Aujourd'hui, le train français roule à deux carburants: le gazole et l'électrique. Sur les 30.000 kilomètres de lignes du réseau ferré français, 15.000 kilomètres de lignes sont électrifiées et assurent la circulation de 90% du trafic voyageur.
Pour déplacer un TGV, nous avons besoin d'alimenter en électricité la LGV et d'abaisser la tension électrique. La caténaire et le pantographe permettent l'alimentation électrique entre la LGV et le TGV.
Le TGV (sigle de train à grande vitesse) est une rame automotrice de conception française alimentée par caténaire et propulsée par des moteurs électriques, atteignant régulièrement la vitesse de croisière de 320 km/h sur des lignes à grande vitesse (LGV).
Un train électrique aérodynamique à grande vitesse
Une rame de TGV est composée de 8 à 10 voitures encadrées par 2 motrices : l'une qui tracte, l'autre qui pousse. Chaque rame est propulsée par 8 moteurs électriques, soit 1 par essieu, sous les motrices. Il arrive que deux rames soient accouplées.
Les trains sont alimentés en courant alternatif haute tension ou en courant continu. L'alimentation passe par un troisième rail ou une caténaire et le retour de courant se fait par les rails de la voie ou un quatrième rail dédié.
la consommation énergétique ressort à 2,74 gep / V / km !!!
[2] 1 kW/h vaut, au tarif régulé de jour, 8,39 centimes d'Euro. [3] Soit 0,1504 centimes d'Euro. Le TGV à 1 niveau consommerait 56,71 centimes d'Euros au kilomètre. [4] Soit 0,1036 centimes d'Euros.
Car si les rames peuvent rouler en mode batterie, elles peuvent aussi fonctionner en étant reliées à un caténaire, en cas de ligne ferroviaire électrifiée. Un avantage précieux qui permet aux trains de rouler sur différentes portions de réseau sans être impactés au niveau de leur performance.
Une contrainte physique qui limite la vitesse maximale des TGV à environ 470 km/h. En pratique, pour éviter une usure prématurée des équipements, on limite la vitesse des TGV à 70 % de la vitessee de propagation des vibrations le long des caténaires, soit 350 km/h.
Mais les TGV ne roulent pas toujours à cette allure. Leur vitesse de croisière est estimée entre 300 et 320 km/h.
Le premier TGV sortie des usines Alstom de Belfort en 1978 s'appelait Patrick. Cette première rame électrique, à la couleur orange, a été mise en service en 1981 pour assurer la liaison Paris-Lyon lors de l'ouverture de la LGV Sud-Ouest.
Qui dit InOui dit des services différents chez la SNCF…
Ce qui était l'offre TGV Premium s'est appelé inOui et elle sera associée à une qualité de service supérieure à un TER ou bien un train OuiGo. Aujourd'hui, Inoui se veut accessible mais aussi être un service à qualité supérieur par rapport à son petit frère.
La différence est en fait très simple : il n'y en a pas ! La SNCF a rebaptisé TGV et l'appelle maintenant TGV INOUI. Il s'agit d'une stratégie de différenciation entre l'offre Premium opérée par TGV INOUI et l'offre low-cost qu'offre OUIGO.
Dévoilé en juin 2021, il serait capable d'atteindre les 620 km/h, voire les 800 km/h à terme, et pourrait être commercialisé dès 2027.
Aujourd'hui, le train français roule à deux carburants: le gazole et l'électrique. Sur les 30.000 kilomètres de lignes du réseau ferré français, 15.000 kilomètres de lignes sont électrifiées et assurent la circulation de 90% du trafic voyageur.
En première position, le Bordeaux-Paris : en effectuant 497 kilomètres en 2 heures et 5 minutes, le TGV se déplace à 238,6 km/h sur ce trajet. Le podium est complété par les trains au départ de la gare de Lorraine TGV (226,2 km/h) et celle de Poitiers (221,8).
Le constructeur ferroviaire français Alstom, basé à Saint-Ouen, emploie 31 000 salariés dont 9000 en France pour fabriquer et commercialiser des trains, métros et tramways. Il décroche à l'été 2016 un contrat historique d'1,8 milliard d'euros pour exporter ses TGV aux Etats-Unis.
« Car les TGV vont devoir s'insérer au milieu d'un trafic de marchandises particulièrement dense sur ces axes la nuit. » A cause du fret, les TGV qui partiront entre 23 heures et minuit ne pourront donc pas rouler à grande vitesse pendant toute la durée du trajet. Une contrainte qui n'a pas que des mauvais côtés.
Lorsque le train roule, la conduite générale de frein est alimentée en air ce qui maintient les semelles de freins desserrées. Une fois que l'air stationné dans la conduite générale de frein est vidée, la diminution de la pression entraine l'abaissement des semelles sur les essieux et donc l'action de freinage.
Longues distances, grande vitesse
En moyenne, un TGV roule à 284 km/h entre Paris et Strasbourg ou à 281 km/h vers Bordeaux, contre seulement 200 km/h entre Paris et Tours, et 111 km/h vers Le Havre.
Résultat : sur la base de données collectées en mars 2018, GoEuro montre que le train offre sur dix destinations un gain de temps compris entre une heure et plus de trois heures par rapport à l'avion. La palme revient, haut la main, aux voyageurs qui se rendent de Londres à Paris avec Eurostar.
en 2de classe : des sièges disposés en carré ou côte à côte. en 1re classe : un siège isolé, en duo ou à 4.
Cette solution consiste à enfouir une première bobine sous la surface de la voie, entre les rails, la seconde sous le plancher d'une voiture. Lors du passage de cette dernière sur les rails, un champ magnétique se crée entre les deux bobines et induit un courant.
Quelle est la différence entre un train, un TGV et un TER ? - Quora. les TGV et TER sont des trains. Le TGV et le TER sont différents techniquement et économiquement. Techniquement, les TGV sont des trains à grande vitesse capable de rouler à 300, voire 320 km/h suivant les versions.
Par rail, il est moins coûteux et plus facile à installer dans les tunnels mais limite la vitesse atteignable (entre 20 et 40 km/h de moyenne selon les lignes de métro)(2). Les risques d'électrification de personnes circulant sur le troisième rail sont réels.