Pour remplacer le tramadol, il est recommandé de rester au sein du pallier 2 dont il fait partie. Le médecin peut alors prescrire du paracétamol associé à la codéine, à de la caféine, ou à la caféine et à l'opium. Une association d'aspirine, de codéine et d'opium existe également.
En font partie le paracétamol, l'aspirine et l'ibuprofène. On les trouve en vente libre et sur ordonnance. Le palier 2 concerne certains opiacés, en association avec du paracétamol. Le palier 3 désigne les antalgiques puissants (morphine, fentanyl) réservés aux douleurs sévères.
Quatre AINS sont vendus sans ordonnance : l'ibuprofène (Motrin, Advil et autres marques), le naproxène (Aleve, Motrimax), le diclofenac (Voltaren Emulgel) et l'acide acétylsalicylique (AAS, Aspirine et autres marques).
Aucune différence significative d'effet antalgique n'a été démontrée, sur une étude de 460 patients suivis pour douleurs lombaires ou arthrosiques, comparant paracétamol 325 + tramadol 37.5 à paracétamol 300 + codéine 30.
Le tramadol est un analgésique opioïde synthétique vendu au Canada depuis 2005. Il est réglementé en vertu de la Loi sur les aliments et drogues et n'est disponible que sur ordonnance.
La forte consommation de Tramadol a aussi des incidences sur l'ordre public du fait de ses effets secondaires : étourdissements, sensation d'euphorie, agitation, anxiété et hallucinations, contribuant notamment à altérer le rapport à la peur et à la douleur.
La morphine est l'antalgique puissant de référence aujourd'hui, même si d'autres molécules dérivées de la morphine ont été développées depuis. L'usage de la morphine n'est plus aujourd'hui réservé aux cas extrêmes ou aux soins palliatifs.
Ce sont : la codéine (Codoliprane , Dafalgan Codéine , Efferalgan Codéine , Lindilane ...), le tramadol (Contramal , Ixprim , Topalgic , Zamudol ... ) ou des extraits d'opium (Lamaline , Izalgi ...) Les morphiniques (morphine et dérivés) quant à eux sont des opiacés destinés aux douleurs intenses.
Les antalgiques de niveau II (opiacés faibles) sont la codéine, la dihydrocodéine et le tramadol. Ils sont destinés aux douleurs d'intensité moyenne ou aux douleurs non soulagées par les antalgiques de niveau I. Ils sont souvent associés au paracétamol.
L'ibuprofène ou le kétoprofène sont des exemples typiques. Ces médicaments possèdent un effet antalgique et analgésique efficace. Ils peuvent être prescrits pour soulager l'arthrose ou, dans le cas présent, une douleur du dos. L'effet de l'ibuprofène est optimal si les prises sont espacées de 6 heures au minimum.
Cette substance opioïde est intéressante pour soulager les douleurs modérées à intenses qu'elles soient chroniques ou aiguës. On peut, par exemple, l'utiliser en cas de lombalgie ou de lumbago (douleur dans le bas du dos) ou de zona en phase aiguë.
On classe les médicaments antidouleur, appelés antalgiques, selon l'intensité douloureuse qu'ils sont censés soulager : les médicaments du palier 1 sont utilisés pour traiter des douleurs d'intensité faible : ce sont par exemple le paracétamol, l'aspirine ou les anti-inflammatoires classiques.
Quels médicaments ne pas prendre avec du Tramadol ? Le tramadol ne doit pas être pris simultanément à d'autres médicaments. Par exemple : Avec des tranquillisants, somnifères, antalgiques comme la morphine ou la codéine (risques de somnolence ou de sensations d'évanouissement augmentés).
Adulte : douleur aiguë : 2 gélules lors de la première prise, puis 1 ou 2 gélules lors des prises suivantes, à renouveler si nécessaire toutes les 4 à 6 heures. douleur chronique : 1 ou 2 gélules toutes les 4 à 6 heures.
Le tramadol reste inscrit sur la liste I des substances vénéneuses. Il ne peut être obtenu que sur prescription médicale.
Le paracétamol (Doliprane®, Efferalgan®, Dafalgan®) fait partie des médicaments anti-douleur les plus utilisés.
Enfin, la substance la plus conseillée est le paracétamol puisqu'il présente «le meilleur rapport bénéfice/risque». Le magazine rapporte que les marques Dafalgan et Doliprane 500 et 1 000 mg sont les produits les moins dangereux et les plus efficaces.
Ainsi le tramadol est interdit par l'UCI en cyclisme plus en raison des risques liés aux effets secondaires que par un effet dopant.
Mieux vaut utiliser la codéine quand un antalgique de palier 2 est envisagé. Le tramadol (Topalgic° ou autre) est un opioïde faible couramment utilisé malgré sa balance bénéfices-risques défavorable. L'antalgique de palier 2 (pour des douleurs modérées à intenses) de premier choix est la codéine, malgré ses limites.
Une option est une diminution progressive des doses de tramadol, par paliers d'environ 5 à 10 % toutes les 1 à 4 semaines. Les patients peuvent adapter le calendrier de sevrage : soit en réduisant moins les doses quotidiennes, soit en allongeant la durée des paliers.
Il est recommandé d'adopter un régime riche en fibres, des apports hydriques suffisants (au moins 1,5 litre d'eau par jour) et de pratiquer une activité physique régulière.
Comme vous avez pu le ressentir lors de votre tentative d'arrêt, l'arrêt brutal du Tramadol qui est un antalgique opiacé, entraîne un ensemble de symptômes physiques (douleurs profondes des membres, crampes musculaires, douleurs lombaires, abdominales, larmoiements, écoulement nasal, sueurs, frissons, diarrhée, ...
Je conseille dans les douleurs de prendre le doliprane et si celle-ci ne cède pas alors compléter au tramadol qui a une action plus puissante, mais des effets secondaires plus marqués comme des étourdissements, de la somnolence, des nausées et de la constipation.
Le paracétamol
Les médicaments contenant du paracétamol (voir liste ici) sont recommandés en premier lieu. Dans le traitement de l'arthrose, le paracétamol peut être pris à la dose de 1 gramme, quatre fois par jour, mais uniquement sur prescription médicale. Le paracétamol est habituellement bien toléré.
Le tramadol est un opioïde utilisé pour soulager l'arthrose. Contrairement à d'autres analgésiques comme les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), il ne cause pas de saignements dans l'estomac et les intestins, ni de problèmes rénaux. Il n'affecte pas non plus le cartilage aux extrémités des os.