La loi et le code civil ne précisant pas de durée minimale ou maximale. Ce qu'on constate aujourd'hui c'est qu'un divorce par consentement mutuel dure en moyenne 7 mois contrairement à un divorce avec juge (pour faute, altération..) dont le délai de réalisation s'établit à 26 mois.
La procédure ne se passe pas au tribunal. Une convention établie entre les époux est rédigée par leur avocat respectif et est enregistrée chez un notaire. Quand l'enfant des époux demande à être auditionné par le juge, la convention est homologuée : Approbation d'un acte ou d'une convention par le juge par le juge.
On considère que le divorce accepté, régi par les articles 233 et suivants du Code civil, est le divorce le plus rapide.
S'agissant du coût du divorce par consentement mutuel, chaque époux supporte en principe les frais de son propre avocat et partage par moitié les frais notariés.
Dans un divorce par consentement mutuel, le notaire intervient pendant la procédure de divorce. Son premier rôle est de liquider le régime matrimonial, c'est-à-dire le partage du patrimoine des époux propriétaires d'un bien immobilier, avant la signature de la convention de divorce.
Malgré le maintien des liens du mariage, la séparation de corps entraîne la fin des devoirs nés du mariage, et notamment : du devoir de cohabitation ; du devoir de fidélité ; de l'obligation de secours.
La réforme du divorce en 2022 a pour objectif d'accélérer et simplifier la procédure. Désormais, la phase de conciliation est optionnelle concernant les mesures mises en place en attendant le prononcé du divorce. En cas d'altération définitive du lien conjugal, le délai observé n'est plus de 2 ans, mais de 1 an.
Comptez plutôt de 18 à 30 mois dans le cas d'un divorce pour faute. Pour bien faire, il vous faudra certainement éteindre vos instincts les plus vils.
pour les 5 débiteurs ayant un revenu de 4000 à 4999 €/mois, c'est mini refus, maxi 180 000 €, moyenne 73 800 € (pour 31 ans d'union, 2,1 enfants), soit sur l'écart des revenus mensuels un ratio de 0,49 mois ou 52 % selon le revenu du débiteur par année de mariage.
En revanche, s'il existe un bien immobilier commun au moment du divorce par consentement mutuel, plusieurs solutions s'offrent aux époux : vendre, rester dans l'indivision, ou que l'un des deux conjoints reste seul propriétaire. La décision doit être prise à deux.
Un divorce à l'amiable est beaucoup plus rapide qu'un divorce contentieux. Les époux qui s'entendent sur le divorce et sur ces conséquences peuvent se séparer en 2 à 3 mois. Théoriquement, il est possible de le faire en 1 mois, et peut-être même moins, mais cela reste très rare et difficile à réaliser.
L'époux à l'origine de la procédure a l'obligation de prouver la ou les fautes qu'il reproche à son conjoint. Il doit s'agir d'une violation grave ou renouvelée des devoirs et obligations du mariage, rendant impossible la poursuite de la vie commune (infidélité, abandon du domicile conjugal, violence, etc.).
Comment divorcer rapidement ? Pour accélérer le processus, une seule solution : le divorce à l'amiable ou par consentement mutuel. Depuis le 1er janvier 2017, cette procédure ne nécessite plus le recours au juge, d'où sa rapidité.
Les deux époux sont redevables de la moitié des frais de notaire lors du partage des biens. Lors du rachat de parts, l'époux acquéreur est seul redevable des frais de notaire.
C'est le cas du divorce pour faute, pour altération définitive du lien conjugal ou pour acceptation du principe de la rupture du mariage. À l'inverse, le divorce par consentement mutuel est un divorce à l'amiable. La séparation de corps permet aux époux de rester mariés, mais de ne plus vivre ensemble.
Pour obtenir l'autorisation de quitter le domicile conjugal sans qu'il y ai faute, vous devez être en situation d'urgence, c'est-à-dire que vous devez prouver que votre conjoint(e) constitue un danger pour vous et/ou vos enfants.
Divorce : droit de la femme au foyer
Elle doit vous être versée dès que la procédure de divorce est engagée. Elle peut correspondre à une somme d'argent pour couvrir les frais alimentaires, l'éducation et le logement des enfants, ou à une résidence gratuite.
S'il n'existe aucune ou peu de différence, la prestation compensatoire n'est pas nécessaire. En revanche, s'il y a un écart entre les époux, il faut prévoir une prestation compensatoire. Si les époux ne la prévoit pas dans la convention de divorce, le juge peut estimer que les intérêts des époux ne sont pas respectés.
Les revenus pris en compte dans son calcul
Tous les composants du patrimoine des époux sont pris en compte dans le calcul de la prestation compensatoire. Les seuls revenus perçus par ces derniers ne suffisent donc pas à qualifier leurs conditions de vie.
le parent chez lequel demeurent l'enfant doit fournir, pour l'exercice du droit de visite et d'hébergement tout le nécessaire à l'enfant à savoir, vêtements et chaussures adaptés, propres, en bon état et en nombre suffisant, trousse de toilette, matériels pour les activités habituelles, médicaments…
« La seule chose à retenir, c'est que l'on ne peut pas vouloir divorcer et en même temps ne pas faire de mal. On ne peut pas traverser une crise sans souffrir. L'enjeu, c'est de faire en sorte que cette souffrance ne soit pas destructrice mais qu'elle puisse au contraire être à l'origine d'une reconstruction. »
Les honoraires d'avocat
Dans toutes les cas, vous devez obligatoirement être assisté par un avocat. Coût moyen : De 1 000 à 4 000 € pour un divorce par consentement mutuel (amiable). De 2 000 à 8 000 € pour un divorce conflictuel.
Notre conseil : restez ferme sur l'essentiel. « S'il peut être judicieux d'accepter des compromis, notamment patrimoniaux, afin d'aboutir rapidement à un accord, il n'en demeure pas moins qu'il faut être précis sur les conséquences de la séparation et ne pas remettre à plus tard le partage des biens.
La principale différence :
Le divorce amiable (jargon : Consentement Mutuel) c'est le principe du divorce où les époux sont d'accord sur tout : Enfants, pensions, biens, etc. Le divorce Accepté : c'est quand les époux sont uniquement d'accord sur un divorce aux torts partagés.
Cette longue durée s'explique surtout par le fait qu'il soit nécessaire de vivre séparément depuis au moins 2 ans lors de l'assignation en divorce. Dans le cas où les deux époux souhaitent tous les deux déposer une demande de divorce pour altération définitive du lien conjugal et pour faute.