Les légumes crucifères possèdent des taux élevés de composés phytochimiques qui aident le corps à bloquer la production d'estrogène. Le brocoli, le chou-fleur, le chou de Bruxelles, le bok choy, le chou frisé, le chou cavalier, le navet et le rutabaga sont des exemples de légumes crucifères.
Certains nutritionnistes affirment que pour faire diminuer ces symptômes, vous pouvez : consommer des omega-3 ; manger des fruits et légumes ; vous nourrir d'aliments riches en fibres régulièrement.
Les carottes
Leur consommation régulière permettrait de réduire le taux d'œstrogène circulant dans le sang. Ce sont les fibres présentes dans les carottes qui se lient aux hormones non utilisés pour qu'ils soient évacués de l'organisme.
Trop d'oestrogène
Les symptômes : règles abondantes/longues/douloureuses, irritabilité, crises de larmes sans raison, ballonnements, prise de poids, difficulté à en perdre, endométriose, SOPK (syndrome des ovaires polykystiques), SPM (syndrome pré-menstruel), fibromes, rétention d'eau, migraines/maux de tête…
comme une alimentation non adaptée, un stress chronique, une exposition trop forte aux perturbateurs endocriniens ou encore la contraception (ou son arrêt) peuvent être à la source de la dominance œstrogénique.
Les oestrogènes sont des hormones féminines qui agissent sur beaucoup de tissus de l'organisme féminin. La principale hormone féminine avant la ménopause est l'estradiol qui est produit essentiellement par les ovaires. Les ovaires, au nombre de deux, sont des glandes qui sont situées dans le bassin près de l'utérus.
Manger beaucoup d'antioxydants – (légumes et fruits frais) car les hormones sont sensibles au stress oxydatif. Manger des fibres solubles qui régulent les hormones et la concentration d'œstrogènes dans le sang (avoine, légumineuses, fruits secs, algues).
Le THS (oestrogène avec ou sans progestatif) est efficace pour atténuer les bouffées de chaleur, les sueurs nocturnes et la sécheresse vaginale, mais que l'utilisation du THS , même à court terme, est liée à l'accroissement des risques de caillots de sang, d'accidents cérébrovasculaires et des maladies coronariennes.
Un seul produit est officiellement reconnu comme anti-androgénique, c'est l'acétate de cyprotérone commercialisé sous le nom d'Androcur. » Ce médicament agit au niveau de l'ovaire, où il diminue notablement la production d'androgène.
La leptine est une hormone digestive peptidique qui permet à la fois de réguler les réserves lipidiques de l'organisme et de stimuler la satiété. C'est d'ailleurs pourquoi elle est aussi nommée "hormone de la satiété".
Les oestrogènes et la progestérone tendent à empêcher l'apparition de graisse abdominale tandis que le cortisol, l'hormone associée au stress, favorise la prise de graisse abdominale, autant chez les femmes minces que chez les femmes en surpoids.
Pour simplifier au maximum, la leptine est l'hormone qui dit à ton corps quand il faut arrêter de manger. Si tu as un faible niveau de leptine cela peut souvent entraîner des fringales dans la journée et donc ton corps aura tendance à stocker davantage.
Valeurs normales
Chez la femme pendant la phase folliculaire : entre 0,10 et 0,55 nmol/l, Chez la femme pendant l'ovulation : entre 0,35 et 2,20 nmol/l, Chez la femme ménopausée : entre 0,04 et 0,18 nmol/l. Chez la femme enceinte : de 24.5 à 110 nmol/l.
Les gonadotrophines vont commander la fonction ovarienne du cycle menstruel et donc la sécrétion des hormones féminines que sont les œstrogènes et la progestérone. Lors de la phase folliculaire, la FSH déclenche la croissance des follicules et leur production d'œstrogènes.
Il est important de connaître le moment du cycle auquel le dosage est effectué. Par exemple, pour évaluer la qualité folliculaire ovarienne, le dosage doit être effectué au 3ème ou 4ème jour du cycle menstruel (associé aux dosages de FSH, ou encore d'AMH, d'inhibine B, etc.).
Non. Un traitement hormonal bien équilibré n'entraine pas de prise de poids comme l'ont confirmé plusieurs études scientifiques.
Il est possible de demander l'analyse de certaines hormones au médecin biologiste en laboratoire sans présenter d'ordonnance mais l'examen sera alors payant et le biologiste pourra refuser de le faire car l'interprétation des résultats pourrait être faussée par la suite si le bilan n'est pas vérifié par un médecin.
Manque d'énergie, difficultés de concentration, troubles de la mémoire, du sommeil, sautes d'humeur, spottings… ces symptômes ne sont qu'un aperçu des conséquences possibles d'un manque de progestérone.
L'ortie (Urtica dioica) est également traditionnellement utilisée (tisane, gouttes...) dans les traitements de l'acné. Elle aurait une action anti-androgène comme le houblon, ce qui permettrait de freiner la production de sébum.
Dans certaines situations, la sécrétion d'androgènes est excessive, on appelle cela l'hyperandrogénie. Elle peut se manifester cliniquement par un hirsutisme (présence de poils de distribution masculine chez la femme : visage, dos, fesses…) mais également une acné ou une chute des cheveux.