« Préférez le vin rouge au blanc, à cause des sulfites contenu dans le blanc. Utilisé comme un conservateur, cet additif chimique peut provoquer des vomissements et aggrave les douleurs d'estomac », détaille le gastro-entérologue.
Celle qui cumule le plus de mauvais points est sans aucun doute la bière qui possède un fort index glycémique. Or, le sucre est stocké sous forme de graisses dans l'organisme, d'où l'expression « ventre à bière ». En outre, la bière contient du dioxyde de carbone qui provoque des gaz et des ballonnements.
Les chercheurs ont conclu que boire deux pintes de bière suffit à atténuer une douleur physique (mal de tête, maux de ventre, etc.) de 25 %, soit plus que le paracétamol.
Maux d'estomac, nausées et vomissements
L'alcool stimule la muqueuse gastrique et celle-ci produit alors davantage d'acide gastrique. De cette façon, une consommation excessive d'alcool peut entraîner une détérioration de la muqueuse gastrique. Cela entraîne à son tour des maux d'estomac.
Le cidre, chef des alcools qui ne font pas grossir !
Loin devant les autres, le cidre est l'alcool placé en tête parmi ceux sauveront les meubles si vous voulez vous faire un plaisir coupable, avec (seulement) 50 kcal pour une bolée de 15cl. Vous direz, c'est quand même pas mal déjà !
Les spiritueux distillés clairs (vodka, gin et tequila) et la bière sont les alcools les moins nocifs pour la peau.
Beaucoup d'eau, même si vous n'en avez pas envie. Du jus, mais évitez les jus très acides, comme le jus d'orange. Essayez aussi une tisane à la menthe, au gingembre ou à la camomille. Du jus de tomate ou de légumes mélangés.
À privilégier : Les alcools faibles en FODMAP
Le vin (rouge, rosé et blanc), la bière, la vodka, le whiskey, le vin effervescent (Champagne, mousseux, …) sont tous faibles en FODMAP.
Le foie est la cible principale des effets toxiques de l'alcool. Plusieurs maladies hépatiques peuvent être provoquées par la consommation excessive d'alcool : stéatose (accumulation de lipides dans le foie), hépatite alcoolique, cirrhose.
Lorsque la stéatose s'installe et s'aggrave, une inflammation persistante du foie peut apparaître car les cellules hépatiques sont abîmées par l'alcool. C'est ce que l'on appelle l'hépatite alcoolique.
Le vin rouge est la pire boisson alcoolisée pour la peau, surtout en présence de rosacée (vaisseaux sanguins dilatés en permanence qui rendent la peau rouge et dans certains cas provoquent des irritations, des boutons, et des plaques sèches et rugueuses, NDLR).
Whisky ou Bourbon Whisky
L'avantage de ces boissons, c'est que vous pouvez vous détendre et boire sans vous sentir lourd ou ballonné. Le bourbon offre également un certain nombre de bienfaits pour la santé, notamment le fait qu'il peut, comme la vodka, favoriser la santé cardiaque, en modération bien-sûr.
Ces effets ont été observés quel que soit l'alcool ingéré (bière, vin, vodka, whisky...) même si le vin blanc semble avoir un effet encore plus nocif sur les reflux que la bière ou le vin rouge. *L'abus d'alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.
«L'alcool stimule très fortement la sécrétion de l'acidité de l'estomac. Beaucoup de gens ont du brûlant, des douleurs à l'estomac à la suite d'une soirée bien arrosée.» L'acidité irrite fortement les muqueuses, mais l'alcool détruit aussi le mucus qui protège l'estomac et l'intestin contre l'acidité.
Buvez 1,5L à 2L d'eau par jour
Il est donc important de bien boire, à savoir entre 1,5L et 2L d'eau par jour, pour que le foie puisse faire son travail correctement et éliminer les déchets. C'est pour cette raison qu'il est particulièrement important de boire beaucoup d'eau lorsque l'on consomme de l'alcool.
La bière, alliée des reins et du transit
Ce n'est pas un secret, la bière est très riche en fibres, grâce à tout l'orge qu'elle contient ! On peut même aller jusqu'à un gramme de fibres pour un verre de 30 cl de bière. Lutte contre la constipation, réduction du mauvais cholestérol…
L'alcool doit être clair
J'ai nommé Vodka, Gin, et Saké. Plus un alcool est clair, moins il contient d'impuretés liées à la fermentation que notre corps a du mal à assimiler.
L'absorption d'alcool en très grande quantité peut provoquer des brûlures, des nausées, des vomissements, parfois même sanglants, et des douleurs dans la partie supérieure et médiane de l'estomac (douleurs épigastriques). Ces symptômes se résorbent généralement après deux à trois jours d'abstinence à l'alcool.
Selon un rapport de l'OCDE, la consommation excessive d'alcool fait perdre 1 an d'espérance de vie en moyenne, en raison des maladies et accidents qu'elle cause.
La consommation excessive d'alcool est reconnue pour entraîner des troubles importants de la paroi intestinale, ainsi que l'apparition de processus inflammatoires délétères pour l'organisme, que ce soit au niveau intestinal, cardiovasculaire, rénal ou cérébral.
Pour avoir une meilleure assimilation intestinale, il est important de désenflammer la muqueuse, notamment en consommant les fruits et légumes sous forme de jus frais (cela limite l'apport de fibres, qui peuvent être irritantes) grâce à un extracteur de jus de qualité.
Vous pouvez avoir mal à cause d'une maladie infectieuse ou bactérienne ou de troubles digestifs divers qui perturbent votre transit. La constipation, les reflux gastriques, les flatulences ou les gaz sont aussi des causes très communes du mal de ventre.
Par contre, il est préférable de boire du coca dégazéifié et décaféiné pour ne pas aggraver les diarrhées. Quant aux douleurs abdominales, il n'existe aucune preuve scientifique d'un quelconque effet bénéfique du coca.
Chez certaines personnes, le fait de manger des aliments gras, salés ou épicés, de boire des boissons gazeuses, du café ou de l'alcool irrite le système digestif et provoque des douleurs. Un repas trop copieux peut causer des troubles fonctionnels digestifs, parfois qualifiés à tort de crise de foie ou d'indigestion.