Si la transpiration se fait ressentir pendant les premières minutes, c'est signe d'un bon échauffement. Débutez par un footing de 7 à 10 minutes pour faire monter la température de votre corps. Une fois votre corps chaud, vous pourrez passer aux assouplissements musculaires qui dureront 3 à 5 minutes.
Exercice 1 : l'échauffement
Tenez les doigts de votre main avec votre autre main. Pliez lentement le poignet vers le bas jusqu'à ce que vous sentiez un étirement. Maintenez la position trois à cinq secondes. Relâchez et répétez le mouvement à trois reprises.
Le réveil musculaire peut alors être fait en douceur : footing léger, petite marche, abdos, étirements... Cela permet au corps de se réveiller en douceur et de se préparer à l'effort, mais ne doit en aucun cas recréer de fatigue inutile. Le petit-déjeuner a également son importance.
La réalité, c'est qu'on a tous tendance à se projeter, et c'est là où on se met à jouer petit bras. Quand ça arrive, la première chose à faire, c'est d'en prendre conscience et de l'accepter. Rien que cela peut suffire à se "désidentifier" de ce qui se passe, et là on va pouvoir agir."
Utilisez la respiration pour vous détendre
Cela vous aidera à vous calmer, à vous détendre et à être plus lucide. Pendant le jeu, inspirez pendant vos préparations et soufflez dès la fin de la préparation, pendant l'impact et jusqu'à la fin du geste, cela aide naturellement au relâchement musculaire.
S'entraîner contre moins fort que soi permet de poser son jeu et de réussir très régulièrement les enchainements que vous réutiliserez en match contre vos adversaires plus forts. C'est ni plus ni moins ce que font les joueurs pros quand ils s'entraînent avec des sparring-partners moins bien classés qu'eux.
"L'échauffement doit être progressif. Il faut d'abord faire monter tranquillement la fréquence cardiaque. Puis se déverrouiller avec un peu de mobilisation musculaire. Plus on va se rapprocher du match, plus on va mettre de l'intensité, avec l'idée de débuter la partie en étant un peu transpirant."
Flexion du poignet
Position : Assis, l'avant-bras supporté par une table, un poids dans la main, la paume de la main vers le plafond (peut aussi se faire debout avec une barre, paume vers l'avant). Paramètres : Maintenir 2-3 secondes, faire 10 répétitions et répéter pour 3 séries.
Pour étirer le fléchisseur du poignet. Bras tendu, paume tournée vers le haut, appuyez doucement sur vos doigts pour fléchir votre main vers le bas. Dès que vous ressentez un étirement, maintenez la position 3 à 5 secondes, puis relâchez. Recommencez l'exercice 2 à 4 fois puis changez de main.
Commencez par vous allonger vous sur le dos. Tendez ensuite vos bras vers le haut, paumes vers le ciel, pour qu'ils viennent toucher vos oreilles. Après une grande inspiration, tendez au maximum vos bras et vos jambes durant 10 secondes, comme si vous vouliez vous grandir. N'oubliez pas de bien souffler par la bouche.
C'est un lançant la balle trop derrière ou trop au dessus de votre tête que vous allez faire des fautes en longueur. Lancez-là légèrement devant vous afin de chercher à la rabattre d'avantage. Ensuite, vous allez devoir ajouter un effet slicé ou lifté au service pour mieux contrôler votre service.
Une des grandes difficultés du tennis est de se concentrer sur le jeu et uniquement sur le jeu. Commencer un match avec l'idée que l'adversaire est plus fort car mieux classé, Penser qu'un adversaire est largement à sa portée car on est beaucoup mieux classé que lui, c'est anticiper sur une réalité potentielle.
Ne pas s'arrêter au moment de la frappe mais frapper dans la foulée. Réduire le mouvement du bras car, le corps étant en plein mouvement, il transmet lui-même beaucoup d'énergie à la balle. S'arrêter avant que son adversaire ne frappe la balle, sinon attention au contre-pied.
Une séance physique hebdomadaire semble être un minimum. En début de 2ème série, le tennis est souvent très cardio du fait d'un ratio longueur/vitesse des échanges particulièrement élevé. Vous devrez également augmenter votre niveau de concentration parce qu'en 2è série, ça ne lâche plus beaucoup de points...
le soutenir et l'aider mais lui faire sentir qu'il reste maître de son tennis, c'est son activité à lui, l'encourager à faire des efforts, lui expliquer qu'on y arrive en faisant des efforts et que s'il fait des efforts, il est tout à fait capable de gagner plein de matchs.
Tu leur as peut être même dit que c'était le plus difficile de tous et ils t'ont rit au nez : « Et le cyclisme, le marathon, le ski de fond ou la boxe…? Ces sports sont bien plus durs… » Pourtant le tennis est bel et bien un des sports les plus difficiles au monde sur le plan mental.
Doigts tendus, fléchissez simplement le bout des doigts. « L'angle au niveau de chaque phalange doit être d'environ 90°. L'idée est de plier les doigts en les contractant, de les tendre, de les plier... et ainsi de suite sur 10 répétitions ». Faites 3 séries.
Voici les avantages qu'il y a à travailler régulièrement sa force de préhension : Tu effectues plus de répétitions : Pour nombre d'exercices, la force de préhension est un facteur limitant, comme lorsque tu dois interrompre ta dernière série de soulevés de terre car tu ne parviens plus à tenir la barre de musculation.