Agents chimiothérapeutiques administrés pour le cancer de l'estomac. Les agents chimiothérapeutiques les plus souvent employés, seuls ou en association, pour traiter le cancer de l'estomac sont les suivants : fluorouracil (aussi appelé 5-fluorouracil ou 5-FU); capécitabine (Xeloda);
La chirurgie. La chirurgie est le seul traitement qui permette de guérir un cancer gastrique. Des rechutes locales ou à distance peuvent malgré tout survenir à plus ou moins long terme chez une part significative des personnes opérées.
Dans le cas du cancer de l'estomac, on considère que le suivi minimal est de 5 ans (1). Si aucune récidive n'est survenue dans les 3 ans qui suivent le diagnostic, le patient a alors plus de 90 % de chances d'être guéri (2).
La chimiothérapie est le principal traitement du cancer de l'estomac de stade 4 ou récidivant. On peut aussi proposer la chirurgie et la radiothérapie.
On estime que le cancer gastrique est en phase terminale quand il s'agit d'un cancer de stade IV qui a traversé la muqueuse de l'estomac et qui a colonisé d'autres parties du corps (métastases du cancer de l'estomac). À ce stade, le pronostic est très sombre puisque les chances de guérison sont quasi nulles.
Le cancer de l'estomac est une pathologie grave dont l'un des principaux facteurs de risque est l'infection chronique par une bactérie, Helicobacter pylori. Le pathogène a la capacité de changer de forme, ce qui le protège des agressions environnementales comme la présence d'antibiotiques.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
Dans le cas du cancer de l'estomac, il y a 5 stades, soit le stade 0 suivi des stades 1 à 4. Pour les stades 1 à 4, on utilise souvent les chiffres romains I, II, III et IV. En général, plus le chiffre est élevé, plus le cancer s'est propagé. Parlez à votre médecin si vous vous posez des questions sur le stade.
Des douleurs épigastriques (dans la région de l'estomac) et un amaigrissement progressif sont les signes les plus fréquents. Toutefois, ces symptômes ne sont pas spécifiques à cette maladie. Lorsqu'elle est plus évoluée, la tumeur peut engendrer d'autres signes : des vomissements, une hémorragie et donc une anémie …
Ces lésions peuvent être causées par l'âge (facteur de risque commun à tous les cancers) mais aussi par des facteurs environnementaux (nourriture, bactérie Helicobacter pylori…), des facteurs comportementaux (tabac, consommation de sel), des prédispositions génétiques ou encore des antécédents médicaux ou familiaux.
péritoine (membrane tapissant la face interne de la paroi de l'abdomen et recouvrant tous les organes qui s'y trouvent). Important : le péritoine reste le site de diffusion métastatique le plus fréquent des tumeurs gastriques.
L'apport systématique d'aliments protidiques doit être une priorité à chaque repas : sous forme de viande rouge, volaille, poisson, œuf au moins pour 2 repas, et sous forme de laitage : fromage, et autres dérivés tolérés (ces derniers pouvant être aussi pris aux collations).
L'importance du dépistage reste primordiale. En effet, plus un cancer est diagnostiqué tôt, plus il a de chance d'être guéri. La prise de sang est l'un des examens qui aident à diagnostiquer un cancer.
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
Certains types de cancer peuvent entraîner un gain de poids. Le cancer de l'ovaire et le cancer colorectal, par exemple, peuvent causer l'accumulation de liquide dans les jambes ou l'abdomen. Ce type d'œdème porte le nom d'ascite.
Il est préférable de boire en dehors des repas ; en effet, boire pendant les repas peut entraîner une sensation de satiété plus rapide et limiter les quantités de nourriture consommées. Par ailleurs, il faut éviter les repas trop épicés ou trop gras, plus difficiles à digérer.
- Douleur dorsale: parfois l'estomac Une douleur dans la région des trapèzes et des omoplates peut être une douleur projetée à partir du cou. Mais elle peut aussi traduire un ulcère de l'estomac, sans même qu'il y ait brûlure, ou encore un problème de pancréas.
De l'ulcère au cancer de l'estomac
La gastrite chronique causée par la bactérie peut provoquer des ulcères et à long terme, transformer la muqueuse et induire une mutation de ses cellules en cellules cancéreuses. Au moins 80% des cancers de l'estomac sont liés à une infection chronique à H. pylori.
Certaines chimiothérapies sont administrées par voie orale, d'autres par injection intramusculaire ou sous-cutanée. La majorité des traitements se fait toutefois par voie intraveineuse. La pose d'une chambre à cathéter implantable peut alors être indiquée pour le patient.
C'est la raison pour laquelle une chimiothérapie entraîne parfois des effets indésirables. Il peut s'agir de nausées, vomissements, inflammation de la bouche (mucite) ou aphtes, diarrhée ou constipation, perte temporaire des cheveux (alopécie), fatigue, baisse des globules blancs, des globules rouges ou des plaquettes.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Vous pourriez ressentir de la douleur, comme une sensation de brûlure, un engourdissement, des picotements ou une douleur fulgurante dans les mains et les pieds (dommages aux nerfs périphériques). Ce type de douleur peut se prolonger bien après que le traitement soit terminé.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.