La femme mariée n'a pas plus de droit qu'un enfant mineur. Elle ne peut, sans l'autorisation de son époux, signer un contrat, et si elle hérite de ses parents, c'est son mari qui gère ses biens.
Si, en France, les droits des femmes ont été progressivement reconnus par de nombreuses lois visant à assurer la parité en politique, à promouvoir l'égalité professionnelle et à lutter contre les violences sexuelles et sexistes, de nombreuses inégalités perdurent.
Ces droits comprennent le droit de vivre libre de toute violence et discrimination, le droit au meilleur état de santé physique et mentale susceptible d'être atteint, le droit à l'éducation, le droit à la propriété, le droit de voter et le droit à un salaire égal.
Depuis 1946, l'égalité femmes-hommes est un principe constitutionnel. La loi garantit aux femmes dans tous les domaines des droits égaux à ceux des hommes. Malgré un important corpus législatif pour l'égalité professionnelle, la situation des femmes sur le marché du travail reste plus fragile que celle des hommes.
Les conjoints ont les mêmes droits et les mêmes devoirs. Chacun doit contribuer aux charges du ménage (dépenses de logement, de nourriture, de vêtement, de santé, de loisirs...) en fonction de ses ressources et de son patrimoine (art. 214 du code civil).
Les époux se doivent mutuellement fidélité, secours, assistance.
Les époux se doivent mutuellement respect, fidélité, secours, assistance. Les époux assurent ensemble la direction morale et matérielle de la famille. Ils pourvoient à l'éducation des enfants et préparent leur avenir.
La France n'est pas épargnée par les inégalités salariales entre femmes et hommes. Même constat en France ! Les hommes gagnent 28,5% de plus que les femmes selon une récente étude de l'INSEE (juin 2020). A poste et compétences égales, l'écart de salaire est de 9%.
En France, la réponse est oui ! Car, aujourd'hui, la loi accorde les mêmes droits aux femmes et aux hommes. À l'école, les filles suivent le même programme scolaire que les garçons, et sont libres de choisir leurs études et leur futur métier.
Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression. Article 3. - Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Le premier problème que rencontrent les femmes est la difficulté d'accès au marché de l'emploi. Le deuxième problème est celui de la disparité salariale. Le troisième problème concerne ce que l'on appelle le « plafond de verre ».
1791 : La Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne est publiée : « La femme naît libre et demeure égale à l'homme en droits ». 1836 : L'ordonnance du 23 juin organise l'enseignement primaire pour les filles. 1861 : Julie DAUBIE est la première femme autorisée à se présenter au baccalauréat.
L'expression « condition féminine » est donc équivalente à « place de la femme dans la société » ; l'analyse de ce qu'est cette place dans une société peut permettre d'en savoir plus sur la culture, les normes liées et les relations et modes de pouvoir dans la société en question.
La participation pleine et équitable des femmes dans tous les éléments constitutifs de la société est un droit humain fondamental. Pourtant, à l'échelle mondiale, que ce soit en politique, dans les divertissements ou sur le lieu de travail, les femmes et les filles sont largement sous-représentées.
Il y a 50 ans, les femmes pouvaient enfin travailler sans l'accord de leur mari. C'était le 13 juillet 1965. Il y a cinquante ans jour pour jour était adoptée la loi sur les nouveaux régimes matrimoniaux, visant à promouvoir l'égalité au sein du couple.
Une vraie femme
Elle porte la dignité, la reconnaissance sacrée d'être Femme, sans le besoin de séduire ou de craindre l'homme. Elle n'extériorise pas un masculin fabriqué sur le modèle de l'homme, elle n'a pas besoin de faire comprendre qu'il faut la respecter, elle l'incarne.
Les femmes et les filles doivent pouvoir bénéficier du plein exercice de tous leurs droits humains dans l'égalité et d'être à l'abri de toutes les formes de discrimination – cette dimension est fondamentale pour assurer des droits humains, la paix et la sécurité, et un développement durable.
Aujourd'hui, partout dans le monde, les femmes sont victimes de violences : mariages forcés, utilisation du viol comme arme de guerre, mutilations sexuelles (une partie du sexe est coupée), interdiction d'aller à l'école… Et en France ? Le combat des femmes a permis des avancées, mais il reste encore beaucoup à faire !
Les inégalités qu'elles soient qualitatives ou quantitatives, prennent des formes variées : inégalités de revenu ou de patrimoine, inégalités scolaires, culturelles, générationnelles, genrées, politiques, etc.
En 2019, le revenu salarial des femmes reste inférieur en moyenne de 22 % à celui des hommes (28 % en 2000). Un peu moins d'un tiers de cet écart s'explique par des différences de durée de travail.
Harcèlement et insécurité dans la rue et les transports : plus des deux tiers des femmes concernées. Enfin, l'enquête a approfondi le sujet du harcèlement et de l'insécurité – sujet qui, rappelons-le, arrive en deuxième place des souhaits d'amélioration des Français et des domaines sur lesquels il faut agir en priorité ...
La séparation de fait n'existe pas dans la loi. C'est une situation dans laquelle les époux choisissent de ne plus vivre ensemble. Toutes les obligations liées au mariage sont maintenues. Le devoir de cohabitation existe toujours, mêmes si les époux ont fait le choix de vivre séparément.
Votre partenaire peut tenter de vous expulser uniquement s'il peut prouver que vous ne payez pas le loyer, ou que vous perturbez son occupation du logement. Si vous n'avez pas signé le contrat de bail, votre partenaire (qui a signé le contrat de bail) peut vous mettre dehors.
« Les époux ont le devoir d'habiter ensemble ; ils se doivent mutuellement fidélité, secours, assistance. » Cette obligation juridique « d'habiter ensemble » est comprise traditionnellement comme l'obligation de partager « le même toit, la même table, le même lit ».