Le travail peut cependant satisfaire d'autres besoins non nécessaires (les désirs): travail et utilité. a. Le désir d'être reconnu L'homme est caractérisé par la conscience et par conséquent par le désir de se connaître. Grâce à la conscience, il peut se voir.
les besoins physiologiques : recevoir assez d'argent pour vivre. les besoins de sécurité : avoir un emploi stable dans un climat détendu. les besoins d'appartenance : être en contact avec les autres (collègues/clients), être intégré les besoins d'estime : recevoir du pouvoir, devenir un expert, réussir.
Pour satisfaire un besoin, il est nécessaire d'agir. L'individu et le temps étant étroitement liés dans l'action qui se vit au présent, le temps apparaît comme un objet d'étude incontournable pour envisager les moyens de les satisfaire autrement.
On peut de plus trouver dans le travail, un exercice de la pensée, de l'intelligence qui correspond à ce qui nous est nécessaire en tant qu'être pensant. Nos besoins vitaux ne sont que la base de la pyramide de nos besoins selon Maslow : Besoins physiologiques (manger, boire, dormir, respirer…)
Pendant des siècles, le but premier du travail était de nourrir la famille. Les hommes partaient à la chasse ou cultivaient leur terre afin d'apporter de la nourriture à la table. Ensuite, le travail a été perçu comme une source de richesse. Les gens pouvaient se procurer davantage de nourriture et de biens.
La réponse tient en quelques mots. On travaille pour gagner sa vie, pour exister socialement (être connu et reconnu), voir des gens et enfin pour faire des choses qui nous intéressent : soigner, enseigner, construire ou réparer, faire la cuisine, écrire, etc.
En structurant les activités quotidiennes, le travail nous aide à percevoir le temps. En dissociant le temps du travail et celui du repos, nous sommes en mesure d'organiser notre journée, notre semaine et notre année.
Le travail est essentiel pour la survie de l'homme, mais il est aussi considéré comme un châtiment et une contrainte. Le travail permet aussi de s'accomplir en tant qu'être humain et d'être libre.
1. Les besoins vitaux : la faim, la soif, l'élimination, le maintien de la température corporelle, la respiration, le logement, le sommeil, la sexualité. Ces besoins physiologiques sont les besoins dont la satisfaction est importante ou nécessaire pour la survie.
Ils incluent les éléments indispensables à la survie : respirer, boire, manger, éliminer, se protéger du froid et de la chaleur, être en sécurité, dormir. Plus généralement, on parle de besoins vitaux.
Les besoins physiologiques sont liés directement à notre survie, comme la faim, la soif, la nourriture. De nombreux biens de consommation y pourvoient, avec une très forte concurrence. Mais on sait que ces besoins existeront toujours.
Pour rappel les besoins fondamentaux sont d'ordre physique, social et mental. On tend à satisfaire nos besoins. S'ils ne sont pas satisfaits, l'organisme et par extension l'individu va ressentir un état de manque.
Il est également possible, pour la relève, d'aider les relayeurs à exprimer leurs besoins. Le plus important est sans aucun doute de les écouter sans leur prêter de mauvaises intentions. Ils seront maladroits au début, ils s'exprimeront mal, sans doute, alors reformuler à voix haute ce qu'ils tentent de vous dire.
Besoins physiologiques : avoir un salaire permettant de vivre décemment. Besoins de sécurité : posséder une stabilité d'emploi, un environnement et conditions de travail sécurisants. Besoins d'appartenance : être intégré dans un groupe de collègues, être informé régulièrement de la vie de l'entreprise.
Les groupes qui permettent de satisfaire ce besoin sont nombreux : une famille, une entreprise, une communauté religieuse, un parti politique, une association, un club, une bande de jeunes, etc…
Recherchant ce qui se cache derrière ces motivations, il met au jour cinq (groupes de) besoins fondamentaux : les besoins physiologiques, les besoins de sécurité, les besoins d'appartenance et d'amour, les besoins d'estime et le besoin d'accomplissement de soi.
Le travail rend heureux aussi parce qu'il structure le temps, donne un cadre et permet de mieux apprécier son temps libre. Enfin, travailler impose de développer ses compétences et ses qualités, ce qui est valorisant et donne confiance en soi, et contribue à l'épanouissement personnel.
Il est essentiel que le lecteur soit en mesure d'établir le lien entre la problématique et les résultats obtenus. La conclusion est à la fois un résumé des grandes lignes et des phases essentielles de la recherche et un bilan des principaux points traités (une synthèse des résultats obtenus).
Au-delà d'être une source indispensable de revenus, le travail apparaît comme un vecteur de sociabilité pour beaucoup de salariés, notamment chez les femmes et les plus jeunes. C'est l'occasion de faire de nouvelles rencontres, d'y nouer des amitiés et parfois même d'y trouver nos futurs partenaires professionnels.
Dans la plupart des sociétés humaines actuelles, le travail est une nécessité pour beaucoup d'êtres humains, puisqu'il est le seul à permettre une rémunération financière. Il existe toutefois d'autres formes de travail que le travail rémunérateur : le travail domestique ou le travail dans les études.
Outre le fait que le travail fournit un revenu et permet de subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille, il donne la possibilité de s'accomplir, procure le sentiment d'être utile, contribue à la valorisation et favorise le développement de l'estime de soi.
Hommes et femmes y sont confrontés sans distinction, et font face à d'autres conséquences que l'augmentation du risque d'AVC : dépression, hypertension et difficultés relationnelles sont régulièrement observées auprès des salariés qui travaillent le plus.