Celle qui cumule le plus de mauvais points est sans aucun doute la bière qui possède un fort index glycémique. Or, le sucre est stocké sous forme de graisses dans l'organisme, d'où l'expression « ventre à bière ». En outre, la bière contient du dioxyde de carbone qui provoque des gaz et des ballonnements.
Un ventre qui dégonfle
"Un ventre gonflé est typique des buveurs de bière par exemple, ce sont des gens très minces avec des gros ventres à cause de l'alcool, de son action déshydratante sur l'organisme et du manque d'eau" argue le spécialiste.
Le cidre, chef des alcools qui ne font pas grossir !
Loin devant les autres, le cidre est l'alcool placé en tête parmi ceux sauveront les meubles si vous voulez vous faire un plaisir coupable, avec (seulement) 50 kcal pour une bolée de 15cl.
Les sodas favorisent l'insulinorésistance. Le dioxyde de carbone, qui fait gonfler le ventre, est également présent dans les sodas. Mais ce qui les rend véritablement dangereux pour la ligne comme pour la santé, c'est leur teneur élevée en sucres ajoutés, qui entraîne un excès de graisses dans le corps.
Le pastis. Roi de la pétanque et du soleil, c'est aussi et surtout le roi du sucre. Avec 274 calories pour 100 ml, il se situe en haut du classement des alcools les plus caloriques.
Pour être précise: un verre de vin rouge contient un peu plus de 80 Kcal contre environ 130 Kcal pour un demi. Moralité: un verre de vin est un peu moins calorique qu'un verre de bière, mais les deux font grossir. Avec une consommation modérée, l'effet est plus ou moins insignifiant.
Alterner alcool et eau
L'eau est la boisson la moins calorique du monde. C'est donc une bonne chose d'alterner un peu, surtout si on boit en parallèle un alcool très calorique ! Et s'il est plus que conseillé de boire de l'eau quand on boit de l'alcool, c'est parce que l'alcool déshydrate incroyablement l'organisme.
Il est scientifiquement prouvé qu'arrêter l'alcool permet de perdre du poids. En une seule semaine vous pouvez éliminer de 0.5 kg à 2 kgs. Au bout de quatre semaines, la perte de graisse est plus marquée et on commence à percevoir un vrai changement.
Ces sensations peuvent donc à la fois être la simple conséquence d'un repas trop copieux ou d'un vêtement trop serré à la taille, mais aussi les symptômes de pathologies digestives diverses ou d'une intolérance alimentaire, voire d'une grossesse.
Celle qui cumule le plus de mauvais points est sans aucun doute la bière qui possède un fort index glycémique. Or, le sucre est stocké sous forme de graisses dans l'organisme, d'où l'expression « ventre à bière ». En outre, la bière contient du dioxyde de carbone qui provoque des gaz et des ballonnements.
C'est le resvératrol (polyphénol contenu dans la peau du raisin) qui confère cet effet “brûle-graisse” au breuvage. Une étude scientifique, basée sur 13 ans de conclusions passées, détermine avec précision la quantité exacte d'alcool à ingérer et ne pas dépasser pour cumuler plaisir et minceur.
La raison est très simple : on retrouve du gaz carbonique dans la bière, car il s'agit d'une boisson gazeuse. Lorsque l'on boit une bière, on peut d'ailleurs constater que notre ventre a tendance à se gonfler, car ce gaz carbonique va distendre l'estomac et donc créer ce ventre à bière, mais d'abord temporairement.
Une érythrose faciale (gonflement et rougeur du visage), parfois de la couperose témoignent d'une consommation d'alcool excessive. Si c'est une personne plus proche de vous, comme votre conjoint, observez-le intimement.
À la ménopause, un enzyme déclencherait le stockage des graisses. À la ménopause, la répartition des graisses se modifie dans le corps des femmes: moins dans les cuisses ou les fesses mais plus dans l'abdomen, donnant naissance à ce que les médecins appellent l'obésité abdominale.
Le ventre gonflé est souvent le symptôme de fluctuations hormonales (les cycles menstruels, l'ovulation, la ménopause…). La baisse en œstrogène provoque fréquemment une gêne et des ballonnements. D'autres types de troubles gynécologiques peuvent également être en cause.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
L'alcoolorexie n'étant pas médicalement reconnue, les symptômes de cette pathologie ne sont pas clairement définis. Elle se manifeste donc par le fait de sauter des repas pour pouvoir boire de l'alcool et réduire ainsi le nombre de calories ingérées.
Les réponses avec le Dr Philippe Batel, addictologue :
Le risque alcool pour un homme, c'est boire plus de 21 verres par semaine. Et pour une femme, plus de 14 verres par semaine à condition qu'elle ne soit pas enceinte. Pendant cette période, on recommande l'abstinence. "C'est un risque pour le santé.
Gonflement
L'alcool a des effets inflammatoires sur le corps et la peau n'y échappe pas. Cernes gonflés, teint gris, rougeurs… autant de petits désagréments qui, à terme, laissent des marques visibles sur notre visage. Le bon geste en cas d'excès : l'eau est toujours la meilleure amie des excès.
" En plus d'être la drogue la plus nocive, l'alcool est environ trois fois plus dangereux que la cocaïne et le tabac" , soulignent les auteurs.
En consommant un verre de vin rouge par jour, on peut considérer qu'il n'y a pas de danger pour la santé, car peu d'alcool consommé et qu'une telle consommation (sans la dépasser) peut être bénéfique pour le cœur.