Vous pouvez tout à fait choisir entre différentes essences de bois comme le pin, le chêne ou l'acacia, pour des murs ou une clôture avec un design qui vous plaira.
Le pin, mélèze, douglas, western red cedar, châtaignier et chêne représentent un bon compromis pour les revêtements extérieurs, même sans traitement. Le sapin blanc et l'épicéa nécessiteront quand à eux une protection pour pouvoir durer dans le temps.
Pour monter un mur de soutènement, la solution la moins chère serait celle du bloc à bancher. En effet, cette solution permet de mettre en oeuvre des coffrages préfabriqués, ce qui reste le moins onéreux.
Les matériaux qui peuvent être utilisés pour leur réalisation sont : Maçonnerie de pierre jointoyée, de béton non armé ou en béton cyclopéen (blocs de pierres ou moellons noyés dans le béton) coulé en place. Maçonnerie de pierres sèches ou pierres non jointoyées et/ou gabion.
Des fondations hors gel pour le mur de soutènement
Par exemple, si vous vivez le long des côtes Atlantique ou Méditerranéenne, 50 cm de profondeur suffisent. En revanche, si votre terrain se situe en montagne, dans les Pyrénées, le Massif Central ou les Alpes, il faut creuser jusqu'à 1 m de profondeur selon l'altitude.
Ménager une légère inclinaison
Nivelez le sol et déposez un lit de sable grossier pour créer une assise stable. Placez les moellons les plus volumineux à la base puis montez progressivement le mur, rang par rang, en remblayant le vide au dos de l'ouvrage avec de la terre.
Le prix d'un mur de soutènement est de 160€/m² en moyenne, avec une fourchette comprise entre 60€ et 400€/m² construction incluse. Plus spécifiquement, le tarif d'un mur de soutènement en buses de béton va de 60€ à 80€/m², alors que celui d'un mur de soutènement en béton banché va de 150€ à 400€/m².
Les bois durs comme le châtaignier ou le chêne proposent des performances honorables. Les bois tendres, tels que le pin, le sapin ou l'épicéa exigent un traitement par autoclave afin d'être protégés des champignons, des insectes et de l'humidité.
Les bois naturellement imputrescibles sont les bois exotiques d'Asie ou d'Amazonie comme le teck ou l'ipé par exemple. Ce sont des bois onéreux, rares, et la forte demande européenne en menace les forêts. L'alternative durable est le traitement des bois européens avec un procédé naturel comme le frêne thermo-chauffé.
Le cèdre est reconnu pour avoir aussi cette qualité. La Pruche, le Pin, l'Épinette etc... sont aussi résistants.
La profondeur d'enfoncement des rondins est fonction de la nature du sol (mou/dur), de la hauteur du mur et de la charge à supporter (remblai instable ou sol stable). En moyenne, on peut prendre 1/3 enfoncé en terre pour 2/3 de mur. Le diamètre des rondins est lui aussi fonction de la hauteur de mur.
Dans le cas où votre pente serait comprise entre 10 et 20%, reliez vos dalles stabilisatrices en vous servant de pointes ou d'agrafes. Cela diminuera le risque de mouvements au fil du temps. Une fois la pose terminée, il ne vous restera plus qu'à ajouter vos graviers directement sur les dalles.
Le bloc à bancher (en H) : parpaing avec lequel le béton est coulé directement dans les alvéoles. On l'utilise pour les murs de soutènement.
Si le terrain présente un dénivelé, vous pouvez utiliser un mur de soutènement. Il s'agit d'une paroi solidement ancrée, qui est spécialement conçue pour résister à la poussée des terres.
Aménagement de pentes avec des plantes à gros système racinaire pour retenir les sols. Finalement, dans le cas où une partie du terrain est plus élevée et qu'il y a des risques de glissements de terrain, l'aménagement de la pente avec des plantes ayant de gros systèmes racinaires permettra de maintenir le sol en place.
Le poids et la taille de votre mur en parpaings.
Généralement, les fondations d'un mur en parpaings de 2 m sont profondes d'environ 20 à 30 cm.