez ces derniers, elle est le plus souvent silencieuse et donc, non repérée.
La mononucléose est une maladie infectieuse qui touche plus souvent les adolescents et les adultes jeunes. Parmi les symptômes on retrouve une fièvre, un mal de gorge et une grande fatigue. La durée de contagion de la mononucléose est très longue.
La mononucléose infectieuse est une maladie provoquée par un virus, le virus d'Epstein-Barr, ou EBV. Ce virus fait partie de la famille des herpès. La maladie qui suit l'infection par ce virus, appelée mononucléose ou maladie du baiser, survient lors du premier contact avec le virus.
Maladie virale, la mononucléose infectieuse se transmet par la salive. Elle se manifeste notamment par une grande fatigue, une angine, une fièvre élevée et la présence de gros ganglions au niveau du cou. Toutefois, cette infection peut passer inaperçue.
Durée de la maladie : Les symptômes principaux disparaissent au bout de 2 à 3 semaines, mais l'état de fatigue dure parfois pendant quelques mois. Période de contagion : La mononucléose est contagieuse quelques jours avant l'apparition des symptômes, et plusieurs mois après sa guérison.
Les autres signes sont extrêmement variés et nombreux : perte de l'appétit (anorexie), nausées, céphalées, rhinite, toux, courbatures, gonflement des paupières (œdèmes palpébraux), jaunisse (ictère).
Maladie infectieuse aiguë et généralement bénigne, la mononucléose infectieuse (MNI) est causée par un virus de la famille des herpès virus (Epstein-Barr Virus), transmis le plus souvent par la salive.
C'est pour cette raison que la mononucléose est couramment appelée « maladie du baiser ». La contagion peut également avoir lieu par des objets contaminés par de la salive infectée, ou par des projections (toux, éternuements).
Le Monotest est un test sanguin rapide permettant de diagnostiquer la mononucléose infectieuse. Ce test est souvent prescrit chez les adolescents présentant les symptômes typiques de la mononucléose : fièvre, fatigue, mal de gorge, gonflement des ganglions, etc.
La présence d'une angine avec de grosses amygdales rouges et recouvertes de membranes blanchâtres ainsi que de volumineux ganglions au niveau du cou est caractéristique de la mononucléose infectieuse. Le médecin palpe votre abdomen pour savoir si la rate est augmentée de volume et sensible.
Il n'existe aucun traitement spécifique pour guérir la mononucléose. Il s'agit d'une maladie bénigne qui disparaît généralement d'elle-même au bout de 4 à 8 semaines, même si la fatigue peut persister plusieurs mois.
La mononucléose évolue souvent sous forme d'angine avec des douleurs en avalant. Pour les atténuer : → Versez une goutte de thym à thujanol ou une goutte de niaouli sur un demi-sucre et laissez-le fondre sous la langue 4 à 6 fois par jour.
L'asthénie, communément appelée fatigue, est un symptôme fréquent. Elle devient anormale lorsqu'elle perdure malgré le sommeil et le repos. Elle peut être passagère et réactionnelle (après un surmenage, lors d'une infection brève…), ou durable, en lien avec une maladie chronique ou une souffrance psychique.
Très contagieuse, elle se transmet par la salive d'où son nom de « maladie du baiser ». Le plus souvent sans aucun signe, elle peut être responsable d'une fatigue intense, ou d'une angine avec de la fièvre et des ganglions du cou. Elle est provoquée par une infection à virus EBV : « Epstein-Barr Virus ».
On peut confirmer un diagnostic de mononucléose à l'aide d'un test sanguin (prise de sang). Il peut toutefois arriver que ce test donne un résultat erroné (faux négatif) s'il est réalisé dans les premières semaines de l'infection.
La mononucléose infectieuse peut entraîner les complications suivantes : ― Obstruction des voies respiratoires supérieures en raison d'une hypertrophie importante des amygdales. ― Atteintes neurologiques telles que méningite aseptique, encéphalite, syndrome de Guillain-Barré. ― Rupture splénique.
Soulagez les symptômes de la mononucléose
Prenez de la vitamine C ou des complexes vitaminiques afin de remédier à l'abattement ressenti par le malade. Pour les maux de gorge : des pastilles au propolis, au miel, ou des collutoires anesthésiques et antiseptiques peuvent vous aider à supporter la douleur.
Le virus d'Epstein Barr, responsable de la maladie, peut toutefois provoquer une atteinte du foie ce qui peut faire craindre une hépatite virale sans jaunisse (ictère). L'hépatite survient alors dans un contexte de fatigue, avec forte angine et de très nombreux ganglions dans le cou.
des nausées, vomissements ; une forte fièvre (vespérale) souvent supérieure à 39 °C. « Le patient peut présenter des frissons et souvent des courbatures pendant une à deux semaine(s) » ; une angine douloureuse avec des difficultés à déglutir.
le virus Epstein-Barr reste « en sommeil » dans l'organisme toute la vie, sans poser de problème particulier dans la plupart des cas. Tout comme pour le virus de la varicelle, vous êtes immunisé(e) : impossible d'avoir deux fois la mononucléose ! près de 90% des adultes sont immunisés contre le virus.
Un virus réactivé par l'état inflammatoire
Le virus d'Epstein-Barr est dormant chez quasiment tous les adultes (95%). Il ne provoque pas de symptômes, mais peut se réactiver en cas de stress intense, de déficit immunitaire ou encore d'état inflammatoire.
"Comme pour toutes les maladies virales il n'y a pas de traitement spécifique hormis le repos et le traitement des symptômes (prise de paracétamol pour soulager la fièvre et les maux de tête)" indique le médecin.
Les syndromes douloureux abdominaux au cours de la mononucléose infectieuse sont rares et habituellement rapportés à une hépato- ou une splénomégalie.