Pour une ration à base d'ensilage de maïs, une réduction de 35 % en moyenne des quantités totales offertes allonge de 16 jours l'engraissement pour atteindre un même gain de poids vif. L'économie par vache est de l'ordre de 200 kg MS d'ensilage de maïs, 29 kg MS de tourteau de soja et 23 kg MS de blé.
Ensilage, enrubannage et foin semblent être les meilleures pistes pour engraisser à bas coût et sans crainte. En engraissement, on connaît principalement deux types de ration : ensilage de maïs + tourteau ou la ration sèche.
Pour engraisser les animaux, il est important de trouver ceux qui conviennent. Pour engraisser les moutons et les chèvres, donnez-leur aussi des aliments riches en protéine pendant environ 3 à 6 mois. En plus d'une bonne alimentation, vous devez aussi vous assurer de garder les animaux dans un environnement sain.
Durant l'automne et l'hiver, les réserves constituées, durant la bonne saison, sous forme d'ensilage d'herbe humide ou préfanée et de foin sont alors utilisées pour nourrir les bovins. Les aliments concentrés se caractérisent par des teneurs en matière sèche et en énergie élevées.
la ration des ruminants est composée en moyenne de 64 % d'herbe, de 20 % de maïs ensilé, de 10 % de céréales, de 5 % de tourteaux et de 1 % de minéraux et vitamines. 88 % de l'alimentation des bovins est directement produite sur l'exploitation agricole.
Car en effet, le maïs ensilage est le fourrage qui apporte le plus d'énergie et de fibres nécessaires à la rumination des vaches. Ainsi, si le rendement est évidemment un critère de choix majeur pour sélectionner ses variétés de maïs, sa qualité agronomique et sa valeur alimentaire le sont tout autant.
En plus des fourrages (herbe pâturée, ensilage de maïs ou d'herbe), d'autres sources d'énergies sont utilisées pour équilibrer la ration alimentaire des vaches: céréales, drêches de brasseries, tourteaux de colza, tourteaux de soja, tourteaux de lin, graines de pois et d'oléagineux…
Le sel a un rôle majeur dans le bon fonctionnement de l'organisme des animaux, leur santé, leur capacité de production et de reproduction. Plus particulièrement, le sel est un agent d'appétence qui améliore donc l'appétit des animaux tout en régulant leur consommation en eau et en matière sèche.
L'animal est donc entièrement dépendant de la nourriture que lui distribue l'éleveur. L'apport de foin et d'autres compléments alimentaires (ex : ensilage, par exemple de maïs, tourteaux, betteraves fourragères, colza, chou fourragé, etc.) est vital. En hiver, une vache consomme quotidiennement 60 à 80kg de végétaux.
D'une manière générale, tous les bovins sont nourris à l'herbe et au foin, ou à l'ensilage, pendant la majeure partie de leur vie. L'appellation qu'on donnera au bœuf une fois sur le marché est toutefois déterminée en fonction de l'alimentation du bétail pendant les trois à six derniers mois avant l'abattage.
La viande de taureau est au contraire excellente. Les bêtes sont en effet élevées en liberté, nourries à l'herbe et aux compléments alimentaires naturels et leur alimentation, qui répond à un cahier des charges très strict, doit être celle de la pâture.
La première qualité c'est d'être animalier, il faut aimer le contact avec les animaux, être observateur et surtout passer du temps dans son troupeau. Ensuite il faut savoir conduire son troupeau, gérer les animaux en fonction de leur âge, de leur stade physiologique (mise en reproduction, gestante, prête-à-vêler ….).
A la différence des rations conventionnelles, les rations sèches (qu'il serait plus juste d'appeler “rations concentré”) reposent principalement sur des concentrés distribués à volonté et secondaire- ment sur des fourrages secs (paille/foin) dont la vocation essentielle est d'assurer une bonne rumination.
Une perte de graisse corporelle de plus de 0.75 point d'index BCS en début de lactation indique une mobilisation de la graisse corporelle, ce qui conduit en général à la formation d'acétone. Cela se voit également dans les teneurs en graisse du lait, qui dépassent 4.8%.
Prenons l'exemple d'une vache de boucherie de 635 kg (1 400 lb ) qui consommait 13-14 kg (28-31 lb ) de foin/jour. On pourrait lui servir une ration composée de 9 kg (20 lb ) de foin et de 2,5 kg (5 lb ) de céréales.
En France, l'herbe et le maïs sont au cœur de l'alimentation des vaches laitières. En plus de ces fourrages indispensables, leur ration est complétée par des concentrés riches en énergie et protéines.
Le sel représente un élément important et indispensable dans l'alimentation chez l'homme de par sa composition en chlorure de sodium. Néanmoins, dans nos sociétés occidentales, la consommation de sel est jugée trop importante (OMS) et peut avoir des conséquences néfastes pour la santé (hypertension, obésité).
L'excès de sel est néfaste
Le premier effet nocif de l'abus de sel concerne la santé cardiovasculaire. "L'excès de sel contribue à augmenter l'hypertension artérielle. C'est l'un des facteurs de risque des maladies cardiovasculaires.
Pourquoi consommer du sel est-il important pour la santé ? Le sodium joue un rôle déterminant dans le maintien de l'équilibre hydrique entre l'intérieur et l'extérieur des cellules. Ce maintien est essentiel pour les transmissions nerveuses et les contractions musculaires.
En fait, tout comme le ferait un enfant devant un bol de friandises, les vaches vont d'abord manger les plantes les plus tendres et les plus savoureuses du mélange, habituellement le mil et le trèfle ladino.
Les animaux aiment le pain, les pommes, les carottes et les morceaux de sucre.
L'herbe, nos vaches l'adorent, c'est un aliment équilibré et varié. Ce sont les feuilles qui sont les plus riches en énergie et protéines, elles sont également les moins encombrantes dans le tube digestif.