Arbres : Frêne commun, Aulne, Erable champêtre, Merisier, Tilleul à petites feuilles, Saule, Chêne pédonculé... Arbustes : Prunellier, Noisetier, Cornouiller sanguin, Fusain d'Europe, Sureau noir...
Arbres et arbustes : Betula (bouleau), Cornus (cornouillers), Hydrangea (hydrangéas et hortensias), Kerria japonica (corête du Japon), Magnolia caduc ou persistant, Rhododendron, Quercus palustris (chêne des marais), Viburnum (viornes), Fraxinus (frênes), Fagus (hêtres) ...
On offre donc une place de choix aux saules pleureurs, aux frênes, aux liquidambars - ou copalme d'Amérique, un arbre comparable à l'érable - aux cyprès chauves - ou taxodium distichum - et aux arbres de Judée ou Cercis siliquastrum.
Dans ce cas (assez rare pour des jardins privés) opter pour des plantes vivaces de marécages et bords d'étang supportant ces situations extrêmes:
Le saule est un arbre qui boit beaucoup d'eau. Si vous habitez dans un terrain où l'humidité est abondante, cet arbre peut s'avérer très pratique. En effet, le saule vous débarrasse de l'humidité en absorbant l'eau souterraine.
L'érable champêtre, l'érable platane, le frêne à fleurs, le mûrier platane, l'olivier, le savonnier de Chine, le tilleul à petites feuilles, le tilleul à grandes feuilles (moins résistant que celui à petites feuilles)... La rédaction vous conseille : Chêne vert, Quercus ilex. Chêne : les différentes espèces.
Celles de marécage les plus adaptées sont les cressons des fontaines, roseaux, trèfles d'eau, menthes aquatiques, renouées aquatiques. Pour les eaux plus profondes, préférez des nymphéas, lotus, thalias, massettes, sagittaires, calthas…
Mise en place d'une fascine de saule en pied de berge. Les racines des arbres ainsi plantés maintiendront la berge. Remblais en bordure de cours d'eau par des matériaux divers. Utilisation de techniques végétales vivantes pour consolider une berge.
Le nénuphar est une plante indispensable. Le nénuphar fleurit durant tout l'été, a un effet esthétique indispensable. Il a également un rôle dans l'épuration de l'eau et l'équilibre biologique du bassin.
Les essences d'arbres adaptées aux bordures de nos cours d'eau le saule, le frêne ou bien encore l'aulne (un aulne adulte, grâce à son système racinaire, peut protéger jusqu'à six mètres de berges). Ces arbres peuvent être associés avec des arbustes (noisetiers, aubépine, etc.)
Plantez des arbustes ou des arbres ! Choisissez des végétaux qui absorberont l'eau et assècheront la terre : peupliers, saules sont très résistants à l'humidité. Elevez vos cultures ! Les cultures surélevées, telles que les buttes, les carrés potagers...
La bruyère, une plante colorée qui aime l'eau
En plus d'être résistante au froid, cette plante au feuillage imposant nécessite d'être souvent arrosée, au risque que la terre ne sèche très rapidement.
Le tunage bois
Ces piquets de bois sont généralement en chêne, châtaignier ou pin. Cette technique extrêmement respectueuse de la nature, permet de fortifier des berges particulièrement instables et menacées, et facilite la revégétalisation.
Comment les renforcer ? Stabilisation du pied de berge : La fascine de saules est réalisée avec des branches de saules vivants, assemblées en fagots et fixées entre deux rangées de pieux. La fascine d'hélophytes est réalisée avec des espèces semi-aquatiques (joncs, iris jaune, baldingère, salicaire, carex…)
On protège les berges en installant un matériau sur la berge d'un cours d'eau afin de lutter contre l'érosion et de prévenir la perte de matières de la berge et de lieux adjacents dans le cours d'eau.
Étalez au fond du panier une couche de 2 cm de substrat pour bassin ou pouzzolane pour maintenir la toile en place. Recoupez la toile de jute un centimètre sous le bord du panier. Remplissez le panier jusqu'aux deux tiers de sa hauteur avec un terreau spécial plantes aquatiques (spécial nénuphar éventuellement)
Prévoyez des plages d'ombre pour votre bassin. Une eau sans mouvement se réchauffe très vite. Emploi des cascades et jet d'eau : si une grande surface d'eau facilite les échanges avec l'atmosphère, ce n'est pas suffisant. Un jet d'eau ou une cascade contribue activement à l'oxygénation.
Parmi les variétés les plus résistantes, on citera par exemple, le palmier bleu du Mexique, le dattier des Canaries ou l'arbre à laque.
Le Ginkgo biloba est apparu sur Terre il y a 270 millions d'années, bien avant les animaux et les fleurs. Très présent au Japon, cet arbre magique, étudié pour sa résistance exceptionnelle, a même survécu à la bombe atomique de Hiroshima.
Saviez-vous qu'il existait un arbre capable de produire 4 fois plus d'oxygène qu'un arbre classique. Il s'appelle Paulownia Tomentosa (ou Kiri) et s'avère indispensable à la reforestation. Nous avons tous appris la photosynthèse en cours de Sciences Naturelles, cet arbre pourrait en être le champion !