Les cancers de l'enfant sont plus fréquents chez les garçons que chez les filles. Ces cancers sont rarement héréditaires. Les cancers qui surviennent chez les adolescents, entre 15 et 19 ans, sont essentiellement des maladies du sang (lymphomes, leucémies), des cancers de la thyroïde et des cancers des os.
Chaque année en France, environ 1 900 adolescents et jeunes adultes (AJA) sont touchés par un cancer. La moitié pour des pathologies hématologiques – lymphomes, leucémies –, le reste pour des tumeurs solides.
Le dépistage s'adresse donc à tout le monde, à partir d'un certain âge : il concerne toutes les femmes entre 50 et 74 ans pour les cancers du sein, toutes les femmes entre 25 et 65 ans pour les cancers du col de l'utérus, les hommes et les femmes entre 50 et 74 ans pour les cancers du côlon et du rectum.
Les cancers les plus fréquents rencontrés à cet âge sont le cancer de la thyroïde, le cancer du testicule, le mélanome, le lymphome de Hodgkin, les lymphomes non hodgkiniens, les leucémies, les tumeurs cérébrales et les sarcomes.
Le cancer des adolescents
Chaque année en France, près de 380 000 cas de cancers sont diagnostiqués. Près de 1 700 d'entre eux touchent des enfants de moins de 15 ans, et environ 800 concernent des adolescents de 15 à 19 ans.
Les types de cancer les plus fréquents chez les adolescents sont les suivants : lymphome (29 %); carcinome (20 %); tumeur germinale (13 %); leucémie (12 %).
Les cancers de l'enfant sont plus fréquents chez les garçons que chez les filles. Ces cancers sont rarement héréditaires. Les cancers qui surviennent chez les adolescents, entre 15 et 19 ans, sont essentiellement des maladies du sang (lymphomes, leucémies), des cancers de la thyroïde et des cancers des os.
Bien que les tumeurs cérébrales peuvent survenir à tout âge, les risques augmentent en vieillissant. La majorité des tumeurs sont diagnostiquées chez des personnes de plus de 45 ans. Toutefois, certains types de tumeurs toutefois, comme les médulloblastomes, surviennent presque exclusivement chez les enfants.
Le cancer du pancréas est l'un des cancers les plus redoutés, car il est souvent foudroyant.
Il pratiquera un examen clinique, vous demandera un bilan sanguin et les examens d'imagerie en fonction de vos symptômes. Puis, il vous orientera vers un spécialiste selon les résultats. Le diagnostic de certitude de cancer repose sur le prélèvement d'un fragment de la tumeur (biopsie).
La contamination par le HPV est dans la majorité des cas asymptomatique. Le temps qui s'écoule entre la contagion et l'apparition des symptômes peut varier de plusieurs semaines à plusieurs années. Il existe différents symptômes en fonction des différentes souches du papillomavirus.
Les cancers les plus fréquents chez l'homme sont les cancers de la prostate (50 400 nouveaux cas en 2018), puis ceux du poumon (31 200 cas) et le cancer colorectal (23 000 cas). Chez la femme, le cancer du sein est le plus fréquent (58 500 cas), suivi du cancer colorectal (20 100 cas) et du poumon (15 100 cas).
95% des personnes atteintes avaient 50 ans et plus, les âges moyens au diagnostic étant de 71 ans chez la femme et 68 ans chez l'homme. L'évolution de l'incidence diffère chez l'homme et la femme.
Des symptômes tels que mal de gorge, dysphagie (impression de gêne au cours de la déglutition), dysphonie (troubles de la voix), aphte persistant, ganglion cervical, saignement de nez, obstruction nasale, otalgie (douleur de l'oreille)… doivent alerter.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Taux de survie compris entre 20 % et 80 % : Cancer du côlon-rectum, de la bouche et pharynx, de la vessie, du rein, de l'estomac, du col de l'utérus, des ovaires, du larynx, ainsi que lymphomes non hodgkiniens et les leucémies aiguës.
Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer (NCI, 2012). Seule une association avec l'augmentation du risque de maladies cardiovasculaires a été mise en évidence (Kivimäki, 2012).
La boule cancéreuse est souvent dure, non mobile, avec des contours irréguliers (tumeur solide et très compacte en échographie).
Les leucémies, les tumeurs du système nerveux central et les lymphomes sont les principales pathologies cancéreuses rencontrées chez les moins de 15 ans. Rien à voir, donc, avec les principaux cancers de l'adulte qui touchent les poumons, le sein ou la prostate.
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
Avant 20 ans, le cancer du sein est rarissime, mais après, les premiers cas apparaissent. En Belgique, en 2008, 169 nouveaux cas ont été diagnostiqués chez les moins de 30 ans.