L'alcool éthylique (éthanol) ne rend pas aveugle, mais l'alcool méthylique (méthanol) peut engendrer une cécité irréversible.
L'alcool réduit le champ de vision et la vue périphérique amoindrie. Après avoir consommé de l'alcool, les muscles ciliaires, qui contrôlent l'ouverture et la fermeture des pupilles deviennent plus paresseux.
Sa consommation peut entraîner la cécité et même la mort. De l'alcool frelaté est parfois fabriqué avec du méthanol : le buveur est moins sujet à l'ébriété (qu'avec de l'éthanol) mais le nerf optique est atteint et l'individu est exposé à un risque certain de cécité.
La consommation chronique et excessive d'alcool peut avoir de graves effets sur vos yeux. Lorsque la consommation d'alcool devient chronique, le risque de pathologies ophtalmologiques s'accroît. Certaines sont potentiellement graves et entrainent une baisse de l'acuité visuelle sans récupération possible.
Cela se manifeste par : 1) Un éblouissement ou une photophobie. L'information « lumière trop forte » perçue par les yeux, n'est pas transmise à temps au cerveau, du fait des communications nerveuses freinées par l'alcool. Et les sphincters contrôlant l'ouverture et la fermeture de la pupille sont ralentis par l'alcool.
La raison est très simple : on retrouve du gaz carbonique dans la bière, car il s'agit d'une boisson gazeuse. Lorsque l'on boit une bière, on peut d'ailleurs constater que notre ventre a tendance à se gonfler, car ce gaz carbonique va distendre l'estomac et donc créer ce ventre à bière, mais d'abord temporairement.
Pourtant, boire un verre d'alcool tous les jours augmente le risque de développer certaines maladies, dont certains cancers. Pour limiter ce risque et protéger votre santé, il est recommandé : de ne pas boire plus de 2 verres par jour. de ne pas boire tous les jours de la semaine.
Une érythrose faciale (gonflement et rougeur du visage), parfois de la couperose témoignent d'une consommation d'alcool excessive. Si c'est une personne plus proche de vous, comme votre conjoint, observez-le intimement.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Les occasions se multiplient, il devient de plus en plus difficile pour votre proche de ne pas boire ou de contrôler sa consommation d'alcool, seul comme en groupe. Observer que sa consommation prend place dans un contexte de difficultés personnelles, comme si elle devenait un refuge, peut également être un indicateur.
Les effets toxiques de l'alcool sur le système oculaire se limitent en général à une réduction temporaire de l'acuité visuelle, à une diplopie (perception de deux images pour un seul objet regardé) ou encore à un nystagmus (mouvements involontaires des globes oculaires).
Le méthanol ou alcool méthylique est, dans le monde en 2021, synthétisé à 52 % à partir du gaz naturel, à 45 % à partir du charbon et à 3 % à partir de la biomasse. En Chine, en 2018, 82 % de la production provient du charbon, 10 % du gaz de cokerie et 8 % du gaz naturel.
Le méthanol est un alcool qui se trouve dans la nature, p. ex. dans les arbres, les plantes de coton ou les huiles essentielles.
Boire une bouteille d'alcool à 90 % ou de l'eau de Cologne pour économiser le prix d'une bouteille de vodka est donc loin d'être une bonne idée. Heureusement, ce type de comportement est très peu répandu dans l'hexagone.
Toxicité Le méthanol, ou alcool méthylique, est un produit particulièrement dangereux. Une seule gorgée de méthanol concentré peut entraîner une grave intoxication chez l'adulte.
Certains alcools font baisser la pression oculaire. Le rôle potentiel de l'alcool, quant à lui, n'a jamais été démontré, à ce jour, en tant que facteur de risque de glaucome. De plus l'alcool a tendance à faire baisser la pression artérielle, ce qui n'est pas recommandé dans le glaucome.
Ils commencent à se manifester habituellement 24 heures après la réduction drastique ou l'arrêt d'une consommation excessive d'alcool de longue durée. Le symptôme principal est la «trémulation» (tremblements), en particulier des mains, mais aussi parfois de la tête et de la langue.
Selon l'OMS, un homme boit trop dès lors qu'il boit plus de 21 verres par semaine (3 par jour). Pour une femme, les chiffres sont différents : 14 par semaine (2 par jour).
En arrêtant brusquement une consommation excessive d'alcool, vous risquez de faire une crise d'épilepsie (que vous ayez déjà fait précédemment une crise d'épilepsie ou non n'a pas vraiment d'incidence).
Boire une unité d'alcool de manière quotidienne ferait vieillir notre cerveau de six mois, selon les scientifiques. Ce vieillissement prématuré serait de l'ordre de deux ans, avec une consommation de deux unités quotidiennes.
L'alcool affecte le cerveau et le système nerveux, notamment les nerfs des jambes. C'est un produit neurotoxique qui affecte entre autres la mémoire, l'équilibre et les capacités d'anticipation des individus.
Parmi les alcools les plus forts du monde vous trouverez l'Everclear, fabriqué aux Etats-Unis. Comme le Balkan, il est incolore, inodore, et n'as pas de goût ! C'est de l'alcool quasiment pur qui pourrait même être classé dangereux à s'en trouer l'estomac.
A terme, certaines cellules du cerveau vont aussi disparaître, c'est ce qu'on appelle la "perte de tissu cérébral". Elle s'observe clairement à partir d'une consommation journalière de 6 verres d'alcool et est due à la toxicité de l'alcool qui vient détruire les cellules cérébrales.
L'alcool est un cancérogène avéré pour l'homme (groupe 1 du CIRC). Les cancers dont le lien avec la consommation d'alcool est avéré sont les cancers des voies aérodigestives supérieures (VADS) , de l'œsophage, du foie, du sein chez la femme, et le cancer colorectal (WCRF/AICR, 2018).