Ce qui aide à la ménopause
Œstrogène végétal: le soja, les graines de lin et le trèfle rouge contiennent des substances analogues aux œstrogènes, qui atténuent les bouffées de chaleur. Le millepertuis: des études établissent l'effet antidépresseur du millepertuis, surtout sous forme d'extrait concentré.
L'estradiol est l'estrogène le plus utilisé en France actuellement. Il est le plus souvent prescrit en association avec la progestérone ou un de ses dérivés (voir ci-dessous). L'estriol (PHYSIOGINE) est un estrogène également prescrit dans le traitement de la ménopause. Ses effets à long terme ne sont pas connus.
Cela peut être des bouffées de chaleur, des suées nocturnes, des maux de tête, une sensation de fatigue, des troubles du sommeil, une irritabilité ou des douleurs articulaires.
Mais la ménopause n'est pas la seule raison pour laquelle une femme peut avoir un faible taux d'œstrogènes. D'autres causes potentielles de déséquilibre incluent : le syndrome des ovaires polykystiques, l'allaitement, une ablation ovarienne, l'anorexie, et l'exercice intense.
Anticipez les bouffées de chaleur nocturnes pour lutter l'insomnie. - Privilégiez les douches tièdes ou pour les plus téméraires avec de l'eau froide avant l'heure d'aller dormir. Cette action plutôt simple permet d'aider à évacuer la chaleur corporelle et réguler votre thermostat.
Les autres plantes proposées contre les troubles de la ménopause sont le ginseng, l'igname sauvage ou yam (Dioscorea villosa), le trèfle rouge (Trifolium pratense), l'achillée millefeuille (Achillea millefolium) ou le gattilier.
Le THS (oestrogène avec ou sans progestatif) est efficace pour atténuer les bouffées de chaleur, les sueurs nocturnes et la sécheresse vaginale, mais que l'utilisation du THS , même à court terme, est liée à l'accroissement des risques de caillots de sang, d'accidents cérébrovasculaires et des maladies coronariennes.
Manger beaucoup d'antioxydants – (légumes et fruits frais) car les hormones sont sensibles au stress oxydatif. Manger des fibres solubles qui régulent les hormones et la concentration d'œstrogènes dans le sang (avoine, légumineuses, fruits secs, algues).
Les oestrogènes sont des hormones féminines qui agissent sur beaucoup de tissus de l'organisme féminin. La principale hormone féminine avant la ménopause est l'estradiol qui est produit essentiellement par les ovaires. Les ovaires, au nombre de deux, sont des glandes qui sont situées dans le bassin près de l'utérus.
Une étude britannique révèle qu'une activité sexuelle régulière, en plus d'avoir de nombreux bienfaits pour la santé, permet également de retarder la ménopause. À l'approche de la quarantaine, le spectre de la ménopause envahit l'esprit des femmes.
Parmi les médicaments sur ordonnance qui peuvent aider à traiter les bouffées de chaleur, on retrouve l'hormonothérapie (œstrogène avec ou sans progestatif) sous forme de pilule, de timbre transdermique ou de gel cutané et la clonidine*.
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L'œstradiol appartient à la classe des médicaments appelés estrogénothérapie substitutive. Ce médicament s'utilise pour prendre en charge les symptômes de la ménopause comme les bouffées de chaleur, l'irritation du vagin et les troubles du sommeil.
Ainsi, la Sauge, le Trèfle rouge, le Houblon, les isoflavones de soja, le Gattilier, l'Actée à grappes noires… Sont des alternatives naturelles au Traitement Hormonal Substitutif.
"Ces deux hormones féminines sont fabriquées essentiellement par les ovaires et les glandes surrénales", explique Pierre Nys, endocrinologue et nutritionniste à Paris. Les oestrogènes agissent sur le développement de la poitrine, la pilosité pubienne, l'arrivée des règles et l'ovulation.
Les œstrogènes sont sécrétés par les ovaires au cours du cycle. "Après les règles, le taux d'œstrogènes commence à augmenter pour épaissir la muqueuse utérine et avant l'ovulation, il devient plus important parce qu'il va participer aussi à la formation de la glaire ovulatoire, rapporte la spécialiste.
Donc s'ils sont donnés à doses adéquates ils ne font pas grossir. Logiquement ils sont associés à de la progestérone pour remplacer l'équilibre perdu.
Non. Un traitement hormonal bien équilibré n'entraine pas de prise de poids comme l'ont confirmé plusieurs études scientifiques.