Dans plusieurs cultures, on suggère aux nouvelles mères de consommer certains aliments pour augmenter leur production de lait, comme l'avoine, les amandes, le riz, le poulet et différentes herbes.
Proposez à bébé les deux seins à chaque tétée
Une fois que bébé a vidé le premier sein, faites-lui faire son rot ou changez-lui la couche. Puis, proposez-lui l'autre sein. S'il a encore faim, bébé prendra tout le lait disponible et vos deux seins seront stimulés en permanence.
Cumin, fenouil, anis, ortie, fenugrec, avoine... Les plantes intéressantes pour stimuler l'allaitement. Les tisanes d'allaitement sont formulées à partir de plantes dites galactogènes, ou galactagogues, réputées pour leur action sur la montée de lait.
D'autres causes telles qu'une grande fatigue, un deuil récent ou une hémorragie lors de la grossesse ou de l'accouchement, une maladie chronique de la mère ( hypothyroïdie, diabète..) ou encore une alimentation très carencée peuvent être la cause du manque de lait.
Si votre bébé suit le cycle « bouche ouverte-pause-bouche fermée » pendant la majeure partie de la tétée, cela signifie qu'il boit suffisamment de lait maternel. Il est normal que votre bébé aspire et avale fréquemmente, puis fasse une pause avant de téter et d'avaler de nouveau.
Il existe en effet un nombre limité de situations rendant l'allaitement impossible, comme nous l'explique Carole Hervé, consultante en lactation : « Certains facteurs de risque peuvent sévèrement influer sur la capacité de la mère à produire du lait en quantité suffisante pour son bébé : une insuffisance du tissu ...
Ce phénomène est déclenché par la chute des hormones après l'expulsion du placenta. La prolactine est libérée et peut remplir son rôle de stimulation et de mise en place de la lactation : les seins se gorgent alors de lait et deviennent chauds et tendus.
La fréquence des tétées et l'efficacité de la vidange des seins est le facteur le plus important qui peut affecter votre lactation. Le stress / l'anxiété peuvent avoir un impact sur la production de lait et sur votre réflexe d'éjection. Être malade peut également diminuer votre lactation.
Les agrumes
Dans ce groupe, nous avons, par exemple, l'orange, la mandarine, la goyave et le fruit de la passion. Ceux-ci peuvent se révéler nocifs pour la fonction digestive du bébé et peuvent causer des brulures d'estomac.
Vous pouvez consommer du miel, modérément, pendant l'allaitement car votre lait ne contient pas de spores de Clostridium Botulinum.
Lorsque la mère laisse l'enfant se sevrer à son rythme, l'allaitement cesse en général entre l'âge de 2 et 4 ans.
Deux heures après avoir allaité ou donné le biberon, il en redemande déjà ! Ne vous inquiétez pas. Vous pouvez l'allaiter autant que vous le voulez. Votre lait maternel s'adapte constamment aux besoins de votre bébé.
Pour savoir s'il est repu, observez-le : lorsqu'il tète, ses lèvres sont retroussées, on voit ses tempes remuer au rythme de la succion il déglutit régulièrement, signe qu'il avale du lait.
Pour produire plus de lait maternel...
Lorsque l'on souhaite booster sa lactation, il est donc essentiel d'augmenter le taux de prolactine présente dans notre organisme. Pour cela une seule option : stimuler les seins. En effet, plus bébé tète, plus le taux de prolactine augmente.
Les femmes qui allaitent devraient s'abstenir de prendre du gingembre, hors usage alimentaire.
Cette prise peut se faire sous forme de tisane (1/4 de cuillère à café de graines infusées pendant 10 mn dans 225 ml d'eau, trois fois par jour) ou de gélules (1 à 4 selon la posologie, trois à quatre fois par jour).
Même si vous allaitez bébé, vous pouvez consommer avec modération de la caféine sans que cela n'affecte votre enfant. On recommande de ne pas excéder 2 tasses de café par jour durant l'allaitement. N'oubliez pas que le thé, le coca-cola et le chocolat contiennent aussi de la caféine.
Ceci se met en place en moyenne vers l'âge de 4 mois, mais certains bébés « feront leurs nuits » plus tôt, et d'autres plus tard.
En ce qui concerne la satiété nocturne, il est important de prévoir un repas du soir nourrissant, mais également que l'enfant soit suffisamment nourri tout au long de la journée. Pour que le bébé tienne toute la nuit sans avoir faim, il est important que ses besoins nutritionnels soient couverts la journée.